Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
C'est la force d'Autofocus, d'isoler ainsi son héros confronté à la vacuité de sa vie intime, et de resserrer sans pitié sur lui l'image, par laquelle il aura été, jusqu'au bout, vaincu.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Mad Movies
par Fathi Beddiar
Vivant et brillant de bout en bout, Auto Focus est un film à voir absolument.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
En cinéaste calviniste, Schrader montre que le plaisir ne trouve pas sa place ici. Son propos est plus moral – mais jamais moralisateur. Il ne s'agit pas de pointer les faiblesses d'un individu, mais la folie de toute une société et les dangers de la culture de la célébrité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Novaplanet.com
par Alex Masson
Si Auto Focus trouble, c'est dans sa peiture innocente d'un sex-addict ne voyant pas où était le mal dans sa compulsion. A ce titre, Kinnear et Dafoe forment un étonnant duo à la fois inquiétant et vulnérable, infantile et lucide.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Première
par Gérard Delorme
Dans le rôle de Crane, Greg Kinnear fait un fascinant numéro de caméléon, partageant avec son modèle un même physique aimable mais fade qui fait de lui un héros de télé idéal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Eric Dahan
Mais, à moins de lui préférer la virtuosité clinquante de Boogie Nights dont la dernière scène rendait d'ailleurs hommage à Schrader , on conviendra que le classicisme doucement dérangé d'Autofocus ne manque pas de charme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Benjamin Braddock
Un film pas désagréable, mais longuet et confidentiel.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Véronique Le Bris
Vivement interprété par Greg Kinnear (Pour le pire et le meilleur), cette biographie décadente d'un dépravé du sexe et de la vidéo ne tient pas ses promesses. Le tout ronronne gentiment, attendant qu'un soupçon d'action se dessine. Produit par le duo Alexander-Karaszewski, ils ne retrouvent pas ici la pertinence d'un Larry Flynt, scénario qu'ils avaient écrit avec brio pour Milos Forman.
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Le film manque de relief.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
L'ex scénariste de Scorsese nous inflige un navet moralisateur sur la sex addiction.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Mais ici, point de tragédie : l'ironie facile de la mise en scène fait de cet accro au sexe un personnage hautement ridicule, et la critique - ambiguë - des effets pervers du puritanisme américain tombe à plat.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
C'est la force d'Autofocus, d'isoler ainsi son héros confronté à la vacuité de sa vie intime, et de resserrer sans pitié sur lui l'image, par laquelle il aura été, jusqu'au bout, vaincu.
Mad Movies
Vivant et brillant de bout en bout, Auto Focus est un film à voir absolument.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
En cinéaste calviniste, Schrader montre que le plaisir ne trouve pas sa place ici. Son propos est plus moral – mais jamais moralisateur. Il ne s'agit pas de pointer les faiblesses d'un individu, mais la folie de toute une société et les dangers de la culture de la célébrité.
Novaplanet.com
Si Auto Focus trouble, c'est dans sa peiture innocente d'un sex-addict ne voyant pas où était le mal dans sa compulsion. A ce titre, Kinnear et Dafoe forment un étonnant duo à la fois inquiétant et vulnérable, infantile et lucide.
Première
Dans le rôle de Crane, Greg Kinnear fait un fascinant numéro de caméléon, partageant avec son modèle un même physique aimable mais fade qui fait de lui un héros de télé idéal.
Libération
Mais, à moins de lui préférer la virtuosité clinquante de Boogie Nights dont la dernière scène rendait d'ailleurs hommage à Schrader , on conviendra que le classicisme doucement dérangé d'Autofocus ne manque pas de charme.
MCinéma.com
Un film pas désagréable, mais longuet et confidentiel.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Vivement interprété par Greg Kinnear (Pour le pire et le meilleur), cette biographie décadente d'un dépravé du sexe et de la vidéo ne tient pas ses promesses. Le tout ronronne gentiment, attendant qu'un soupçon d'action se dessine. Produit par le duo Alexander-Karaszewski, ils ne retrouvent pas ici la pertinence d'un Larry Flynt, scénario qu'ils avaient écrit avec brio pour Milos Forman.
Le Figaroscope
Le film manque de relief.
Les Inrockuptibles
L'ex scénariste de Scorsese nous inflige un navet moralisateur sur la sex addiction.
Télérama
Mais ici, point de tragédie : l'ironie facile de la mise en scène fait de cet accro au sexe un personnage hautement ridicule, et la critique - ambiguë - des effets pervers du puritanisme américain tombe à plat.