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NomdeZeus
89 abonnés
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2,0
Publiée le 14 juin 2012
Ce duel au sommet entre James Bond et le tueur à gage Scaramanga manque cruellement de spectacle. C’est bien simple, en 2H de film il ne se passe rien de notable jusqu’au duel final (assez bien réalisé au demeurant). Christopher Lee est sous-exploité, le scénario est mal-ficelé et les James Bond girls manquent cruellement de charisme. Un des épisodes les moins aboutis de la saga.
Roger Moore de retour pour un James Bond plus convaiquant que le précédent par son originalité.Malgré quelques incohérences ou idioties et un manque de ressemblance à un vrai thriller policier, le film contient des personnages dont certains font paris des plus intéréssants de la série, à commencer bien sur par Fransisco Scaramanga, qui est à mon point de vue le meilleur méchant de Bond, nottement grace au grands charisme et la grande interprétation de Christopher Lee qui ferait du personnage, la vedette du film. Le personnege de Tric-Trac, le nain homme de main de Scaramanga est lui aussi très distingué des autres.Les bonds girls de ce film ne sont ni les plus jolis ni les plus intéréssentes.Le film possède toujours de bonnes cascades et des décors efficaces. On ne s'ennui pas trop. Le coté très Oriental n'est pas génant. Et cette fois , le sherrif Pepper est moins aggacants que sa précédant apparition. Le film se distingue des autres James Bond car cette fois ci, le méchant vise plus Bond que le monde
Deuxième film de l'ère de Roger Moore. L'Homme au pistolet d'or s'avère nettement plus efficace que le précédent opus. Plusieurs raisons expliquent cela. La première c'est que le film est une merveille de paysages et de musique. Musique d'ailleurs composée en seulement quelques jours par John Barry pour l'anecdote. Quoi qu'il en soit, son et images s'accordent merveilleusement bien. Une presque perfection qui force le respect évidemment. Tout ces beaux et feutrés paysages d'Asie orientale apportent un style unique et atypique au film transcendé par l'irréprochable travail du compositeur. Bref, le voyage est garanti. La deuxième raison vient du jeu des acteurs et actrices. En effet, il y a dans un premier temps la prestation de Roger Moore qui se rapproche du jeu de son prédécesseur en proposant une interprétation un peu plus fidèle au personnage de Fleming. Pure plaisir que de voir (presque) disparaître les fantômes des anciens rôle de Roger Moore. La scène où Bond gifle Andrea Anders en est la meilleure illustration. Andrea Anders d'ailleurs incarnée par la belle et talentueuse Maud Adams, actrice que le spectateur retrouvera neuf ans plus tard dans le rôle d'Octopussy pour le film éponyme. L'adversaire principal du héros est une sorte de James Bond qui aurait mal tourné. Le terme d'alter ego maléfique est tout à fait à propos.Il est ici incarné par ce monstre sacré du cinéma : Christopher Lee. Une interprétation efficace qui inscrit le personnage de Francisco Scaramanga au rang de culte. Enfin, la dernière raison qui fait de ce film un bien meilleur James Bond que le précédent, c'est qu'il ne s'éternise jamais. Le scénario et les scènes d'action vont de concert. L'histoire va crescendo pour finir en apothéose sur le duel final opposant Bond à Scaramanga. Toutefois, L'Homme au pistolet d'or est un film loin d'être parfait ; l'humour et l'invraisemblance restant maîtres à bord. La présence du shérif Pepper et celle des nombreux artifices humoristiques en sont la preuve très claire. Il y a aussi ces quelques dernières minutes du film où Nick Nack tente de tuer Bond par une tentative désespérée. Une scène ratée et particulièrement débile où burlesque et ridicule ont été privilégiés au détriment de la violence. Aussi, et c'est important de le noter, le spectateur ne pourra que constater la monstruosité du doublage français qui, par des intonations extra-terrestres anormalement débiles, renforce encore d'avantage le ridicule de certaines situations. Mais malgré toutes ces horreurs, et c'est surprenant, le film se laisse regarder avec plaisir. Le ridicule en moins et une violence assumée auraient rendu le film bien meilleur, c'est incontestable.
