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Malevolent Reviews
999 abonnés
3 207 critiques
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2,5
Publiée le 28 avril 2013
Notamment produit par Tom Hanks, Lucas fourmi malgré lui est le second long-métrage d'animation des studios DNA Production après le plutôt sympathique Jimmy Neutron en 2001. Adapté du livre pour jeunesse éponyme de John Nickle, le film narre l'histoire plutôt incongrue d'un enfant persécuteur de fourmis qui se retrouve comme par enchantement rapetissé à leur taille et forcé de les aider. Sorte de Chérie j'ai rétréci les gosses mêlé au FourmiZ de DreamWorks, le long-métrage n'a en soi rien de bien innovant, le coup du gamin qui rapetisse n'étant pas très original, qui plus est dans la jungle qu'est le jardin. Ainsi, malgré cet air de déjà-vu omniprésent et son inévitable morale pour gosses insolents, Lucas fourmi malgré lui bénéficie heureusement d'une excellente mise en scène et de graphismes très convaincants, bien loin de ceux maladroitement employés sur Jimmy Neutron cinq ans plus tôt. Nous découvrons donc notre petit Lucas se familiarisant petit à petit avec ses minuscules ennemis très attachants, soit Hova la travailleuse aimante, Zoc le sorcier douteux, Fugax le casse-cou dragueur et Kreela l'instructrice sévère. Le peu d'insectes principaux ajoutent donc une mini-alchimie immédiate avec le spectateur. Si le scénario est bien évidemment cousu de fil blanc, les facilités autrement nombreuses (oui, les fourmis parlent anglais) et les rebondissements pas si exaltants que cela, le long-métrage réussit tout de même pendant une bonne heure vingt à nous faire passer un agréable moment en compagnie d'une colonie de fourmis atypique et un jeune garçonnet plus téméraire qu'il n'y parait. En somme, Lucas fourmi malgré lui reste un film d'animation sommaire et oubliable sans pour autant être désagréable.
Le flux constant de sorties de films danimation en 3D, vient assombrir la perception de ce film. Après le brillant « Age de glace 2 », le tonitruant « Nos voisins, les hommes » et le conventionnel « Cars » à la plastique irréprochable pour ne citer que les meilleurs, le spectateur doit commencer à se lasser. Certes les qualités techniques des uns et des autres les différencient, et lon sextasie à chaque innovation, mais tout cela se fait au détriment du scénario et de loriginalité du propos. Ce film est donc victime de ce constat, il nest pas mauvais, loin sen faut et possède bien des qualités (la scène finale est dune maîtrise rarement égalée). Mais on peut lui reprocher davoir trop piqué des concepts ou des inspirations chez ses prédécesseurs, ce qui le rend de suite moins percutant. Et même si le message prône la tolérance avec une certaine réussite, il nen demeure pas moins quil apparaît comme un film de plus, pour ne pas dire le film de trop !
On est surpris de trouver le nom de Tom Hanks, le all-american boy par exemple, au générique de ce "Lucas", sorte de fable crypto-communiste invitant à la construction d'une société meilleure où chacun aurait sa place et oeuvrerait pour le bien commun. Mais, au delà de son thème inhabituel (exactement l'inverse de celui de "Antz" de la maison Dreamworks qui pronait le salut par l'initiative individuelle) l'intérêt indéniable du film réside dans son énergie typique d'une (bonne) série B, qui transcende les moyens techniques limités (l'image 3d varie du bon au franchement horrible) grâce à une réjouissante imagination, régulièrement d'ailleurs sur un versant trash aussi répugnant qu'hilarant. Bref, un bon film, envers et contre toute attente !
