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Ghighi19
67 abonnés
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4,5
Publiée le 12 avril 2024
Un classique vraiment ! . Richard Donner apporte une dimension grand public à ce film d horreur qui donne plus de l effroi qu autre chose . Les comédiens sont très bons à commencer par Gregory Pecq immense acteur. L histoire est assez forte pour nous tenir jusqu'au final . Un film important pour ceux qui aiment avoir peur .
Classique de l'épouvante des années 70. Bon c'est sur ça a pris un petit coup de vieux, tant dans les looks que dans la photo du film mais la mise en scène elle tient encore la route même si elle emprunte de façon assez décomplexée les techniques d'Hitchcock ou des anciens classiques de la Hammer. Reste un petit film d'épouvante bien sympathique.
On a bien rit avec les potes, à l'époque je pense qu'il avait la vocation de faire peur... Bon ce qu'on peut lui concéder c'est qu'il est bien mieux que son remake de 2006 qui n'est qu'un honteux copié collé. Ils se sont pas foulés les branl**** d'Hollywood... Le gamin de 7ans est moins drôle que le dernier en date, c'est pas facile de jouer cet autiste de Damien, ça il faut le reconnaître... Visuellement, c'est moins laid que celui de 2006 mais revoir des vieux tacots dans la ville de Rome, ça fait tout drôle ^^ L'actrice qui joue la bourgeoise de Gregory Peck mérite ce qui lui arrive, elle est très agaçante ! Les Rot remplissent bien leurs rôles de crevards et les effets spéciaux...Que dire ? Il faut être compatissant, c'est pas mal pour l'époque et c'est très drôle encore une fois...ce film est à voir aujourd'hui pour un étoffer sa culture ciné en films d'horreur car c'est un "grand" classique, que dis-je ? une trilogie (j'ai hâte de voir les autres ^^) Un détail: la fin du film m'a fait penser à la fin du film Bienvenue Mister chance.
Les films d'épouvante vieillissant assurément mal on pouvait être chargé d'appréhension en lançant ce film. Qu'en est-il réellement ? Trop cliché, acteurs pas toujours bons, ressorts horrifiques ratés... Dommage.
Ce classique du cinéma d’horreur signé par Richard Donner a l’audace de placer l’antéchrist au centre de son intrigue, chose encore inédite en 1976. Les prestations des excellents acteurs et la musique de Jerry Goldsmith aident à la mise en place d’une ambiance terriblement oppressante ponctuée de scènes de meurtres cultes. L’interconnexion entre la dimension biblique de l’histoire et le drame psychologique que vit le personnage incarné par Gregory Peck permettent au scénario de se transformer en un thriller fantastique de référence.
Gros succès à l'époque, "The Omen" permit à Richard Donner de se faire remarquer, pour être ensuite choisi comme réalisateur de "Superman", avant de connaître la carrière que l'on sait. Le film reprend la thématique de l'enfant possédé, déjà traitée avec brio par Roman Polanski ("Rosemary's baby") ou William Friedkin ("The Exorcist"). Donner parvient néanmoins à innover en nous proposant ce thriller horrifique des plus efficaces, contenant son lot de morts étranges et de scènes angoissantes. La BO de Goldsmith, aux allures de chants religieux inquiétants, appuie très bien l'ensemble, tandis que Gregory Peck incarne un personnage principal nuancé. En somme, "The Omen" est un classique de l'horreur, qui n'a pas perdu de son effet.
Premier film finalement mémorable de Richard Donner et également atypique dans sa filmographie, "La Malédiction" est également un classique du genre, loin d'être exempt de tout défaut mais qui aura marqué son époque. La parallèle se fait forcément avec "L'exorciste" aussi bien au niveau de l'atmosphère mais également concernant le tournage, émaillé de diverses catastrophes et ce même si le niveau général est clairement moindre. Les acteurs sont convaincants mais l'ensemble peine à décoller, la faute à un climat qui se voudrait oppressant mais qui ne l'est pas tant, j'irais même jusqu'à dire que l'on a tendance à s'ennuyer malgré une réalisation très propre et des effets spéciaux pas mal du tout pour l'époque. L'ambiance se fait certes parfois lourde mais on est loin de "L'exorciste" pour ne citer que lui et les presque deux heures s'avèrent assez rédhibitoires. Restent un gamin effrayant et qui assure pas mal, un fond d'intrigue novateur et bien trouvé et quelques scènes qui restent en mémoires. On a évidemment vu mieux depuis mais il lui reste un certain charme et un aspect formel et austère bien maitrisé ainsi qu'une B.O. bien sympa. Pas mal pour l'époque.
Un film que je regardais régulièrement pendant mon adolescence. Le moins qu'on puisse dire, c'est que 42 ans après sa sortie, il met toujours autant mal à l'aise. Les films qui me font le plus peur sont généralement les films de "maisons hantées" et les films sur le "satanisme". Hé bien là, côté folklore religieux, on est servis : entre les passages de la bible, les croix partout, les églises, les signes précurseurs, les molosses, les prêtres, les cimetières, etc... Ajoutez à cela une bande son qui alterne entre les classiques duos piano-violon, et surtout ces chants religieux "spiritus-sanctus" qui vous hantent le cerveau encore après la fin du film, comment voulez-vous passer une bonne nuit et faire de beaux rêves après ça ? Et en plus de ça, le film possède sa propre mythologie, puisque durant le tournage, beaucoup d'incidents eurent lieu : Richard Donner qui a failli perdre une jambe, un avion que l'équipe du tournage n'a pas pris et qui s'est écrasé tuant tous ses occupants, le responsable des effets spéciaux qui a eu un accident de voiture (sa compagne fût décapitée durant cet accident), etc... Bref, on a toujours une petite hésitation avant de démarrer le visionnage de ce film.
