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    Rebecca
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    4,0
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    166 critiques spectateurs

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    real-disciple
    real-disciple

    85 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2012
    Ce qu'il y a d'étonnant avec Rebecca c'est l'influence qu'il a eu sur Citizen Kane (immense bâtisse, riche qui ne trouve pas le bonheur, importance des initiales...). C'est le seul oscar du meilleur film qu'à reçu Hitchock, mais on l'a surtout donné au producteur Selznick...Parlons du film : on suit l'histoire de la nouvelle Mrs De Winter (superbe Joan Fontaine) qui va être confronté à un nouvel environnement dont elle se sentira mal à l'aise, surtout lorque l'inquiétante gouvernante fera tout pour la pousser à bout en ravivant l'ombre du spectre de l'épouse disparue. Le suspense est tendue et sera maintenu jusqu'à la révélation, qui livrera les secrets enfouis dont un qui sera la clef de l'intrigue. Il est clair qu'il n'y a pas d'humour dans ce film ce qui pourrait étonner avec Hitchock, mais cela est dû à la trame sombre du roman de Daphné du Maurier. On peut parler de la superbe photographie (oscar largement mérité), les intérieurs comme les extérieurs de la grande maison Manderley paraissent autant poétiques qu'inquiétants. Ce n'est pas le meilleur du maitre, mais tout concours à un très bon film qu'on ne peut manquer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 mai 2012
    Voilà ce qui me semble être l'un des meilleurs film de Hitchcock. "Rebecca" est un film policier ambitieux, intelligent, artistique et possédant de multiples lectures. Une mise en scène de qualité tout d'abord. Avec un jeu d'acteur très satisfaisant, malgré la difficulté d'interprétation de certains rôles (Mrs Denvers). L'élaboration des plans est qualitative et jouit d'une utilisation de la lumière exceptionnelle. Le mouvement est bien géré, belle alternance entre les plans longs et les plans courts pour donner au film un rythme particulier et changeant. "Rebecca" crée tout au long du film différentes ambiances. L'ambiance qui fait ressortir la joie, la jenesse et l'amour dans les séquences de l'hotel. Une ambiance de gêne et un début de peur lors de l'installation à Manderley. Puis une ambiance peu à peu policière jusqu'à cette dernière scène de peur. L'utilisation de la musique est également digne des plus grands films d'Hitchcock. Parlons maintenant du scénario, certainement l'élément essentiel du film. Il se construit d'une manière très intelligente, créant une alternance entre plusieurs genres, différents rythmes (avec la collaboration de la mise en scène)... Il présente de nombreuses métaphores : notamment la plus belle qui est centrale dans le film, Rebecca comme incarnation du diable à Manderley. Un film d'Hitchcock à ne pas manquer.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2018
    Sans être le meilleur Hitchcock, ça reste un très bon film même si l'histoire est longue à démarrer et est finalement assez prévisible. Le film même s'il comporte donc quelques longueurs, se défend aisément tout de même par la réalisation impeccable,le jeu des acteurs assez bons et la photo superbe.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 351 abonnés 7 543 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 novembre 2008
    Première réalisation Américaine pour Alfred Hitchcock et première acclamation aussi puisque le film fut couronné de l’Oscar du Meilleur Film. Il y a des films qui vous glacent le sang, vous captivent au point de vous transporter (comme si nous étions au cœur du film). Il y a des films remarquables que l’on voit peu et c’est le cas avec Rebecca (1947), véritable chef d’œuvre Hitchcockien où dans un sordide mais somptueux manoir ou il traîne une osmose des plus désagréable. L’ombre de la défunte Rebecca plane au sein de Manderley au moment même où Mr. de Winter refait sa vie.
    Une histoire palpitante et à la tension palpable, personnages mystérieux et flippant (notamment Mrs. Danvers et son regard terrifiant), acteurs parfaits et mise en scène prenante, Hitchcock séduit et confirme son statut de grand cinéaste.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2012
    C’est avec ce film que j’ai découvert Hitchcock quand j’étais jeune . Il s’agit du premier film américain d’Alfred et du coup de son premier chef d’œuvre. Joan Fontaine est parfaite en jeune femme de basse classe terrorisée par le saut brutal qu’elle effectue dans le grand monde dans les pas de la fameuse Rebecca. Oliver a un jeu un peu compassé qui le rend tout à coup très démodé. La palme revient à Judith Anderson dans le rôle de l’ex femme de compagnie de Rebecca. Nigel Bruce fait encore ici une apparition sympathique.
    Ti Nou
    Ti Nou

