AlloCiné
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Narration d'une séductrice aux aspirations spirituelles voire philosophiques (pétillante Susan Sarandon), cette romance dans le milieu sportif oppose entre physiologie et humour les plaisirs sexuels à ceux de la victoire via les portails antithétiques d'un jeune fougueux naif et d'un homme désabusé (séduisant Kevin Costner). Enjoué ce récit de la quiétude ou du désoeuvrement dans une petite bourgade provinciale illustre les ambitions d'amélioration d'un sort peu trépidant. Gentillet.
Quel ennui, et qu'est ce que ça vieillit mal. J'ai visionné le film pour le casting alléchant mais au final je suis déçue car l'intrigue n'a aucun intérêt et ça tourne en rond du début à la fin.
Duo à trois : Et bien, une comédie sportif avec une bonne ambiance, des personnages sympas et amusants a suivent, c’est distrayant et ça passe tout seul. Mais, le scénario et le sport n’est pas mit en valeur comme on peut voir dans de grand film sportif, la, c’est plus le décor et la direction que vont suive les personnages. Car, c’est plutôt l’humour et les personnages cocasses qui triomphent dans le film, ainsi que le sexe car faut avouer que ça une part importante dans l’histoire et ce que on peut voir. Un peu trop d’ailleurs, ça tourne pas mal a ce sujet et la fin, la morale, on dirait que ça tourne autour de ça aussi, dommage, en plus, la femme auteur de tout ça parle beaucoup et part dans des délires ^^ c’est assez inattendu. Mais franchement, comme je disais, il y a une bonne ambiance, les personnages sont sympas, l’humour est simple et efficace. Et que dire du bon casting, il était jeune mais déjà charismatique et classe, il y a qu’a regarder Kevin Costner, et il y a aussi Tim Robbins, Susan Sarandon… Donc voila, un film plus comique que hommage au sport, même si il y a du sport, et l’histoire tourne quand même autour de ça, c’est la réussite des personnages, mais je le range plus dans le coin comédie avec la bonne ambiance années 80.
Un film autour du sport qui à le mérite de l'originalité et la présence de Susan Sarandon donne à l'ensemble une épaisseur supplémentaire. On a un mélange d'humour (pas toujours très fin) de charme et de "réflexions".
Sinon certains dialogues ne veulent pas dire grand chose j'ai quelques doutes sur la traduction et si on n'est pas expert en base ball on perd forcément quelques détails.
Sinon certains dialogues ne veulent pas dire grand chose j'ai quelques doutes sur la traduction et si on n'est pas expert en base ball on perd forcément quelques détails.
un film un peu surévalué au vu de la qualité de la mise en scène....juste un film correct
Film culte Outre-Atlantique considéré comme le cinquième meilleur film sportif de tous les temps (juste derrière Le Grand défi), Duo à trois est une incompréhension au succès surestimé. Cette histoire d'amour ambiguë entre deux joueurs de baseball en ligue mineur et une groupie manipulatrice propose au final peu d'intérêt. Certes le sujet est amusant et le baseball pourrait être remplacé par n'importe quel autre sport du moment que l'on arrive à comparer le sexe à un lancer ou un coup de batte. Mais le problème principal du film réside dans son incapacité totale à délivrer un scénario digne de ce nom, limpide et surtout fendard... Ainsi, la trame se pose tranquillement mais ne démarre jamais et ce ne sont ni les rebondissements invisibles ni les rares dialogues faisant mouche qui réussiront à nous faire oublier la pauvreté du scénario. OK il y a ce trio Kevin Costner / Susan Sarandon / Tim Robbins mais on ne se prend d'affection pour aucun des trois, ni les deux joueurs à la personnalité sous-exploitée ni la bitch de service qui s'avère être finalement gentille. Bref, on ne comprend pas grand chose et vous, ignorants des règles du baseball, vous y comprendrez que dalle face à ces matchs aux allures d'entrainements ratés où des soi-disant professionnels ne font que se foutre sur la gueule et louper des balles par dizaines. On appréciera donc surtout certaines scènes cocasses, notamment celles avec un Tim Robbins déluré en joueur arriviste, arrogant, débile et obsédé sexuel. On appréciera aussi les formes généreuses de Susan Sarandon et deux/trois dialogues amusants mais c'est tout. Quant à Kevin Costner, il est au final transparent, lui qui est censément la vedette vedette du film. On comprend la volonté du réalisateur/scénariste (ancien joueur des Orioles de Baltimore) de vouloir à tout prix mettre en scène un film sur le baseball mais dans l'ensemble, Duo à trois est une comédie ratée et un film sportif ennuyeux qu'on ne regardera qu'une et unique fois.
