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    Rebecca
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    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    201 abonnés 1 903 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2013
    Sur le plan formel, le film est parfait, les comédiens impeccables. On trouve déjà dans Rebecca les thèmes chers à Hitchcock, du mystérieux tableau à la lingerie féminine et aux femmes dragons. Pourtant, je n'ai pas été pleinement captivé par Rebecca, en dépit de certains morceaux d'anthologie. Peut-être parce que le film est très long et surtout très daté, très connoté à un univers désuet d'aristocrates et de parasites mondains pour qui on ne peut guère éprouver d'empathie. Le personnage féminin manque aussi de caractère.
    Si l'atmosphère du château est superbement rendue, l'intrigue criminelle est en revanche peu crédible. Dans la catégorie des films gothiques, il me semble que Corman et Mankiewicz ont fait nettement mieux.
    ER  9395
    ER 9395

    85 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2013
    Ce n'est surement pas le meilleur Hitchcock car la première partie est très quelconque mais dès
    que le couple vedette arrive dans le château de Manderley on retrouve toute la maestria du maître pour installé le spectateur dans une ambiance des plus angoissante et cette demeure est la vraie vedette
    du film.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 619 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2013
    Une jeune femme simple, dame de compagnie d’un millionnaire, va tomber sous le charme du richissime et veuf Maxim De Winter dans un palace de Monte Carlo. Vite mariés, ils vont prendre leurs quartiers dans le manoir familial anglais de Manderley. Le lieu est encore très imprégné de la précédente Mme De Winter, Rebecca, décédée en mer dans un accident de bateau. La présence de Rebecca, encore palpable dans la maison, est relayée par une gouvernante sombre et n’ayant pas fait le deuil de sa « maîtresse ». Ce dernier mot est fort de sens. A l’époque le code Hays sévissait aux EU et la sexualité devait être inexistante des films, certains réalisateurs jouaient donc habilement et intelligemment à le détourner. La fameuse gouvernante, Mme Danvers, est un prototype d’ambigüité sexuelle. Une homosexualité sous jacente mais jamais énoncée effleure du personnage ; Hitchcock, qui n’est pas manche, nous renvoie aussi un doute sur une possible bisexualité de le nouvelle Mme De Winter. Ce n’est pas le sujet du film, mais une curiosité qui fait bien parler les cinéphiles : ah la scène de la « fourrure ».
    Hitchcock réalise ici son premier film américain mais ne délaisse pas totalement son pays d’origine, ce dernier est très présent via le manoir de Manderley. Ce dernier est même un personnage à part entière du film. Il adapte ici le roman éponyme qui lui vaudra l’Oscar du meilleur film en 1940 et prend la direction d’un genre de film qui fera son identité et son succès ; le suspense psychologique. Il fait ses premières armes avec ce film, même s’il ne s’agit pas à mon goût de son meilleur, on sent le potentiel.
    Son film débute comme un conte de fées, l’ambiance changera radicalement dès l’arrivée à Manderley. Dans la demeure de la famille De Winter plane encore l’ombre de la défunte, ex épouse du Lord. Dès lors, Hitch prend un malin plaisir à distiller une atmosphère trouble, à la lisière du fantastique et de l’histoire de fantôme. La nouvelle Mme De Winter est campée par la belle Joan Fontaine, oscarisée aussi à l’occasion. Toute en vulnérabilité et loin des codes sociaux de l’aristocratie anglaise, la douceur et son visage angélique tranche avec la réelle maîtresse des lieux ; la gouvernante Mme Danvers. La jeune épouse est totalement effrayée et impressionnée par Mme Danvers ressemblant à Nosferatu. La splendide Joan Fontaine (nouvelle Mme De Winter) n’est jamais appelé par son prénom, tandis que la morte est omniprésente par la répétition incessante de son prénom : Rebecca. Cela participe à la négation même de l’identité de la nouvelle épouse, tandis que cela donne une présence palpable à un personnage que nous ne verrons pourtant jamais. La personnification de Rebecca s’effectue aussi au travers des murs, des objets, des vêtements. Le spectateur dans ce climat est fragilisé et s’identifie très vite à la nouvelle venue dans ce monde hostile aux codes bien étranges loin de son milieu. David Lynch dans « Twin Peaks » usera du même stratagème avec Laura Palmer au centre d’une histoire au sein de laquelle elle n’apparaîtra jamais. Hitchcock est allé plus loin puisqu’il ne nous offre aucune photo à nous mettre sous la dent.
    Et puis ce film passe aussi au scalpel toute l’hypocrisie des rapports sociaux de ce microcosme. Tous portent un masque social, lorsque la vérité tombe comme dans le cas de Maxim De Winter, la nouvelle Mme De Winter paraît être la seule à ne jouer aucun jeu.
    Parce que c’est l’amorce du cinéma qui rendra célèbre Hitchcock, parce que Joan Fontaine est splendide en petit oiseau sous la patte du gros chat noir, parce que Rebecca existe sans exister, parce qu’au travers du jeu avec la lumière et les ombres se dessinent des rapports humains malsains… Il faut absolument voir ou revoir ce très vieux bourré de talent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 octobre 2013
    Rebecca est le premier film américain d'Hitchcock directement inspiré de la littérature britannique gothique (Hauts de Hurlevent, Dracula...)
    Ce film, inspiré de classiques (on ne peut pas ne pas penser à Barbe Bleue) aura une profonde influence sur d'autres films, dont les ressemblances sont assez frappantes : Cendrillon (la marâtre a la même silhouette que la servante) et aussi certainement sur plusieurs huis clos comme Citizen Kane ou encore les films de la période mexicaine de Buñuel.