Sans une once d’hésitation, voilà le chef-d’œuvre dévoilé de cette réalisation proche de l’étoile de la perfection, par ce nom qui maîtrise les scènes revient de droit vers la lumière de Superman, en souvenir de sa phrase d’anthologie, « il est interdit de modifier le cours du temps de cette histoire sur le triple 666 ». L’antéchrist est l’apocalypse selon Abraham au nom du Père, du fils et du saint esprit, amen🙏et que le seigneur loue le ciel descendre sur la terre faite de contrariété si imparfaite aux hommes et femmes tourmentés, divisés, impuissants, complètement en transe total.
Figés par le mal terrestre divin, pourtant ce ne sera l’enfer, sa porte n’a jamais été ouverte, on n’a pas peur une seule seconde et c’est un film ma-gni-fique👏 L’enfant a le mal en lui a souvent été imité par la suite médiocrement avec beaucoup de sentiments mitigés, mauvais et ridicule, c’est clair, inimitable, celui-ci est un film encore plus fascinant, lent, il y en a des obstacles à surmonter afin de comprendre tout le sens.
La fin s’annonce à grand pas, une réponse immédiate à la proportionnalité éventuelle, un moyen nécessaire d’interrompre une action réelle, simultanée, injustifiée dans le lieu le plus sacré de la religion, où se trouvera des lois à oser défier. Du moins quand on est du côté defensive envers l’Eglise, son ennemi juré ne l’entend pas de cette oreille, au sourire diabolique sous un visage d’ange enfantin, pas de tête d’enterrement comme cliché final, juste spectateur de cette fiction d’horreur.
De temps en temps, au moment où on s'y attend le moins, un visionnage de film peut amener le coup de coeur au spectateur. Ce phénomène s'est réalisé à mon insu lors du visionnage de The Omen (traduction du terme malédiction). Pourtant, je ne suis pas un grand admirateur du travail de Richard Donner qui se lie à la comédie familiale décomplexée des années 80-90 avec The letal Weapon. Mais finalement, ma perception a été biaisée. Donner est une personnalité unique du 7ème art et il le prouve avec sa plongée horrifique autour du personnage de l'antéchrist. Absolument aucune allégorie, ni image métaphorique ne sera écartée autour des préceptes de la religion catholique et du pouvoir. Ce coup de coeur s'initie aussi dans le récit à plusieurs réflexions où se mêle fausse-piste et faux-semblant. Privilégiant l'atmosphère que les jump-scare, The Omen fait le choix judicieux d'insérer des éléments surnaturels dans le réel. Et cela fonctionne magnifiquement à la manière de son aînée The Exorcist. Diable que ce film a marqué mon imagination : le casting est impeccable avec un Gregory Peck qu'on attendait pas dans ce genre, l'enfant est malicieusement interprété et cette fin, bien que prévisible, tout bonnement effrayante. La mise en scène de Richard Donner qui dépeint une Angleterre pluvieuse des années 60 étoffe la sensation de malaise et de sentiment désagréable auprès du spectateur : on pourrait revenir sur quelques longueurs (notamment la quête familiale de Robert Thorn en Italie) mais ce serait nier l'évidence : The Omen est un must-have du genre. Une pépite savoureuse à redécouvrir d'urgence ! Coup de coeur.
Il faut bien avouer que certains films (comme l'exorciste) de cette époque ont un peu mieux vieillis que cette réalisation de Richard Donner, mais bon nous avons là tout de même un grand classique du cinéma d'épouvante et malgré les rides, il reste bien supérieur à son remake qui fut réalisé 30 ans plus tard !
Le film a un peu vieilli et pour avoir vu en premier 666 the Omen, j'ai préféré la nouvelle version (même si on retrouve le même scénario)... Le son n'est pas très bon et les personnages font viellots...
Un des premiers films de Richard Donner qui s'illustra par la suite par la réalisation d'excellent blockbusters et par la série culte de "L'Arme fatale". Ici, le réalisateur s'attaque au grand mythe de la possession exploité et surexploité dans les années 70 suite à l'immense succès (mérité !) "Rosemary's baby" de Polanski. Certes, les acteurs sont parfaits, l'intrigue est plutôt bien ficelée, mais on est loin des meilleurs films du genre...
C'est mon film satanique préféré. Rien que la musique de Jerry Goldsmith me fait peur. Les prestations du couple Gregory Peck/Lee Remick et du jeune Harvey Stephens sont mémorables. Les scènes effrayantes se succèdent sans répit (la nurse et son chien, Damien à l'église et au zoo, les marques sur les photographies, le cimetière et les chiens...) dans une atmosphère intenable. Les révélations sur les origines de Damien sont très bien amenées. Bien supérieur au très surfait "L'Exorciste", "La Malédiction" est un film tellement réussi que l'Eglise a dû gagner quelques fidèles lors de sa sortie en salle...
Ce genre de films ne sont pas (en général) ma tasse de thé, mais je l'ai quand même regardé pour me faire mon avis et le premier mot qui me vient à l'esprit est : déception ! 'La Malédiction' est considéré comme un film culte et il est beaucoup aimé par certains fans du genre, mais moi je trouve qu'il n'est jamais effrayant (même pas une seule seconde) et que le rythme est trop plat. Il a surement très mal vieilli... mais c'est parce que c'est une déception que j'ai détesté, loin de là ! Le film a ses propres qualités comme un très bon casting (Harvey Stephens est crédible dans son rôle), une mise en scène soignée et une BO qui reste dans la tête et qui créait une atmosphère assez dérangeante... J'adhère aussi le fait que la psychologie ait une grande place dans le long-métrage !