Considéré comme un des plus grands films de sport,il faut avouer que cette réputation flatteuse que possède "Duo à trois"(1988)est un peu usurpée. Déjà,c'est un film terriblement américain,dans le sens,où il est difficile pour nous Européens de concevoir l'importance du base-ball. Ce n'est qu'un jeu avec une balle et une batte. Mais pour eux,c'est un art de vivre,une manière de se défonçer,de vaincre,de faire des rencontres. En somme,c'est un microcosme bouillant que Ron Shelton, ex-joueur de la ligue retranscrit fidèlement,sans trop de fioritures,avec un humour bon enfant. Le pitch est plus bancal. Il concerne un relançeur sur le déclin(Kevin Costner,avec une âpreté qui ne sied pas à la légèreté générale)qui doit s'occuper d'un jeune lançeur(Tim Robbins,dans un beau numéro narcissique)doué mais à la cervelle inexistante. Parallèlement, les deux tombent sous le charme d'une groupie(Susan Sarandon,exquise et spitituelle) indépendante, mais en fait pas tant que ça. Cette comédie ennuit poliment,surtout lorsqu'elle s'aventure sur le terrain technique du base-ball;mais d'un autre côté elle donne une joie de vivre tenace. A vous de choisir.
Un trio de plus à Hollywood qui ravit : Kevin Costner (Crash Davis, grand nom) est un vieux vétéran de la 2e division, Susan Sarandon (Annie Savoy) une séductrice expérimentée et Tim Robbins (Ebby Calvin ‘Nuke’ LaLoosh) un jeune rookie avec ‘un bras d’1 million et un citron de 5 cents’. L’histoire est peu commune et la rencontre de ce fameux trio est inopportune à tel point que l’AFI le classe 5e parmi les meilleurs films de sport. ‘Bull Druham’ (du nom de l’équipe montante de 2e division dont il est question) est un classique en devenir et malgré les reproches que l’on fait souvent et à juste titre sur les films de ces années là, il tient le coup et n’est pas encore trop daté tant dans les décors que les costumes. Deux intrigues sont exposées : le rôle important d’Annie tant dans les relations qu’elle entretient avec les joueurs chaque saison que dans l’aide qu’elle leur apporte en terme de technique et d’expérience; les rapports entre Crash et ‘Nuke’ bien souvent houleux mais qui portent leurs fruits. On retrouve le concept érodé jeunesse impétueuse contre vieillesse expérimentée, impulsions contre sagesse… Un rythme soutenu, des situations originales, pas mal de jalousie. Le film aurait été parfait s’il s’étalait un peu plus : on reste cantonné à ce club, peu d’évolution dans les lieux visités, la relation entre Annie et Crash s’avère bien mystérieuse et on ne comprend pas tellement les motivations de ce dernier. Par contre, il est vrai que certains joueurs professionnels restent dans l’ombre comme lui et battent parfois des records à force de rester dans des clubs miteux : ce film leur rend clairement hommage.
bsalvert
Sans être original, ce film nous fait passer un agréable moment avec des grands acteurs.