    C'est l'un des rares film Hitchcock que je n'avais toujours pas vu et c'est pour moi l'un de ses meilleurs.
    Je me suis surpris à m'identifier rapidement au personnage principal (Mme. de Winter), isolée dans un manoir hostile. On partage ses craintes qui vont grandissantes alors que le suspens monte. Le manoir comme dans d'autres classiques de l'épouvante (je pense à La Maison du diable) peut être considéré comme un vrai personnage à part entière. Les portes, les murs contribuent à créer une atmosphère des plus oppressante qui va crescendo tout au long du film. De plus, nul ne sait où se trouver le château, il est volontairement inscrit hors de l’espace et du temps. Il n'y a donc aucun échappatoire possible ni pour l’héroïne ni pour le spectateur. Les plans du château et les diverses pièces sont magnifiques, la photographie du maître et superbe mais peut sembler trop académique. Le jeu des acteurs assez appuyé peut lui aussi sembler vieillot.
    Le personnage de la servante est l'un des meilleurs personnages d'Hitchcock, (f)rigide, glaciale, elle devient de plus en plus inquiétante jusqu'à ce que ses apparitions deviennent synonyme de danger de mort. C'est également un personnage ambigu, dont la relation trouble avec Mme. de Winter cache peut être une homosexualité latente (entretenue peut être auparavant avec Rebecca).
    Le scénario (inspiré du roman éponyme de Daphne du Maurier) est solide et conduit à de multiples rebondissement inattendus et qui nous tiennent en haleine jusqu'à la fin du film.

    Le coup de maître d'Hitchcock est de faire graviter le film autour d'un personnage clé que l'on ne verra jamais : Rebecca. Pourtant, c'est peut être le personnage dont on connaîtra le mieux l'histoire à la fin. Hitchcock laisse le soin à chaque spectateur d'imaginer son visage. spoiler: Rebecca est omniprésente dans le film et semble habiter le personnage de Danny. Le comportement de la servante, ses pulsions de mort donnent l'impression qu'elle est possédée par ce qui serait l'esprit de Rebecca. L'ordre divin est alors rétabli à la fin grâce à la purification par le feu : Danny brûle comme un sorcière avec le château qui devient son bûcher (scène finale).


    Rebecca est un film à voir pour la façon toute hitchcockienne d'introduire l'inquiétude, la peur et l'épouvante chez le spectateur. C'est un film à l'atmosphère lugubre où le poids des secrets et l'importance du vécu bouleverse le présent et l'avenir de tous les personnages. "Le syndrome Rebecca", aujourd'hui utilisé dans la vie courante pour désigner la propension des Hommes veufs ou divorcés à rechercher "le fantôme" de leur précédente épouse dans leur nouvelle femme est parfaitement illustré dans ce film.
    Rebecca est un grand moment de cinéma qui donne des sueurs froides.
    Timothé Poulain
    Timothé Poulain

    64 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2013
    Rares sont les films à s'attaquer à des mythes de la psychothérapie. Plus rares encore sont ceux qui réussissent à les rendre fidèlement à l'écran. Mais c'est pourtant bien cela que parvient à réaliser Hitchcock dans ce film historique où les thèses freudiennes se démontrent à l'écran avec une fluidité et une clarté jamais atteinte. Attention, chef d'oeuvre !
    Ryce753
    Ryce753