Un film d'animation sous coté, possible parce qu'il est jugé simpliste, il ne l'est pas ou parce qu'il est comparé à d'autres films avec des fourmis c'est absurde et ridicule mais c'est probablement la principale raison. Absurde et ridicule car c'est une comparaison qui est juste simplette. Ce film est une belle démonstration allégorique : ce qui est plus petit et plus faible est sous la menace de plus forts et l'adage l'union fait la force ; cela sans forçage ou clichés trop voyants. Bien sûr il y a les éléments incontournable pour ce type d'histoire mais le semi anthropomorphisme présenté ici m'a bien plu. L'humour dans ce film est par petites touches harmonisées avec la progression de l'histoire, il y a de l'intelligence dans ce tout. La morale finale attendue n'est pas non plus exubérante peu violente juste en lien avec l'ensemble de l'histoire mais sans doute avec une trop grande subtilité pour la plupart.
Un joli petit film avec une jolie petite morale qui repose sur un doublage convaincant (casting vocal plutôt prestigieux on peut même dire), une animation pas dégueue (et même pas mal du tout) et une bonne dose d'humour. Sympathique.
Lucas fourmi malgré lui est une belle petite lecon pour enfants sur les differences de chacun et la tolérance.Avec un graphisme assez mignon et un scénario trés conventionnel mais plutot correct on se laisse divertir par ce petit spectacle.
Lucas, fourmi malgré lui est le deuxième film entièrement réalisé en image de synthèse par la Warner, et cest aussi le troisième film ayant pour acteurs principaux, des insectes. Le premier était 1001 Pattes (1998) des Studios Pixar et le second : Fourmiz (1999), que lon doit à DreamWorks. Un scénario sympathique, un graphisme agréable a voir. Seul inconvenant : le côté esthétique et tribal des fourmis qui gâche un peu le film ainsi que les longues phrases moralisatrices. Sinon, lhistoire est intéressante, mais quelque peut ennuyeuse par moment. Tout ou presque est prévisible, scénario pas très original, espérons seulement que des efforts seront fait pour que cela ne se reproduise pas avec leur prochaine production : Happy Feet, dont sa sortie est prévue pour fin 2006.
Très sympathique divertissement. Si le graphisme est sans reproche, les personnages attendrissants, avec une bonne ambiance, l'histoire est hyper classique et pêche d'un manque d'originalité. On y retrouve nombre de films ayant traité du sujet. Pour autant on ne s'ennuie pas, il y a pas mal d'humour, d'action et d'émotion.
Lucas, un petit garçon qui torture gratuitement les fourmis, se retrouve par un coup du sort, réduit à leur taille. C'est l'occasion pour lui, et pour nous, de découvrir tout leur univers. Leurs règles, leurs jeux, leurs ennemis, leurs croyances, leurs craintes... C'est la personnification de ces insectes sociaux qui les rend proches et sensibles. Souvent, la réussite d'un dessin animé tient dans cet anthropomorphisme bien figuré. Ici, les dessins sont fluides, les personnages crédibles et l'histoire creusée, sans jeu de mot. Je me suis attaché à cette colonie qui vit son "humanité" en companie de ce garnement qui les découvre. Et, évidement, les plus grands ne sont pas les plus évolués. Même si la fin est un peu convenue, le tout est plutôt réussi et j'ai passé un joyeux moment en taille réduite!
Une belle petite fable un rien moralisatrice. L'animation est de qualité, le scénario bien qu'ordinaire fonctionne bien et le tout est assez drôle. Une belle aventure que celle de lucas confronté au monde des fourmis qu'il a tant l'habitude de malmener.
3 étoiles plutôt gentilles, mais il est vrai que j'ai beaucoup aimé le principe de ce film qui pour le moins original! Les scènes sont drôles, les personnages assez marrants et la vie des fourmis est remarquablement bien reproduite à l'écran. C'est surtout sur le plan technique que ça coince pour moi; en effet, je me suis trop habitué aux réalisations de Dreamworks et de Pixar, si bien que ce film de Warner et un cran inférieur au niveau de l'esthétique (bon ok, ça se pardonne, mais je suis pénible!) mais surtout, l'histoire est un peu courte et j'en attendais plus à ce niveau... Mais bon... A voir, car c'est un bon divertissement!
Un énième film d'animation sur l'univers des insectes : rien de bien original mais ça reste assez plaisant pour les petits enfants, assez classique dans l'ensemble mais on passe un bon moment.