Avis : Duo à trois - Page 2

Un film nul et énérvant meme pas drole peut-etre pour les admiratrices de kevin costner et encore.Susan sarandon et sa religion base ball:c'est pas crédible.

Un film autour du sport qui à le mérite de l'originalité et la présence de Susan Sarandon donne à l'ensemble une épaisseur supplémentaire. On a un mélange d'humour (pas toujours très fin) de charme et de "réflexions".
Sinon certains dialogues ne veulent pas dire grand chose j'ai quelques doutes sur la traduction et si on n'est pas expert en base ball on perd forcément quelques détails.

Un trio de plus à Hollywood qui ravit : Kevin Costner (Crash Davis, grand nom) est un vieux vétéran de la 2e division, Susan Sarandon (Annie Savoy) une séductrice expérimentée et Tim Robbins (Ebby Calvin ‘Nuke’ LaLoosh) un jeune rookie avec ‘un bras d’1 million et un citron de 5 cents’. L’histoire est peu commune et la rencontre de ce fameux trio est inopportune à tel point que l’AFI le classe 5e parmi les meilleurs films de sport. ‘Bull Druham’ (du nom de l’équipe montante de 2e division dont il est question) est un classique en devenir et malgré les reproches que l’on fait souvent et à juste titre sur les films de ces années là, il tient le coup et n’est pas encore trop daté tant dans les décors que les costumes. Deux intrigues sont exposées : le rôle important d’Annie tant dans les relations qu’elle entretient avec les joueurs chaque saison que dans l’aide qu’elle leur apporte en terme de technique et d’expérience; les rapports entre Crash et ‘Nuke’ bien souvent houleux mais qui portent leurs fruits. On retrouve le concept érodé jeunesse impétueuse contre vieillesse expérimentée, impulsions contre sagesse… Un rythme soutenu, des situations originales, pas mal de jalousie. Le film aurait été parfait s’il s’étalait un peu plus : on reste cantonné à ce club, peu d’évolution dans les lieux visités, la relation entre Annie et Crash s’avère bien mystérieuse et on ne comprend pas tellement les motivations de ce dernier. Par contre, il est vrai que certains joueurs professionnels restent dans l’ombre comme lui et battent parfois des records à force de rester dans des clubs miteux : ce film leur rend clairement hommage.