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Un visiteur
5,0
Publiée le 15 mai 2010
Un film surprenant, de part sa qualité générale et sa maturité(il date des années 80).Certains lui reprocheront son coté "vieillo", visible de part la qualité de ses dessins contrastant avec celle d'un château ambulant ou d'un Ponyo, mais qui reste néanmoins très bonne pour l'époque. La bande son, signée Joe Hisaishi, reste fidèle au thème et, combinée au style de Miyasaki, nous transporte dans un monde postapocalyptique avec l'humour, la poésie et la sagesse propre au maitre. Du grand Art.
Après avoir visionné Mon Voisin Totoro, je me suis attaqué à Nausicaä de la Vallée du Vent. Je peux dire que j’ai été déçu de ce long-métrage. Certes, il est réussi, mais il fait un peu daté. Les dessins, convenables, ne sont pas aussi beaux que dans les autres réalisations de Miyazaki. Il manque une petite touche qui pourrait apporter un plus à ce film d’animation. Mais le gros point faible est le personnage principal, Nausicaä. Je dois dire qu’elle est assez énervante. Ça sent le gros cliché de la jeune princesse très gentille mais très naïve toujours là pour son peuple et qui ne craint rien du tout même pas de mourir alors qu’elle n’a que 14 ans à tout casser. Je trouve ça un peu fort. Je préfère le personnage Mei dans Mon Voisin Totoro, qui est beaucoup plus réaliste. Mais ne croyez pas que Nausicaa de la Vallée du Vent est un mauvais film, loin de là, il est réussi.
Universel et d’actualité La terre est ravagée par une guerre. Quelques groupes d’êtres humains subsistent mais sont menacés par une forêt toxique qui s’étend rapidement. La princesse Nausicaa de la vallée du vent aura pour mission de réunifier les peuples et sauver la planète. Cette fable écologique date de 1983 mais se révèle être terriblement d’actualité. Un discours très sérieux enrobé par la patte graphique et onirique du talentueux Miyazaki débutant. Ce film le révèla au grand public. Le graphisme est plus épuré que les suivants et a peut être mal vieilli. Privilégier « Le voyage de Chihiro » ou « Le château ambulant » pour découvrir l’univers de Miyazaki.
Un film qu inous plonge dans un univers très dévasté mais très ésthétique. Bassé sur un sujet écologique, le film reste utopique dans sa complexité. Le film ne ma pas pleinement plut car je l'ai trouver un peu vieux. A part ça, je n'ais rien à ajouté.
Et bien les débuts de la carrière du grand Hayao Miyasaki sont pas glorieux ! Le film commence plutôt bien malgré que Nausicaä ne peux pas s'empêcher, étant seule, de décrire tout ce qu'elle pense sans arrêt, et a chaque fois qu'un personnage est seul dans le film il s'y met aussi, ca perd vite en crédibilité ! L'histoire est pas mauvaise comme tout les films du réalisateur mais dans le cas présent, beaucoup trop mal exploitée, les faits se déroulent avec une mollesse incomparable, on s'ennuie pas forcément beaucoup, seulement par moments, mais ca reste un film beaucoup trop moyen... Les personnages sont mal imaginés pour la plupart, ils peinent a faire rire en se caricaturant eux-même, ca ne vole pas plus haut que Pokémon ! Le dessin est maitrisé mais pas aussi spectaculaire que ca a été fait par la suite ... a la limite c'est pas gênant de le voir une fois, mais c'est dispensable.
Premier chef d'ouvre du maitre Miyasaki. Ce film est un de c'est plus complexe avec le chateau ambulant. Ici Miyasaki nous dévoile son univers,il prone un univers écologique,et le personnage principal est très profond c'est ce qui ajoute de la beauté à ce film.
Peut être l'ancestre de princesse mononoke. Nausicaa est la première oeuvre des studios ghibli dont miyazaki est l'un des co-fondateurs et le fer de lance.
Une vraie déception... Sous fond de mélodrame écologique (un thème qui reviendra quasiment à l'identique plus tard dans Princesse Mononoké), Miyazaki nous offre un film long, sans vraiment de surprises ni l'émerveillement que nous procure d'autres de ses productions (Chihiro). Le thème, l'écologie et le destin de l'humanité, est classique et nous conduit inexorablement vers une fin moraliste... Le dessin a relativement mal vieilli, a un point tel que les vaisseaux nous rappelle Goldorak. Seul la bande originale maintient un certain intérêt pour ce film. A éviter pour tous ceux qui ne sont pas fan du genre manga.
Malgré un début intéressant et prenant, le film s'enlise peu à peu dans discours écologique un peu prétentieux, assez banal, et qu'on retrouvera plus tard dans la filmographie de Hayao Miyazaki, dans "Princesse Mononoké". De plus, les dessins ressemblent à ceux des séries d'animé japonais, et sont donc de basse qualité comparés à ceux du reste de l'eouvre de Miyazaki. S'ajoute à cela un scénario sans surprise, un poil nunuche, et qui repose sur des personnages trop caricaturaux. On ne vole donc pas aussi que l'héroïne sur son planeur. Mais la fin, profondément humaniste et optimiste, sauve les meubles, et la musique mélodique, comme pour tous les autres films de Miyazaki, est très agréable et détendante et le film est dans son ensemble très divertissant. Une légère déception, mais un bon film tout de même.
Second film de Hayao Miyazaki mais son premier film d’auteur, Nausicaä de la Vallée du Vent regroupe déjà les principaux thèmes chers au réalisateur et constitue donc un film clé dans sa filmographie. Avec ce film, Miyazaki signe une fable écologique pointant du doigt les ravages de la guerre et des mésententes entre les Hommes. La mise en scène, maîtrisée, fait de cette œuvre la plus sombre et la plus pessimiste de Miyazaki et ce, dès la scène d’ouverture. La collaboration avec son compositeur attitré, Joe Hisaishi, contribue également à rendre de nombreuses scènes poétiques mais aussi puissantes, époustouflantes, glaçantes et bouleversantes. Côté personnages, on trouve déjà des caractères forts et attachants qui ont fait de l’héroïne une figure emblématique dans la culture japonaise. On pourrait toutefois reprocher au film des petites baisses de rythme qui rendent certains passages moins captivants que d’autres et qui rendent également le film un peu longuet malgré la densité de l'histoire et de l'univers créé. Mais hormis ceci, Nausicaä de la Vallée du Vent est une réussite et s’inscrit dans la filmographie de son réalisateur comme un film marquant avec de beaux messages qui seront repris plus tard, d'une bien meilleure façon, dans Princesse Mononoké.