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Laurent Dit Lorenzo - L
1 abonné
11 critiques
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5,0
Publiée le 11 janvier 2017
Un film sublime injustement noté, Avec des actrices sublimes dont un duo Julia Roberts / Kirsten Dunst... Regardez le et faites vous votre propre opinion.
Magnifique film sur la condition de la femme dans les années 50 et le cruel dilemme entre la vie au foyer et les études !! J'ai été agréablement surpris par le contenu et le scénario, bien plus profond que je ne pensais ! Julia Roberts est fabuleuse et les jeunes actrices sont excellentes aussi !! Et la cerise sur le gâteau : la BO d'Elton John au générique qui apporte une touche de fraicheur ! Un très joli film !
Un joli film plein de bonnes intentions, qui nous dresse le portrait d'une femme libre et intelligente. Mais la mise en scène est parfois trop classique. Le tout manque de souffle et de rythme, on s'ennuie parfois ..Les actrices sont pourtant très bien , Julia Roberts jouant très juste;
En forçant la comparaison, « le Sourire de Mona Lisa » ressemble de loin au pendant féminin du «Cercle des Poètes Disparus». Féministe avant l’heure, Julia Roberts est plutôt attractive en enseignante en histoire de l’art au sein d’une prestigieuse école pour jeunes filles au début des années 50. Malgré un sujet bienveillant et engagé, le film de Mike Newell manque d’attractivité, obstrué par d’inodores rengaines romantiques.
Les actrices sont douées, l'ambiance de cette époque est bien représentée, mais alors le sujet de l'inégalité entre les sexes est aurait pu être plus approfondi. Quelles en sont les causes ? Par quels mécanismes les gens la banalise ? Le thème de la question de l'art n'a pas tellement de rapport avec celle du sexisme, bien que cela montre que la professeure fait preuve d'indépendance d'esprit. Je ne comprend pas bien pourquoi en arrivant à l'université, elle est vraiment étonnée de devoir enseigner à des filles qui malgré leur niveau manquent d'ambition, alors que c'était la culture de cette époque. Bons décors.
Cette immersion dans l’Amérique des 50's est plutôt réussie et même si cette copie féminine du cercle despoètes disparus est évidente et donc manque de personnalité , l'ensemble reste plaisant à voir .
sité de Wellesley(où étudia Hillary Clinton par exemple).Une professeur d'art progressiste dans ses idées et son attitude encourage ses élèves conditionnées à en faire de même. "Le sourire de Mona Lisa"(2002) brille par son académisme révolu,mais pas désagréable,car Mike Newell emballe le tout avec son sens du romanesque et de l'inoffensive repartie. Julia Roberts est souveraine,dans un rôle où elle n'a pas à forcer son talent(et qui annonçait malheureusement sa traversée du désert...). Ce récit-choral s'attarde aussi sur les jeunes étudiantes,plus préoccupées à trouver le mari idéal qu'à affûter leur culture artistique. Kirsten Dunst en peste piégée,Julia Stiles partagée entre devoir et envie,Maggie Gyllenhall amoureuse transie et Ginnifer Goodwin idéaliste en manque de confiance,forment un quatuor cohérent et représentatif de la mentalité limitée des femmes de l'époque. La démonstration d'une société repliée sur elle-même et étouffante pour les femmes de l'époque est trop démonstrative pour qu'on y adhère. Pire,on a presque envie que ce féminisme soit étouffé dans l'œuf. Preuve de l'échec palpable des ambitions de départ.
Un joli film, dans la veine du Cercle des Poètes Disparus, moins grandiose bien sûr mais très agréable par sa justesse et par le jeu des actrices. Féministe juste ce qu'il faut, un bon moment de cinéma.
Une phrase à retenir : "Vouloir changer pour plaire aux autres, c'est se mentir à soi-même"
J'ai tout de suite aimé ce rapport à l'art, à la culture, qui libère. "Education is the most powerful weapon which you can use to change the world" (a, d'actualité...).
La rétrospective qu'offre ce film souligne deux faits sociétaux : d'une part, l'aspiration des femmes occidentales a évolué, et d'autre part, la femme se soumet ou souhaite se démettre de diktats à toute époque.
Ainsi, la femme d'aujourd'hui peut, à l'égale de l'homme, se libérer ou s'asservir par le travail, c'est selon. De nouveaux diktats apparaissent. Un exemple parmi tant d'autres : par la pilule, nous nous libérons, et pouvons prendre le temps de la décision d'enfanter, puis, d'un autre côté, cette régulation permet l'asservissement de la femme. Quand le moment est-il enfin opportun pour tout le monde (employé, collaborateur, hiérarchie...)?
Le Cercle des Poètes Disparus version féminine. On se laisse dépayser par cette époque qui a plus d'intérêt que l'histoire elle-même; mais surtout, quel plaisir de voir ce casting réuni avec des actrices comme Kirsten Dunst, Julia Stiles, Maggie Gyllenhaal... alors quand en plus on aime Julia Roberts (ce qui n'est pas mon cas pourtant)
Un film sympa à regarder. Les interprétations des actrices principales sont vraiment poussées, ce qui permet de comprendre chacune de leurs émotions. L'histoire n'est pas tirée par les cheveux et le dénouement semble logique. Un bon moment en perspective...
Film très plaisant à suivre avec un très bon casting, interprétation superbes de toutes! , hall, s sont excellentes et font vraiment tout le film. Tout repose sur leur interprétation. L'époque et les valeurs sont très bien décrites et chaque point de vue: le moderne et le classique sont aussi très bien expliqués. La difficulté de faire évoluer les consciences, les moeurs pour cette prof nous captive du début à la fin. CE personnage est très intéressant et profond, on s'attache vite à elle qui a des convictions mais également pas vraiment sûre d'elle. Le scénario se rapproche par moment à celui du "Cercle des poètes disparus". A voir!