    508 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2009
    Si le suspense s'évente un peu dans la dernière demi-heure, après les principales révélations, l'arrivée de cette jeune femme dans la haute bourgeoisie ne manque pas d'intriguer et d'émouvoir. Le spectateur se retrouve aussi perdu qu'elle dans cette gigantesque demeure.
    DarkParadise
    DarkParadise

    127 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2010
    Tout l'art d'Hitchcock est de nous faire inventer le suspens et le drame. Pendant plus de la moitié du film il ne se passe rien, absolument rien, et pourtant on attend, justement, avec crainte, qu'il se passe quelque chose. C'est seulement le début de la période américaine d'Hitchcock mais le génie est déjà là. Les acteurs sont excellents, la photographie magnifique. On suit la splendide Joan Fontaine - dont c'est certainement l'une des plus belles compositions - à travers le domaine quasi mystique et diabolisé de son époux avec une inquiétude qui ne nous lâche pas. Laurence Olivier, acteur shakespearien, est splendide dans toute son ambiguité. Tout semble de plus en plus noir jusqu'au dénouement final. Et comme toujours, après avoir terminé le film, le mystère reste épais, comme l''impression que tout nous a échappé. On ne peut pas en dire plus au risque de tout dévoiler. Le film noir ne tient qu'à un fil...celui du mystère. Comme la plupart des films d'Hitchcock, ce film est un chef d'oeuvre incontournable.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 632 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2013
    Une jeune femme simple, dame de compagnie d’un millionnaire, va tomber sous le charme du richissime et veuf Maxim De Winter dans un palace de Monte Carlo. Vite mariés, ils vont prendre leurs quartiers dans le manoir familial anglais de Manderley. Le lieu est encore très imprégné de la précédente Mme De Winter, Rebecca, décédée en mer dans un accident de bateau. La présence de Rebecca, encore palpable dans la maison, est relayée par une gouvernante sombre et n’ayant pas fait le deuil de sa « maîtresse ». Ce dernier mot est fort de sens. A l’époque le code Hays sévissait aux EU et la sexualité devait être inexistante des films, certains réalisateurs jouaient donc habilement et intelligemment à le détourner. La fameuse gouvernante, Mme Danvers, est un prototype d’ambigüité sexuelle. Une homosexualité sous jacente mais jamais énoncée effleure du personnage ; Hitchcock, qui n’est pas manche, nous renvoie aussi un doute sur une possible bisexualité de le nouvelle Mme De Winter. Ce n’est pas le sujet du film, mais une curiosité qui fait bien parler les cinéphiles : ah la scène de la « fourrure ».
    Hitchcock réalise ici son premier film américain mais ne délaisse pas totalement son pays d’origine, ce dernier est très présent via le manoir de Manderley. Ce dernier est même un personnage à part entière du film. Il adapte ici le roman éponyme qui lui vaudra l’Oscar du meilleur film en 1940 et prend la direction d’un genre de film qui fera son identité et son succès ; le suspense psychologique. Il fait ses premières armes avec ce film, même s’il ne s’agit pas à mon goût de son meilleur, on sent le potentiel.