Faisant partie des "1001 films à voir avant de mourir" et des 100 films américains les plus drôles selon l'American Film Institute juste derrière "Les Compagnons de la Nouba" (le meilleur film avec Laurel&Hardy!), j'étais très enthousiaste pour voir ce film. D'autant plus que mise à part "Batty baseball" de Tex Avery et "Y a-t-il un flic pour sauver la reine ?", j'avais rien vu de bien croustillant sur le monde du base-ball. Et là patatras... la méga-déception de la mort. Mise à part quelques sourires que l'on peut décrocher de-ci de-là, il y a rien : pas de rythme, pas de véritable scénario, pas de personnages attachants, c'est aussi pétillant qu'une bouteille de Coca-Cola ouverte depuis six mois. Susan Sarandon n'arrive pas à nous faire croire à son rôle de séductrice, Kevin Costner n'arrive pas à nous faire croire à son rôle de joueur de base-ball vieux de la vieille et Tim Robbins n'arrive pas à nous faire croire à son rôle de joueur de base-ball très talentueux mais à l'intelligence inexistante. "Duo à trois" constitue certainement une de mes plus grandes déceptions cinématographiques.
Le film est intéressant tant que le trio est présent, à partir du départ de Tim Robbins le scénario devient ennuyeux. L'histoire n'est pas exceptionnelle, ni hilarante, il y a pas mal de bons moments mais ça manque d'originalité, de créativité, de bons dialogues. Tim Robbins est très bon !!
Joueur de baseball professionnel puis sculpteur et scènariste, enfin cinèaste, Ron Shelton èvoque ènergiquement son premier film, le chaud "Duo à trois" avec Kevin Costner, charismatique à souhait, Susan Sarandon, sexy, intelligente, capable de maîtriser les règles et les astuces du baseball, et Tim Robbins, qui connaît la cèlèbritè grâce à ce film, où il joue aux côtès de sa future compagne! Shelton avait dèjà une certaine expèrience de la camèra puisque sur "Underfire", il ètait responsable de la seconde èquipe! "Duo à trois", ayant bien marchè au box-office, est une comèdie dramatique tout à fait honorable avec de formidables interprètes...
Il est vrai qu'en 1988 les exigences cinématographiques n'étaient pas franchement les mêmes que maintenant, mais la c'est se moquer du spéctateur, simplement ! L'histoire est aussi triste et aussi ridicule qu'un film X, et le casting ne changera pas la donne. Suzan Sarandon ne s'approprie pas du tout son rôle attitré, et Tim Robbins est comme rarement irritant; Kevin Costner, mené par une équipe simplette, ne peut malheureusement pas arranger la situation, niaise à souhait. Le béaba des films romantiques, consternant.
J'arrête pas de me le dire pourtant, les comédies c'est pas mon truc ! Et encore plus si elles sont romantiques. Mais bon, le casting est alléchant, c'est une histoire sous fond de base-ball, et puis il est bien noté sur IMDb (7/10). Alors bon je l'achète (il y a presque trois mois maintenant) et je le regarde - seulement - ce matin. Bah, je me suis fait chier quoi... On suit donc trois personnes : Laloosh (Tim Robbins), nouvelle recrue dans une équipe de base-ball, tout comme Crash (Kevin Costner) mais plus expérimenté, et Annie (Susan Sarandon), une fan de ce sport qui aime se taper un joueur par saison. Bon déjà à cette femme j'y crois pas un seul instant, soit disant les hommes avec qui elle a une relation deviennent des as sur le terrain ensuite, mouais... C'est réellement le cas mais je trouve ça bidon. En plus Susan Sarandon m'a paru mauvaise sur le coup. En fait l'intérêt de l'histoire, c'est qu'elle n'a pas l'habitude qu'on lui tienne tête, ce que fait Crash. Du coup ils se cherchent un peu durant tout le film et en même temps elle se tape Laloosh, qui devient vachement bon lanceur durant toute la saison. Et puis rien. On assiste à quelques scènes de base-ball, Crash a en fait été recruté pour coacher Laloosh car se dernier aurait apparemment un don pour lancer d'excellentes balles, mais il n'en a pas conscience, bla bla bla. Ça se voit que je me suis ennuyé hein ? Rien de drôle, rien à se mettre sous la dent, même pas les acteurs. A oublier donc !
Un film ultra léger, sans intérêt, Tim Robbins oscille entre insupportable (sa romance avec Sarandon) et assez bon, quand il est sur le terrain. Susan Sarandon ne colle pas du tout au role, elle n'est absolument pas attirante. Kevin Costner ne peut sauver le film bien qu'il reste le seul point positif de ce dernier !
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