    21 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2013
    « Rebecca » est un film intelligent, très bien réalisé mais quand même un peu longuet. L’ambiance est pas mal mais étonnamment, je n’ai pas vraiment reconnu la patte ou du moins le suspense cher à Hitchcock. L’ensemble est trop plat, peu percutant et certaines séquences sont un peu fastidieuses à cause des trop longs dialogues entre les différents protagonistes. Les cohérences ne sont pas franchement au rendez-vous et l’histoire est assez confuse et ne tient pas debout (l'enquête de fin est rocambolesque, je n'y crois pas). Bref, il manque quelque chose pour en faire un vrai incontournable du cinéma. Reste une bonne interprétation des acteurs et un scénario correct mais on est quand même loin, très loin d’un « Vertigo » ou d’un « Psychose »
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    288 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 octobre 2013
    Un bon Hitchcock, à l'esthétique bien soignée et au suspense savamment orchestré. Pas le plus mémorable toutefois, car il y a parfois trop de dialogues, principal problème des films de l'époque. Les acteurs sont crédibles, habitant à merveille leur rôle.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    67 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 octobre 2013
    Un film absolument fabuleux et passionnant servi par des acteurs géniaux. Pour le premier film d'Hitchcock aux USA, celui-ci frappe très fort et débarque avec une histoire en or et un scénario machiavélique qui lui va comme un gant. Il adapte le roman de Daphné Du Maurier avec une aisance confondante. L'ambiance est délicieusement malsaine et le réalisateur fait tout de suite peser tout le poids du secret sur les personnages, puis sur le château, élément central du film. Au-delà de sa mise en scène si maîtrisée, le tour de force du film est d'avoir un personnage principal qu'on ne verra jamais. Pourtant, au milieu de cette galerie de personnages si complexes et insondables, c'est celui qu'on connaitra le mieux à la fin du film. Judith Anderson, Joan Fontaine et Laurence Olivier délivrent une prestation magistrale, habitée et mystérieuse qui donne à Rebecca une dimension exceptionnelle.
    Sid Nitrik
    Sid Nitrik

    58 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 octobre 2013
    Pas du niveau des chefs d'oeuvre d'Hitchcock, qui arriveront après, « Rebecca » demeure tout de même un thriller qui se laisse plutôt bien suivre. On regrette une bien trop longue première partie servant à mettre en place l'histoire d'amour et le décor qui vont servir de supports. La seconde partie est plus intéressante car mettant bien en place la tension, le suspense et les révélations inattendues. Impeccables Laurence Olivier et Judith Anderson en gouvernante froide et inquiétante, par contre la belle Joan Fontaine joue bien mais son personnage est parfois un peu trop nunuche, donc agaçant. Un Hitchcock pas mal qui aurait certainement gagné à être plus court et un peu plus malsain, l'idée globale étant très bonne.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 octobre 2013
    Classique, classique, classique, un chef-d'oeuvre du 7eme art, par ou commencer... Ce film qui nous est présenté sous forme d'un thriller avec des airs de drame mais aussi de romance a part d'être le premier film américain du grand ALFRED HITCHCOCK est une pépite d'or qui nous raconte l'histoire du riche Lord Maxim de Winter qui épouse une jeune demoiselle et qui ensuite l'emmène dans son château Manderley. A partir de la, tout les éléments nécessaires sont la pour donner lieu a une histoire plus que palpitante (entre autres une domestique froide qui ne s'est pas remise de la mort de l'ancienne compagne de Maxim, l'ancienne compagne de Maxim, REBECCA, qui "hante" toujours en quelques sortes les lieux et la nouvelle Mme de Winter qui a du mal a s'adapter a la vie de château).
    Hitchcock est vraiment très fort, Laurence Olivier et Joan Fontaine ainsi que tout les autres acteurs jouent a la perfection leurs rôles respectifs. Le film reste basé sur le suspense (qui est clairement le domaine de prédilection d'Hitchcock), qui ne cessera de monter a partir du moment ou l'on découvre la demeure ancestrale de Manderley. Cette demeure imposante est aussi l'un des personnages du film et lui donne ainsi un énorme charme. La musique est assez présente, on peut retrouver de nombreuses mélodies qui nous accompagnent tout au long de l'histoire, je pense que les instrument de musique utilisés sont assez bien dosées même si des fois a mon gout j'ai senti la musique un peu trop présente, j'aurais préférée a certains moments moins de musique ou quelque chose d'un peu plus léger (mais le film est tellement bon que cela n'y change absolument rien au plaisir que l'on prend en le regardant).
    C'est vraiment un film que j'aime beaucoup, je pense que c'est un des films d'Hitchcock qu'il faut voir et revoir car on ne s'en lasse absolument pas, indémodable.
    En conclusion ce film est un pure chef-d'oeuvre d'Hitchcok qui contrairement a certains de ses films lui a traverser le temps avec un Hitchcock au sommet de son art. C'est pour moi son meilleur film avec Psychose.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 mai 2014
    Ce n'est peut être pas le meilleur film d'Hitchcock mais on se prend aux jeux et on éprouve de l'empathie pour le personnages principal. Un très bon film à voir, un classique . Cependant, il ne faut pas oublier le livre à l'origine qui est sublime tout
    en étant simple dans son écriture ,à lire.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 octobre 2013
    Je sais que je ne devrais pas être aussi sévère avec ce film qui non seulement est un "Grand Classique" d'un Grand Cinéaste mais en plus un film qui date. Mais je le serai quand même tant il a mal vieilli à mon goût.
    Certes, je ne m'attendais pas à frissonner de terreur comme devant Silent Hill (comparaison du siècle...) mais à ressentir une certaine tension, comme devant "Psychose" (qui a selon moi beaucoup mieux vieilli, ce qui normal puisqu'il date de 1960...). Et là, rien. Je me suis donc tellement ennuyée que je n'ai guerre pu finir ce chef d'oeuvre. En voici les raisons.
    L'héroïne que l'on suit est voulue fade, sans caractère, effacée, gauche bref pas très fut-fut quoi. Mais le problème est qu'elle l'est à un tel point qu'au lieu d'être mignonne et attendrissante comme peuvent l'être parfois ce genre de personnages féminin, elle en devient franchement énervante ; si bien qu'il me paraît difficile pour une spectatrice du XXIème siècle de s'identifier à elle. Là on l'on est censé compatir, on a envie de la secouer un peu, beaucoup même.
    En plus de cela, le jeu d'actrice est par moment in-sup-por-tablement exagéré. Elle est constamment ratatinée sur elle-même, éplorée pour un rien, à pleurnicher, prendre de grands airs apeurés dès qu'on lui parle de mort... Bon, j'y vais peut-être un peu trop fort mais c'est presque ça. Le jeu décrédibilise encore plus le personnage. Et il en va de même pour la gouvernante. Censée impressionner le spectateur autant que l'héroïne, son jeu est d'un tel naturel qu'elle me fait penser à la châtelaine dans Elvira et la maison hantée (parodie impeccable de ce genre de film). En même temps, il n'en faut pas beaucoup pour effrayer cette pauvre godiche...
    Comme j'ai passé beaucoup de temps sur les personnages principaux, je vais aller vite sur le reste.
    Les scènes romantiques sont d'une niaiserie risible, les décors sont tellement lisses qu'ils paraissent aussi réels que ceux d'une pièce de théâtre et la musique parachève le tout.
    Seul point positif du film : l'intrigue qui est très intéressante et très bien fichue (enfin, il me semble car je ne l'ai pas vu en entier et je compte lire le livre dans un futur proche)
    Voilà ! Après, le mieux est de vous faire votre propre opinion en le regardant mais ne vous attendait pas à avoir des sueurs froides...
    cris11
    cris11