    Son film débute comme un conte de fées, l’ambiance changera radicalement dès l’arrivée à Manderley. Dans la demeure de la famille De Winter plane encore l’ombre de la défunte, ex épouse du Lord. Dès lors, Hitch prend un malin plaisir à distiller une atmosphère trouble, à la lisière du fantastique et de l’histoire de fantôme. La nouvelle Mme De Winter est campée par la belle Joan Fontaine, oscarisée aussi à l’occasion. Toute en vulnérabilité et loin des codes sociaux de l’aristocratie anglaise, la douceur et son visage angélique tranche avec la réelle maîtresse des lieux ; la gouvernante Mme Danvers. La jeune épouse est totalement effrayée et impressionnée par Mme Danvers ressemblant à Nosferatu. La splendide Joan Fontaine (nouvelle Mme De Winter) n’est jamais appelé par son prénom, tandis que la morte est omniprésente par la répétition incessante de son prénom : Rebecca. Cela participe à la négation même de l’identité de la nouvelle épouse, tandis que cela donne une présence palpable à un personnage que nous ne verrons pourtant jamais. La personnification de Rebecca s’effectue aussi au travers des murs, des objets, des vêtements. Le spectateur dans ce climat est fragilisé et s’identifie très vite à la nouvelle venue dans ce monde hostile aux codes bien étranges loin de son milieu. David Lynch dans « Twin Peaks » usera du même stratagème avec Laura Palmer au centre d’une histoire au sein de laquelle elle n’apparaîtra jamais. Hitchcock est allé plus loin puisqu’il ne nous offre aucune photo à nous mettre sous la dent.
    Et puis ce film passe aussi au scalpel toute l’hypocrisie des rapports sociaux de ce microcosme. Tous portent un masque social, lorsque la vérité tombe comme dans le cas de Maxim De Winter, la nouvelle Mme De Winter paraît être la seule à ne jouer aucun jeu.
    Parce que c’est l’amorce du cinéma qui rendra célèbre Hitchcock, parce que Joan Fontaine est splendide en petit oiseau sous la patte du gros chat noir, parce que Rebecca existe sans exister, parce qu’au travers du jeu avec la lumière et les ombres se dessinent des rapports humains malsains… Il faut absolument voir ou revoir ce très vieux bourré de talent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 janvier 2012
    "Rebecca" a été un des films les plus acclamés d'Hitchcock à l'époque de sa sortie. Malgré tout, pour son premier film américain, le grand Alfred signe certes une oeuvre de qualité mais inférieure à ses oeuvres postérieures (son premier chef d'oeuvre américain étant à mon avis "L'Ombre d'un Doute"). Ici, le film est divisé en deux parties distinctes. La première a lieu à Monte-Carlo, endroit inspirant bien peu Hitchcock ("La main au collet" en est l'autre exemple) : le ton y est léger, charmeur, volontiers amateur de traits d'esprit moqueur autour du personnage d'Edythe van Hopper. Après l'arrivée à Manderley, le récit se fait plus sombre, flirtant même avec le fantastique (intéressante composition de Franz Waxman à ce sujet), avant de revenir dans les girons plus rassurants du thriller à suspense autour de la terrible Mrs. Danvers brillamment interprétée par Judith Anderson. Et là, ça devient tout de suite plus intéressant, mais ça arrive un peu trop tard pour faire de "Rebecca" un chef d'oeuvre. L'atmosphère gothique colle moyennement bien à Hitchcock, qui fut le premier à dire que ce film manquait d'humour. De fait, c'est un très bon film si l'on exclue qu'il est de lui : il manque effectivement la "patte" du maître dans "Rebecca".
    Legid
    Legid

