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1,5
Publiée le 22 juin 2019
Non, Hercule à New York n'est pas génial... Le moins que l'on puisse dire même, c'est qu'il fleure bon le navet. Je m'y attendais avec son scénar, le fait qu'il date de 1969, et que Schwarzy était... jeune, oui jeune ! 22 ans... et sacrément musclé ! C'était donc par curiosité que je l'ai vu. Mis à part le côté mythologique à deux balles, l'histoire n'existe pas, le jeu de tous les acteurs est médiocre, et donc voici la preuve que la curiosité est parfois un défaut. A noter que la voix française d'Arnold n'est pas la bonne, ou disons, pas celle qu'on lui connait habituellement.
Il faut le voir pour le croire ! Si vous rêviez de voir Arnold Schwarzenegger se battre avec un ours, retourner une voiture ou encore démolir de pauvres innocents, regardez Hercule à New York. Mais souvenez vous d'une chose : le film frise le navet. Tout premier film de celui qui tournera dans la jungle pour combattre un Predator et incarnera le "père" de John Connor, ce téléfilm à la mise en scène bidon et aux effets catastrophiques restera dans les mémoires pour avoir présenté Mister Univers dans le rôle du Dieu grec mais aussi pour son résultat, ridicule.
Après avoir commencé le culturisme à l’age de 14 ans, Arnold Schwarzenegger a quitté son Autriche natale afin de tenter sa chance aux Etats-Unis. Quelques années après, il décroche son titre de « Monsieur Univers » à 20 ans et décroche par la même occasion (un peu plus tard) son premier rôle au cinéma, en tête d’affiche d’une Série Z digne de ce nom, à savoir Hercule à New York (1970). S’ennuyant depuis des siècles sur le mont Olympe, Hercule décide, contre l’avis de son père (Zeus), de se rendre aux Etats-Unis. Il découvre alors un pays qu’il ne soupçonnait guère, avec ses étranges coutumes et une façon de vivre qui lui était inconnu (entendez par là, que l’on a l’impression qu’il débarque d’une autre planète et passe pour un crétin pure et simple !). C’est en cela que le film est drôle, car en plus de se ridiculiser complètement, les acteurs (tous les acteurs, mais surtout Schwarzenegger) ne savent pas jouer et font dans la surenchère et les stéréotypes ! Basé sur un scénario totalement ridicule, improbable, grotesque et poussif, dans lequel les situations absurdes s’enchaînent à tour de bras (notamment Hercule se battant contre un grizzly de 400 kg) au grès d’une horrible B.O qui du début à la fin, n’aura de cesse de se répéter. Bien évidemment, si Schwarzenegger a obtenu ce rôle, ce n’est pas pour son jeu d’acteur mais pour sa carrure, une musculature imposante faisant de lui, l’incarnation parfaite d’Hercule (on s’amusera de constater les nombreuses séquences où il se retrouve obligé de se dévêtir afin de montrer en gros plan, ses biceps surdimensionnés, des situations souvent absurdes). Une Série Z certes ratée, mais qui n’en reste pas moins un nanar mémorable et amusant (pour la petite anecdote, il fut crédité sous le nom de Arnold Strong, plus facile à prononcer et fut même doublé pour la version américaine en raison de son accent autrichien).
Chaque acteur hollywoodien qui se respecte a commencé dans un film mineur, une daube annoncée, un projet débile ou une série TV minable. Ici, ce sont les débuts d’Arnold Schwarzenneger.
Hercules In New York, réalisé par un yes man anonyme de la TV des 70’s américaine, Arthur Allan Seidelman, est donc le premier film du bodybuilder autrichien, qui avait d’ailleurs du être doublé pour l’occasion, son accent étant jugé trop incompréhensible et renommé Arnold Strong, ce qui seyait à merveille avec son sidekick, Arnold Stang, petit New Yorkais sans envergure mais vraiment amusant. C’est d’ailleurs le miroir du film : sans envergure aucune, mais diablement amusant. Le scénario est indigent, le budget y est tellement maigre que l’Olympe est un parc naturel et que les toges sont des draps, que les combats y sont en hors champs et que le seul vrai duel que Schwarzy a à effectuer est un concours d’haltérophilie, mais le film est amusant, car mis en scène avec un sens du rythme plutôt efficace et joué avec beaucoup de second degré par une équipe qui a du s’amuser à faire ce film. On en viendrait presque à regretter ce manque d’ambition critique qui amène un manque de rigueur et une musique d’abord insipide et ensuite insupportable.
