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    L'Homme au pistolet d'or
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    233 critiques spectateurs

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    gregbox51
    gregbox51

    37 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 février 2016
    Mon Dieu que c'est mal joué, que les scènes "d'action" sont chiquées et que le scénario est décousu. Un des pire Bond que j'ai vu......
    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2023
    « spoiler: Comment trouvez-vous mon île, M. Bond ?
    »

    Un deuxième épisode mettant Roger Moore en vedette, qui est le neuvième de la série, et se déroule sur fond de crise énergétique mondiale – Premier choc pétrolier.

    007 est chargé de spoiler: récupérer un instrument qui représente une solution technologique révolutionnaire aux pénuries d'énergie contemporaines, tout en affrontant l'assassin le plus célèbre du monde, Francisco Scaramanga, surnommé “L'Homme au pistolet d'or”
    .

    Après spoiler: Beyrouth, la mission de Bond se poursuit à Macao et à Hong Kong, avant de se dérouler en grande partie à Bangkok, pour finalement se conclure sur une île chinoise
    – dont les décors naturels ont été filmés sur une île devenue la célèbre « Ile James Bond » dans la baie de Phang Nga dans le sud de la Thaïlande.

    L'action culmine dans un spoiler: duel entre James et Scaramanga – brillamment incarné par Christopher Lee – qui décide du sort du Solex, qui permet de contrôler l'énergie solaire à l'échelle mondiale
    .

    Bien que présentant un thème d'actualité avec deux grands rôles principaux et un rôle comique notable, il manque spoiler: une vraie James Bond girl
    .

    3.8/5
    elbandito
    elbandito

    344 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 novembre 2012
    1975. L’un des pires films de la saga James Bond, avec une histoire de duel rocambolesque et des personnages souvent ridicules, un humour potache indigne de l’œuvre de Ian Fleming, des gadgets excessifs (la voiture marron de Scaramanga qui décolle avec ses ailes en carton-pâte, Bond qui enferme un nain dans une valise…). Le but était probablement d’élargir le public aux enfants… Mais au final, cette aventure est une énorme déception, au point de se demander comment un grand acteur tel que Christopher Lee a pu échouer ici ! Palme du grotesque au shérif Pepper !
    Ti Nou
    Ti Nou

    496 abonnés 3 495 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2010
    Pas du tout motivé pour rattraper le mauvais "Vivre et laisser mourir", Guy Hamilton réalise paresseusement cet épisode et rate toutes les scènes d'action. Heureusement Roger Moore s'installe peu à peu dans le rôle et son adversaire (Christopher Lee) est des plus charismatiques.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    83 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 septembre 2020
    James Bond a-t-il trouvé un adversaire à sa taille ? C'est en tout cas ce que nous promet cette suite avec Sir Christopher Lee en Francisco Scaramanga, tueur à gages qui use d'une arme en or pour exécuter ses proies. Bien que la confrontation soit sous tension entre les deux hommes, encore une fois le scénario est faiblard et les James Bond Girls très fades. Nous sommes loin de la qualité des premiers opus.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 août 2008
    Christopher Lee est "l'invité " de ce james Bond par ailleurs très divertissant et bourré de bonnes trouvailles, sympa!
    rogertg2
    rogertg2

    29 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 août 2008
    Un "James Bond" correct car avec un vrai scénario encore tiré des romans de Ian Flemming et avec à la fois de l'action et de l'humour, contrairement aux plus récents qui ne sont plus qu'une suite de poursuites rocambolesques et qu'une collection de gadgets ridicules. Tous les acteurs sont excellents dont Roger Moore qui est un James Bond à la fois plein de fougue et d'humour.
    Lepouceducoin
    Lepouceducoin