    37 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 avril 2016
    Rebecca est typiquement le genre de film qui prend son temps pour se dévoiler, gagne en intensité au fur et à mesure et finit sur une excellente note.
    Si la première demi heure ne laisse rien présager de la suite, le mystère s'installe dans l'heure qui s'ensuit jusqu'à un retournement de situation qui envoie le film sur un tout autre axe pour finir sur un final mémorable.
    Hitchcock arrive de nouveau à nous emporter pendant 2 heures durant sans laisser passer une seule seconde d'ennui et maintient toute l'attention du spectateur grâce à sa réalisation toujours aussi prenante et sa direction d'acteur de qualité.
    A classer dans les très bons du grand Hitch !
    selenie
    selenie

    6 344 abonnés 6 208 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 décembre 2021
    Hitchcock décide de placer le manoir de Manderley comme protagoniste principal, un personnage à part entière qui doit personnifier Rebecca, le côté funeste, fantomatique, est ainsi mis en avant sur tous les plans possibles. On reste estomaqué par la visite guidée du manoir quasiment imposée par Miss Danvers à la nouvelle Madame de Winter ; au fur et à mesure de la visite on comprend l'emprise de Miss Danvers, mais surtout Hitchcock y instille la possibilité pernicieuse d'une liaison lesbienne entre la gouvernante et Rebecca de Winter, d'abord avec des caresses équivoques de Miss Danvers sur les toilettes de Rebecca, puis par une phrase de Maxim de Winter qui dit avoir découvert "la vraie nature" de sa première épouse. Résultat un chef d'oeuvre gothique de toute beauté, à la fois vénéneux, funèbres et mélancoliques.
    Site : Selenie
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    766 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 novembre 2010
    Une jeune femme épouse un noble anglais. Ils arrivent dans son château où plane le souvenir de sa première femme, prénommée Rebecca... Pour son premier film américain, mais qui est dans un style toujours très britannique, Alfred Hitchcock réalisera en 1940 ce qui est certainement une de ses oeuvres les plus abouties. Cette adaptation du roman de Daphné du Maurier est en tout point remarquable car elle possède une mise en scène des plus raffinée, des décors somptueux que concoctera Howard Bristol, une photographie magnifique de George Barnes ( qui remportera un oscar bien méritée ), une partition musicale très mélancolique de Franz Waxman et une interprétation exemplaire de l'ensemble du casting. En tête d'affiche, nous retrouvons l'immense Joan Fontaine qui possède ici un de ses rôles les marquants à travers son personnage si fragile et aussi pleine d'innocence. L'actrice britannique délivre ici sans aucun doute, une des prestations les plus brillantes de sa carrière, et il faut avouer que le couple qu'elle forme avec Laurence Olivier, qui campe son mari avec une classe exemplaire et le charisme qu'on lui connaît, restera parmi les plus réussi du 7ème art. Au niveau du casting, il ne faudrait pas non plus oublier quelques seconds rôles d'exception, comme celle que possède Judith Anderson dans le rôle de l'étrange gouvernante Mme Danvers ou encore celui de George Sanders qui possède ici le rôle d'un cousin de Rebecca. Il s'agit donc, pour moi, d'une oeuvre pleine de maîtrise et d'exception dans la filmographie de ce cinéaste et qui mérite pleinement de figurer parmi les plus grand classiques du 7ème art. Un véritable chef-d'oeuvre en tout point de vue et qui remportera l'oscar du meilleur film en 1940.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    300 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 octobre 2013
    Un bon Hitchcock, à l'esthétique bien soignée et au suspense savamment orchestré. Pas le plus mémorable toutefois, car il y a parfois trop de dialogues, principal problème des films de l'époque. Les acteurs sont crédibles, habitant à merveille leur rôle.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    284 abonnés 2 890 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2017
    Avec le recul, ce film illustre assez bien à quel point Hitchcock était plus à son aise avec le suspense qu'avec le drame (même s'il a fait montre de belles choses en la matière). En effet, Rebecca met un assez long moment avant de démarrer, glissant quelques traits d'humour de temps à autre, déployant lentement son intrigue. Une première partie dramatique qui n'est pas inutile loin de là, mais hélas un peu appesantie par le jeu encore très théâtral des acteurs. Glissons ensuite vers le suspense et là, Hitchcock manifeste toute sa verve: personnages qui deviennent inquiétants, rebondissements subtilement amenés, dans un décor aux splendeurs justement exploitées. Côté mise en scène, nous assistons à un quasi sans-faute: les jeux d'ombre et de lumière sont parfaitement maîtrisés et restituent parfaitement l'ambiance du film. S'il fallait filer la métaphore automobile (pas très original), disons que Rebecca est un rutilant diesel ayant mis du temps à démarrer mais qui s'achève pleins gaz. Pas le meilleur Hitchcock pour moi mais du cinéma de belle facture.
    Buzz063
    Buzz063

    79 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2012
    Premier film réalisé aux Etats-Unis par Alfred Hitchcock mais Rebecca est au final très britannique. L’action se situe en Grande-Bretagne, les acteurs sont pour partie britanniques et même esthétiquement ou dans l’esprit le film est très anglais.
    La mise en scène du réalisateur est comme toujours inventive, bien que le style baroque adopté, qui provient directement du livre de Daphne Du Maurier, ne soit pas dans les habitudes d’Hitchcock. Le cinéaste s’inspire même par moment d’une ambiance proche du fantastique, en particulier dans sa façon de filmer le personnage de la domestique Mme Danvers. Dans sa manière de se déplacer, d’errer dans les couloirs de la propriété ou d’apparaître par surprise, le personnage a un côté fantomatique. Choix d’autant plus astucieux que, par l’admiration et l’obsession qu’elle exprime pour son ancienne patronne, elle incarne le souvenir et la présence toujours vivace de Rebecca.
    Si l’ambiance est son point fort, le défaut du film est en revanche le rythme de la narration. Après une première partie exagérément longue et peu intéressante sur la Côte d’Azur, le film prend enfin son envol avec l’arrivée du couple dans l’immense propriété de Manderlay. Le film se conclut ensuite par une histoire de procès qui occupe la dernière demi-heure et qui fait trainer la conclusion en longueur.
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