En effet, Hercules In New York était proche du “si nul que ça en devient bien“, mais quelques trop gros défauts viennent perturber un spectateur qui s’attendait quand même à voir pire. Une bonne surprise.
Le seul intérêt de regarder Hercule à New York est pour voir ce que donne le premier rôle d'Arnold Schwarzenegger (22 ans !) au cinéma. Évidemment, ce n'est pas avec ce film que la star s'est faite remarquer et ce n'est pas étonnant qu'il ait dû attendre 6-7 ans pour avoir une nouvelle chance - sur grand écran et dans un rôle majeur - après un tel raté.
Avec un scénario qui ne brille pas par son inventivité et ses dialogues d'une platitude déconcertante, l'acteur ne va pas pouvoir mettre en valeur son rôle, censé être Hercule, un demi-dieu à la force surpuissante. Au contraire, les scènes de baston sont aussi tranchantes que celles d'un dessin animé pour jeunes enfants. Mais le pire dans ces séquences est la mise en scène et certains cadrages dignes des plus grands nanars ! Entre le plan du poing s'approchant doucement des hommes (ouhh, ça fait peur) ou les pectoraux se contractant sans raison, on ne peut pas dire que cela vole haut.
Mais le bâclage ne s'arrête pas là. Visiblement Arthur Allan Seidelman n'a eu aucune réflexion pour essayer de cacher les moyens sans doute (je l'espère) dérisoires. Les scènes sur le Mont Olympe sont ridicules (filmées dans un jardin apparemment), tout comme le combat Hercule-Ours où ce dernier a du mal à cacher son déguisement et son comportement d'homme (déplacements)... Arnold donne la réplique dans le film à un autre Arnold, Stang cette fois, qui interprète un personnage comique très soulant de part sa voix, ses mimiques et son idiotie, renforçant un ensemble bébête.
Un film comique mais sans le vouloir, le premier film de Shwarzie qui n'avait pas du prendre des leçons de comédie encore, mais Hercule n'était pas Conan encore.
Premier film de la carrière de Arnold Schwarzenegger, « Hercule à New York » est déjà très drôle à cause de son synopsis qui fait bien office de belle blague en racontant en gros comment Hercule s’ennuie sur l’Olympe et comment papa Zeus et son éclair en plastique l’envoient... À New York. Et si ça ressemble à un trip avant-gardiste qui nous fait « Les Visiteurs » vingt ans plus tôt, « Hercule à New York » s’impose pourtant comme une daubasse bien purulente en massacrant tout ce qu’elle pouvait donner en comédie pour devenir un objet difforme nanardeux et à se pisser dessus de rire.
C’est déjà très drôle dès le départ avec une reconstitution du mont Olympe littéralement vomitive. Non seulement ça ressemble à un terrain de golf mal tondu mais en plus les arbres morts et le ciel pluvieux en arrière plan amorce une quelconque possibilité de réalisme. Et quand on voit les acteurs et leurs costumes qui sentent le factice à des kilomètres on se rend compte qu'avec Arthur Allan Seidelman le bon gout se retrouve hospitalisé.
Et le meilleur est à venir, car quand Schwarzy débarque à New York c’est la pure folie. La mise en scène est inexistante. Les acteurs sont morts à l’intérieur s'ils ne sont pas en roue libre, notamment ces pauvres marins qui font semblant de taper Schwarzy de la manière la plus flagrante qui soit. On a presque du mal à croire que tout cela soit involontaire tellement c’est digne d’avoir été réalisé par un gamin de CE2 sans imagination. Et après viennent les dialogues et des doublages avec les acteurs les moins investis du monde, notamment pour le complice d'Hercule, la tête à claque ultime qui nous offre une version de Woody Allen auquel on aurait coupé les réserves de chewing gum, et avec une voix de doublage qui est même pas fichue de suivre ses lèvres.
Bien sur sans oublier l’écriture, déjà que le concept à lui seul ferait pâlir Bruno Mattei il fallait en plus que l’écriture soit la plus pathétique possible. C’est un amas de clichés débiles et surtout un théâtre absurde et sans limite. Rien qu’à voir les répliques, les fausses bagarres ou encore un homme déguisé en ours qui s’échappe du zoo et les gags qui tombent à l'eau. Et surtout cette musique fauchée que le réalisateur nous fais subir toutes les cinq minutes, là c'est juste indescriptible... c'est comme si d'un seul coup on se transformait en poisson hors de l'eau.