Un épisode très efficace avec un Christopher Lee charismatique et quelques séquences très drôles, dont deux que Spielberg a pillé pour les deux premiers Indiana Jones. Beaucoup d'action, une bonne trame, cet homme au pistolet d'or demeure intriguant et une grande menace pour 007.
Probablement le plus faible film de la série où on en vient à regretter que le ridicule n'ait pas stoppé la réalisation poussive et sans imagination de ce film ridicule, lent, ennuyeux et grossier. Certes, Saramanga a trois tétons, dommage que ce ne soit pas une particularité anatomique d'une des filles des films de Russ meyer. Les personnages n'existent pas, versent dans une caricature affreuse et raciste, le nain impayable comme méchant n'égale jamais en méchanceté le Docteur Loveless, Maud adams est réduit à un rôle de potiche sans parler des rôles secondaires : karakétas ridicules, touristes cons... Les scènes se déroulent dans un climat qu'on croirait l'apanage de films pastiches et donc à l'humour totalement involontaire. Roger Moore, déjà peu à l'aise dans Vivre ou laisser mourir, un peu plus mouvementé et funny, est ici aux abonnés absents. Son affrontement avec le grand Christopher Lee se finit en eau de boudin et est totalement ridicule. La scène d'ouverture laissait présager du pire. Le film est aussi assez laid visuellement. La série Roger Moore trouvera son apogée avec L'espion qui m'aimait.
Un des plus grands classiques de James Bond, et qui se distingue par un certain goût pour l'exotisme et l'opulence bling-bling. On y retrouve tous les ingrédients qui ont fait le succès de la série, les afficionados ou futurs afficionados du plus célèbre espion du monde s'y retrouveront sans peine. Mention spéciale pour la très fameuse scène à suspense du duel final, particulièrement bien ficelée... A voir sans hésiter.
Un volet de la franchise James Bond vraiment pas passionnant. Un scénario ultra simple et un humour nul et ringard. Quelques scènes pas trop mal tournées, un film mineur pour 007.
Pour sa seconde apparition dans le costume de 007, Roger Moore baisse de régime. Après un Vivre et laisser mourir, convaincant ce neuvième opus est globalement décevant que ça soit dans l'humour ou dans le traitement de l'action. A noter malgré tout le sympathique retour du shérif J.W.
On fait un pas de plus dans la saga James Bond. L'homme au Pistolet d'or, toujours réalisé par Guy Hamilton et présentant Roger Moore dans le rôle de l'agent 007, se déroule cette fois-ci dans les pays asiatiques du sud (Thailande, Hong Kong) où notre agent doit déjouer les pièges du redoutable Scaramanga (Christopher Lee). Un épisode un peu meilleur aux précédents, pour le charisme du méchant, leur affrontement final et la belle diversité des paysages. Certes, les scènes typiques d'un James Bond sont toujours présentes mais cet opus parvient à nous les offrir sans réelle casse.
Pour un James Bond, celui-ci fait partie des plus réussis en ce qui me concerne. Le scénario est pas mal fichu et nous entraine dans les superbes paysages de Thaïlande. Surtout Bond (R.Moore dont les répliques fonctionnent bien ici) affronte l'un des méchants les plus charismatiques de la saga, à savoir Christopher Lee en Scaramanga.
Désolant, navrant, ridicule, mou, crétin, beauf, ... Que de qualificatifs pour désigner cette aventure Bondienne. Dernière collaboration entre Albert R. Broccoli et Harry Saltzman, ce dernier ayant quitté le navire, cette "oeuvre" n'est, heureusement, qu'une transition honteuse. Il Faudra trois années à Broccoli pour redresser la barre avec succès, ce sera "L'Espion qui m'aimait" en 1977.