    23 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 août 2018
    L'intro nous plonge tout de suite dans le bain avec la découverte de Scaramanga (Christopher Lee, enfin un bon méchant charismatique, mais assez discret finalement) et ce fameux nain Tric-Trac (Hervé Villechaize) à la voix de Bugs Bunny. Mais, on retombe un peu dans les travers du précédent épisode avec des passages assez mal fichus et assez ridicules (quand Bond avale la balle coincée dans le nombril d'une danseuse ; les retrouvailles avec ce fameux shérif de l'opus précédent ; la James Bond Girl, Britt Ekland, encore plus bêta que d'habitude, qui appuie sur le bouton avec ses fesses...) et des bruitages toujours pas très réussis (tout comme le doublage et les accents asiatiques). J'ai eu peine à entendre certaines répliques, assez misogynes ou d'une lourdeur sans nom ("chacun tirera son coup d'une façon ou d'une autre"...). Roger Moore s'en tire peut-être un peu mieux que sa première fois. Il y avait pourtant de quoi faire avec cet homme au pistolet d'or mais ce trait n'est pas assez exploité selon moi. A noter l'excellente idée de la planque dans l'épave du bateau.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 avril 2007
    Deuxième Bond parodique, légèrement au dessus du précédent mais c'est pas beaucoup mieux (on appréciera quand même les musiques orientales de Barry)! L'idée d'opposer Bond a sa nemésis était pourtant une bonne idée, surtout si c'est le génial Christopher Lee qui l'incarne (cousin éloigné de Fleming d'ailleurs). Hélàs le tout tourne rapidement court, le film représentant ce qu'il y a de pire dans le Bond de Roger Moore: l'humour a tout prix, et pas très fin en plus avec quelques calembours que la décence m'interdit de relater ici. Le scénario pèche par ses multiples incohérences et ses inexactitudes (on voudrait nous faire croire que, comme par hasard, le shériff Pepper est en vacances là où se trouve Bond) à tel point qu'on se fiche pas mal de l'intrigue pour se concentrer sur le plus interessant: le duel Bond/Scaramanga. Coté casting, même si Maud Adams se distingue par sa sobriété, Britt Ekland incarne l'une des pires Bond girls de l'Histoire, blonde cruche écervelée tenant plus de l'inspecteur Clouseau que d'une agent du MI6. Hervé Villechaize est également assez exaspérant (surtout a la fin sur la jonque). Le final est de même d'une rare faiblesse: un seul employé pour gérer tout le complexe de Scaramanga c'est un peu léger. Quant au duel, son issue est prévisible dès le prégénérique (c'est dire...). Bref, on commence à toucher le fond. Enfin, c'est juste mon avis !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 novembre 2014
    Adaptation du dernier roman de Fleming qu'il ne finalisera pas lui même, il constitue un opus différent des autres, au moins pour un point : c'est le seul film ou Bond ne tue qu'un seul adversaire ! Décrié par beaucoup de fans comme l'un des moins aboutis, cet épisode de la sage n'en reste pas moins fascinant par certains aspects. Le méchant tout d'abord, Scaramanga, possède un nom et une stature inoubliables, tout comme son arme qui se démonte et se remonte à volonté. Bond ici enquête de manière plus réaliste, plus comme dans le premier film, Dr No. D'ailleurs le vilain habite aussi sur une île et c'est là que James Bond va le défier. Le parallèle s'arrête à car là ou Dr No avaient plusieurs hommes de mains, Scaramanaga n'a que le factieux Tric-Trac (Knick Knack en VO) pour le seconder. Scaramanga est un homme solitaire comme il le dit, qui pense se suffire à lui même, à l'image de Bond à qui ils se compare. Il y a l'utilisation du miroir entre ces deux personnages comme Fleming le faisait dans ses romans, celui dont est tiré le film, mais également Casino Royale le premier roman, celui-ci étant le dernier, que Fleming n'a pas achevé lui même, la boucle est bouclée. Ce qu'il convient d'appeler une "nemesis". Le rôle est interprété avec rigueur et classe par Christopher Lee, lointain cousin de Fleming, de qui exhale un parfum de danger, d'absence d'empathie en même temps qu'il fait preuve de charme et de courtoisie. Car si Bond se défend de lui ressembler, il admets que Scaramenga sait vivre et apprécie ses mets et son vin. Il va même jusqu'à faire en sorte de lui ressembler physiquement afin de tromper son employeur. Scaramanga aussi a besoin de sexe, à la différence que lui veut soumettre sa partenaire. 007 se retrouve en fait devant ses propres pulsions, de vie et de mort. Notre héros doit donc se nettoyer de son propre côté obscur, avant de pouvoir terminer sa mission et se réunir une nouvelle fois avec une femme, représentante de la féminité recherchée par Bond. Il une nouvelle fois un Ulysse, un Saint George moderne.
    A propos de femmes, et à classer dans les points négatifs, celui de Mary Goodnight. Godiche gaffeuse, même si parfois utile à la mission, elle (d)étonne dans ce film. Comment a t-on pu imaginer un personnage aussi caricaturale et tant maltraité par Bond ? Celui-ci apparaît comme presque aussi mufle que dans Goldfinger quand il mettait une claque sur les fesse d'une fille en bikini dix ans plus tôt !
    L'autre femme du film, Maud Adams fait également les frais de la brutalité de Mr Bond. Elle, au contraire de Mary Goodnight est un femme plus contrastée, à la fois victime et bourreau, soumise et révoltée. Il y a donc un équilibre au final entre les deux personnages.