Et Schwarzy dans tout ça ? Et ben il fait l’acteur débutant qui ne cesse de répéter les mêmes phrases, qui fait joujou avec ses gros muscles comme si à chaque fois il les voyait pour la première fois et qui soulève sans contracter les cinq-cents « petits » kilo (sérieux on tient le meilleur présentateur TV de l’histoire du ciné).
énorme nanad, dommage qu'il se prenne au sérieux! Swcharzy est au sommet de sa forme, ça fait peur, mais quel acteur ridicule, du moins dans ce film! Ah, et la musique, naze au possible, vaut le détour! Pas évident de se le procurer, dommage!
Hercule a new york est vraiment un bon nanar pour les amateurs du genre, des doublures française qui ne suivent pas du tout les lèvres des acteurs, et la VO aussi est marrante avec l'accent autrichien qu'avais schwarzie en 1970. quelques faux raccord énorme : il peut faire jour et nuit puis re-jour dans la même scène. Malgré une histoire qui semble stupide, je vous assure que l'on ne s'ennuie pas pendant le film. a voir pour les fans de nanars
Le pire "film" jamais vu; 100% de non-acteur, 100% de dialogues nullisimes, 100% de vilaine réalisation conjuguée à une musiquette agaçante. Difficile de faire pire! Lors de la scène avec l'ours, on se frotte les yeux tellement le spectacle est ridicule. Je suis "fan" de Schwarzy, je le trouve également assez intelligent (il n'y a qu'à voir Pumping Iron, et sa carrière générale pour voir que ce n'est pas le crétin absolu pour lequel il passe dans ce nanar même pas amusant à subir)
Mais comme c'est nul ! On comprend pourquoi Schwarzy voulait faire disparaître ce film. Tout est mauvais ! Tout d'abord les acteurs : l'accent de Schwarzy est à mourir de rire ; sans parler de sa doublure française ! D'ailleurs, toutes les doublures françaises sont absurdes. Maintenant l'ambiance : alors l'Olympe est particulièrement réussi pour nous mettre dans l'ambiance du film à très petit budget très mal préparé... Un grand plus d'ailleurs à la mythique scène de combat contre l'ours, qui marquera sans doute tous les esprits ! Je ne parlerai pas des scènes de combats qui varient entre le ridicule et le risible... Ce film plaira à tous les amateurs de nanars. Sinon, passez votre chemin !
Nul à c...r. Pire que le film d'horreur où on a pas peur, la comédie où on ne rit pas. C'est sur, on explose de rire tant la mise en scène de la première relève de l'amateurisme (Arnold, en serviette de bain, parle à Zeus qui brandit une flèche en plastoc). Les gags suivants sont tellement bêtes qu'ils ne vont pas rire (pas moyen d'avoir ne serait qu'un trip). Enfin bon, le film a permi à Schwarzy de se faire connaitre et de jouer dans Conan !
Hercule, lassé de l'Olympe, décide de rendre visite aux habitants de New-York. Une histoire abracadabrandesque et truffé d'anachronismes et d'incohérences en tout genre. Voilà ce que nous propose le premier film d'Arnold Schwarzenegger. Une réalisation complètement à la rue et une interprétation calamiteuse, finisse d'achever un film plat, inepte et totalement inintéressant. Passez votre chemin.
Toutes mes félicitations au réalisateur qui a fais ce film hors du commun. Il faut vraiment avoir une immagination débordante et surtout être motivé. Depuis qu'on m'a parlé de ce film, j'ai eu envie de le voir, mais le résultat est encore mieux que ce à quoi je m'attendais. Rien que le titre, Hercule à New York, est bête. Le scénario est affreusement absurde. Hercule en a marre de vivre sur le mt olympe (on se demande dejà qu'est qu'il fiche ici) et veut aller voir la terre. Son père, Zeus, ne veux pas qu'il parte, et, pour le punir, l'envoie justement là où il voulait aller (trop débile). Par la suite, Hercule va à New-York et vit des aventures incroyables. En tout cas, que çà le son, l'image, le doublage, le scénario, on peut chercher n'importe quoi, mais tout est naze dans ce film, c'est ce qui le rend si drôle.