    51 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 octobre 2013
    Rebecca a été pour moi une bien grande déception. Quelques points forts (l'actrice principale, un talent évident d'Hitchcock pour la mise en scène et la présence envahissante de ce superbe château) mais ce film a un contenu bien trop insuffisant pour que ce film soit véritablement intéressant. Si l'idée de départ m'a tout de suite accroché, j'ai très vite déchanté avec ce début de film assez long à se mettre en place. Ensuite, l'histoire a quelques rebondissements qui ne sont pas franchement extraordinaires et qui ne m'ont pas vraiment laissé sur le cul (comme ça peut être le cas par exemple avec Psychose ou même sueur froide...). Il en découle au final une histoire d'amour vraiment mièvre et ennuyante. Même Laurence Olivier, pourtant immense acteur, me semble bien plat dans son rôle et m'a franchement donné l'impression de plus récité qu'autre chose. Bref, un film qui m'a cruellement déçu et qui à mon sens, sur le plan du suspens, se trouve à des années lumières des plus grands classiques d'Hitchcock (dont Psychose est mon favori).
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    685 abonnés 2 745 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 septembre 2014
    Alors que je me projète ce Hitchcock pensant ne jamais l'avoir vu, qu'elle ne fut pas ma surprise en m'apercevant que je reconnais chacun des plans du long! Plans sur plans je me rappelais au fur à mesure la suite, sans me souvenir du dénouement et de l'enchaînement! Mauvais signe me disais-je, un film dont je me souviens de rien... Tout ça pour dire que l'image est quand même sacrément puissante puisque je me souvenais des plans au détriment de l'histoire! "Rébécca" est un long métrage d'excellente facture, où Hitchcock impose encore une ambiance de malaise jusqu'au retournement de dernière minute!
    Hotinhere
    Hotinhere

    545 abonnés 4 943 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2013
    Premier film américain d’Hitchcock, un conte de fée cruel et ambigu somptueusement mis en scène, où brille la terrifiante gouvernante Judith Anderson. La force du film est d’installer l’angoisse et de bâtir le suspense sur un vide, une absence. Oscar du Meilleur film en 1941, le seul étrangement obtenu par Hitchcock.
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