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AMCHI
5 914 abonnés
5 936 critiques
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1,0
Publiée le 12 août 2007
Des suites des 7 Mercenaires, celle-ci est la moins réussie, c'est un western assez mou et ennuyeux qui ne comporte quasiment pas de scènes de fusillades. Et Yul Brynner est remplacé par George Kennedy qui sans être mauvais acteur à tout de même beaucoup moins de charisme pour le rôle. Une pâle copie tout à fait dispensable à voir.
Troisième opus qui possède un scénario bien mince par rapport à l'original mais qui se visionne sans ennui grâce a un bon casting, à une réalisation soignée et une BO assez entraînante.
Cette suite des 'sept mercenaires' bien que n'étant pas aussi réussie que le premier film reste un bon western auquel on ne peut reprocher grand chose...
3ème opus pour cette pseudo suite qui manque totalement d'intérêt. George Kennedy est un acteur solide mais de là à remplacer Yul Brynner... Non le vrai problème reste qu'il ne s'agit ni plus ni moins qu'un copier coller du chef d'oeuvre de John Sturges. Autant "Le retour des sept" (1966) était une vraie suite et avec Brynner autant là il n'y a aucune idée, le scénario est le même avec en plus moins d'action, moins d'émotion et moins d'humour... Pas un navet non plus car le casting est solide autant que son matériau d'origine mais quitte à revoir cette histoire mieux vaut revoir l'original.
Pour cette deuxième suite à l'énorme succès que fut "Les 7 mercenaires" de John Sturges, la lancée prise par "Le retour des 7" est confirmée ... l'ambition d'United Artists a été clairement revue à la baisse ! Le choix de Paul Wendkos, réalisateur alors en quête de reconnaissance, associé à une distribution emmenée par un George Kennedy assez esseulé confirme la tendance. Le scénario est basique et utilise des raccourcis parfois très faciles. Question émotions, le ressenti est pour le moins peu convaincant. Toutefois le gros atout de cette réalisation est sans contestation l'art de Paul Wendkos de mettre en scène les scènes d'actions, notamment la séquence finale, assez longue et impressionnante. Il s'agit au final d'un western divertissant, sans plus, malheureusement assez éloigné du film de JOhn Sturges.
Si vous avez vu le fabuleux et éclectique premier volet culte de John Sturges, "Les sept mercenaires" avec son parterre de stars, la troisième suite appelé "Les colts des sept mercenaires" est quasiment la meme histoire!! Point positif, une réalisation identique à l'original, c'est à dire trés soigné, la musique toutjours vibrante d'Helmer Bernstein, des scènes d'actions à couper le souffle et une poignée bons acteurs emmené par l'impeccable George Kennedy. Coté négatif, une histoire photocopié au film de John Sturges dont on devine les circonstances, à quelle moment certains vont mourir, le déroulement de l'histoire, du vu et revu. Les suites ne datent pas d'aujourd'hui avec comme seul but de se faire un maximum de rentabilités. Surement que ça a du marché, la saga comporte quatre volets avec comme chef de fil le retour de Yul Brynner dans le 2 et Lee Van Cleef dans le dernier volet. Mieux vaut se cantonné seulement à l'original qui vaut à lui tout seul le détour, le reste, passez votre chemin!!!
J'ai vu un film... pour retrouver la force et l'émotion du grand, du vrai "Les 7 Mercenaires" de John Sturges... Et évidemment ce qui devait arriver arriva... Je fus déçu. Je le vis en le survolant, malgré qq personnages intéressants, notamment le méchant, plutôt le genre implacable, qq pistoleros plutôt pas mal choisi, en terme de personnalités... Mais malgré, pas mal de bonne volonté du réalisateur, la qualité de la musique -déjà connue d'E. Bernstein- ce film est une photocopie bien terne de son modèle... Pas d'originalité en soit, pas de surprise, pas de force... Donc des platitudes, des banalités, des dialogues longs comme la bras... Et je pense que les comédiens ne sont pas en cause. G. Kennedy fait un "Chris" assez crédible, ses acolytes sont plutôt pas mal, mais ce film ne décolle pas... Dommage.