    Apparemment la production a voulu renouer avec ce côté un peu plus dur de Bond. Si Moore s'y emploie sans broncher, on peut se demander si cela lui convenait en tant que choix d'interprétation du personnage. Ceci peut s'expliquer par le fait que la production à l'époque, avait traversé des épreuves, dues principalement aux difficultés financières de l'un des producteurs, Harry Saltzmann. La tension est palpable à travers le film. Peut être est-ce aussi cela qui provoque d'étranges fautes de goût, comme le fait de rajouter un son comique au moment d'une cascade spectaculaire ou le retour du shérif J.W Pepper. Cela et la présence du duo Hamilton-Mankiewicz aux commandes, comme pour les deux films précédents, fort heureusement pour leur dernière danse.
    Autre choix artistique, celui de sacrifier à la mode des films dits "de Kung Fu", comme cela avait été le cas pour la blaxploitation dans le film précédent. D'ailleurs Opération Dragon était sortie l'année d'avant. Comment leur en vouloir, tellement le film avec Bruce Lee a rendu hommage le premier aux films de Bond et notamment Dr. No, dans son style, son île et l'univers entourant un méchant mégalomane. Le film réutilise la scène ou Bruce Lee se retrouve entre plusieurs miroirs et permet encore d'appuyer la ressemblance entre Scaramanga et Bond, regardant chacun l'autre, chacun un reflet différent et similaire. Dans la même veine, on peut ensuite admirer le charme de Roger Moore vêtu en Keikogi. C'est une de ses meilleurs tenues car la mode de l'époque est vraiment dépassée et les choix de certains costumes sont étranges pour le moins.
    Quant à la musique, à part la chanson titre tonitruante, elle est suave et excitante, composée par l'excellent John Barry comme toujours, jusqu'au film suivant tout du moins.
    Les décors, la tonalité chromatique des images est perpétuellement dans les dorés, les bruns, l' ivoire et le mastic. Ce parti pris rend l'image belle, captivante et contribue à l'unicité du film.
    Côté gadgets, par grand chose à part ceux du méchant, notamment avec une idée reprise à Fantomas, la voiture volante.
    Au final un Bond sec, direct, encore trop parodique, avec néanmoins un beau duel d'acteurs et donc un adversaire à la hauteur de Bond.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 décembre 2022
    Le neuvième opus de la saga James Bond est réalisé une nouvelle et dernière fois par Guy Hamilton. Sorti en 1974, ce divertissement nous emmène en Asie où le célèbre agent secret doit déjouer les plans de Scaramanga (Christopher Lee). On a le droit à un vrai bon méchant assisté d’un nain malicieux (l’acteur français Hervé Villechaize). Même si l’on retrouve tous les ingrédients de la série, cela manque de rythme. Et malheureusement, Roger Moore ne parvient pas encore à faire oublier Sean Connery. Bref, un épisode laborieux.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    986 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2013
    Deuxième Bond avec Roger Moore, L'Homme au pistolet d'or fait baisser d'un cran la qualité amorcée avec Vivre et laisser mourir, qui ancrait clairement le nouvel acteur et son personnage dans les années 70. Toujours réalisé par Guy Hamilton, ce neuvième opus nous entraîne dans une aventure en mi-teinte, inégale, où 007 va en premier lieu devoir débusquer puis affronter celui qui le traque : un tueur professionnel nommé Scaramanga. Assassin hors pair signant ses méfaits d'une balle en or, ce nouveau Némésis s'avère être un adversaire de taille à la fois cruel et charismatique, comme une sorte d'alter ego maléfique de l'agent britannique. C'est l'immense Christopher Lee qui incarne donc cet ennemi mémorable qui va s'amuser avec 007 tout au long du film, l'emmenant dans son petit jeu afin de savourer plus délectablement sa mort. L'intrigue de ce deuxième film avec Moore commence brillamment bien, changeant la donne quant aux habituelles histoires de méchants mégalomanes : l'agent secret doit sauver sa peau et va pour cela prendre les devants. Moore campe un 007 moins blagueur, plus froid, n'hésitant pas comme son illustre prédécesseur écossais à mettre des baffes aux dames si nécessaire tout en abusant de moyens de persuasions plus érotiques. Malheureusement, arrivée à la seconde partie du métrage, l'histoire retombe dans l'énième sauvetage du monde, Scaramanga devenant ce sempiternel mégalomane soucieux de gouverner le monde grâce à un engin capable de capter l'énergie solaire. Nous sombrons ainsi dans le classicisme pur et dur de la série, oubliant une première partie certes moins rocambolesque mais plus originale. De plus, l'humour alors discret dans cette dernière se fait plus présent, à notre dam, notamment lorsque ce bon vieux Moore se lâche dans une école de karaté ou lorsqu'il revoit une vieille connaissance vue dans l'épisode précédent : le shérif américain Pepper (toujours campé par Clifton James) dont l'improbable présence à l'autre bout du monde et les blagues lourdingues empêchent le long-métrage d'être un minimum sérieux, rejoignant ainsi la suite de ce scénario virant à l'abracadabrantesque. La mise en scène un peu paresseuse d'Hamilton est à peine rehaussée par quelques bons moments d'action (la séquence de karaté, la course-poursuite en hors-bords sur les canaux de Bangkok). Mention passable donc pour ce neuvième film qui s'annonçait pourtant aussi différent que foncièrement exaltant.
    Eldacar
    Eldacar