Un troisième volet pas désagréable à regarder mais qui prend trop exemple sur le film de Sturges. Ainsi le film suit la même construction : introduction avec le méchant de l'histoire et sa bande de pistoleros, demande d'aie à Chris Addams, recrutement des six autres mercenaires, premier contact musclé avec les ennemis et assaut final. Dans l'ensemble le film n'innove donc pas, hormis sur sa séquence d'action finale, réellement spectaculaire et différente du climax du premier film dans le sens où les opposants sont bien plus nombreux et où les armes sont plus modernes avec la présence d'une mitrailleuse. Les nouveaux mercenaires quand à eux ne font nullement de l'ombre au premier groupe, mais certains restent assez intéressants bien que sous-développés (l'infirme sudiste et le noir n'ont que deux séquences ensemble, c'est dommage). Le plus gros bémol du casting hélas concerne l'interprète de Chris : Georges Kennedy qui s'il ne joue pas mal n'a pas l'étoffe pour remplacer Yul Bryner. Lee Van Cleef dans le film suivant sera plus convaincant. Les Colts des Sept Mercenaires est donc un petit western divertissant mais qui ne cherche pas à s'éloigner de l'original, et se révèle ainsi sans surprises. Les quelques scènes d'action valent le détout.
Film sans prétention au scénario classique, cette pellicule n'est pas totalement dénuée d'intérêt. Certes, il est nettement inférieur à l'illustre film de John Sturges et George Kennedy, bien qu'acteur habitué des westerns est loin d'avoir le talent de Yul Brynner dans le rôle de Chris. Mais il est tout de même nettement supérieur à bon nombre de productions italo-espagnoles qui ont supplantées le genre dans les années 70-80. Il faut reconnaître que le niveau des acteurs se situe en-dessous du plateau de stars réunies sous la houlette de Sturges. Par ailleurs, le cinéaste Paul Wendkos a multiplié les réalisations télévisuelles au détriment des rares films qui n'ont guère laissé de trace dans le paysage cinématographique US hormis "Les canons de Cordoba" et "Attaque sur le mur de l'Atlantique" qui restent des films acceptables sans plus. Michael Ansara interprète un colonel mexicain dont la cruauté et le sadisme n'ont pas de limite. L'équipe des sept est plutôt éclectique et le film manque parfois de rythme, mais dans l'ensemble, il parvient à distraire et c'est l'essentiel.
Bon, il sera impossible de ne pas comparer ce film au vrai "7 mercenaires" tant ce dernier a envahi le cinéma. Et il faut bien dire que cette version là n'est certes, pas mauvaise, les acteurs sont convaincants et convaincus, les décors adaptés et le scénario bien classique. Là ou cela blesse, ce sont certainement les acteurs. Ici, nous avons beaucoup de second couteaux, qui manquent tous un peu de charisme, de présence devant la caméra. Et cela met ce film un ton en dessous de l'original. On notera que le combat final est complètement désuet. A voir par les amateurs de western, pas trop exigeant.
Si on se lance dans le jeu des comparaisons, il est certain que ce film ne peut rivaliser avec l'original. Cependant, le qualifier de navet me semble un peu disproportionné. « Les Colts des sept mercenaires » est un remake « moyenne gamme » du légendaire « Les sept mercenaires ». Je vois cela plutôt comme une opportunité pour un réalisateur en manque de scénario ou d'idées originales de créer un honnête film d'action en s'inspirant largement de l'original. La mécanique reste la même, une première partie dédiée au recrutement des mercenaires, une seconde à leur intégration parmi les opprimés, et une troisième à l'affrontement avec les oppresseurs. Dans ce cas, il s'agit de « federales » retranchés dans un fortin. « Les Colts des sept mercenaires » est un western avec de bons acteurs et quelques scènes d'action intéressantes. Les scènes de tortures et d'humiliation des prisonniers sont assez fortes et cruelles. C'est un film parfois maladroit mais pas désagréable, à condition de réussir à faire abstraction de l'original. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Même critique que pour le second volet : bon western mais manque de charisme des acteurs (George Kennedy est loin d'être à la hauteur de Yul Brynner). La scène où les paysans, enterrés jusqu'au cou, se font piétiner la tête par les chevaux est assez cruelle.
Un dérivé plutot sympathique du chef d'oeuvre de sturges: ici les traits de caractere sont remplacés par des etats(a part chris nous avons donc un mexicain,un noir,un vieux,un malade agonisant,un manchot et un bourrin!)
C'est devenu une serie B mais plutot réussie et bien meilleure que le retour des sept mercenaires.