    48 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 août 2008
    Inutil d'y aller par quatre chemins, ce James Bond est l'un des plus faibles de la saga. Roger Moore, qui ne peut s'empêcher de faire de l'humour (mauvais en plus!), est loin de nous faire oublier Sean Connery. Le film manque de rythme et de cohérence. Pourtant, un film opposant James Bond à un méchant joué par Christopher Lee pouvait promettre de grands moments mais il n'en est rien. Même le duel final Bond/Scaramanga n'est pas à la hauteur, tellement il est rapide. Navrant!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 août 2008
    J'était vraiment rétissant au niveau de Roger Moore après Monnraker que j'ai trouvé vraiment débile. Mais la Roger Moore à vraiment la classe. Un vrai James Bond. Une bonne histoire. Malheureusement les scènes de combat sont un peu mal faite. Mais l'on passe un excellent moment devant cet excellent James Bond
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 août 2011
    Rock n'roll, rythmé, enlevé, ce neuvième épisode de la saga James Bond, le deuxième avec Roger Moore, assure le spectacle de part en part.
    A commencer par le méchant incarné à la perfection par l'inmanquable, celui qu'on ne présente plus, le magnifique, l'immense Christopher Lee (1,96 m si je ne me trompe pas). Son rôle vaut de l'or tant il permet de poser à lui seul une atmosphère malsaine à chacune de ses apparitions. Christopher a l'art de jouer les méchants (ses 11 Draculas ne vont pas lui dire le contraire) et le montre de façon pudique, posée, et d'une manière si charismatique que son interprétation tient du sans faute.
    Face à lui, Roger Moore, plus classe que jamais, campe l'agent double avec son humour bien particulier, sa dose d'aventure qu'il ne rechigne pas, et surtout sa manière bien à lui de ressortir indemne des combats, d'être un genre d'invicible, LE seul et unique James Bond.
    "The man with the golden gun" permet aussi à Guy Hamilton de s'affirmer comme le nouveau maître du film d'espionnage : il en est à son quatrième et ultime réalisation pour la saga James Bond. Il peut donc s'en aller avec les honneurs.
    Ian Fleming, mort en 1964 (juste après la mise en scène de son "From Russia with love" de Terence Young), ne put achever le roman "The man with the golden gun". Un autre écrivain fut mis à contribution. Lors de son adaptation au cinéma, seulement le pistolet d'or, le méchant et le titre resta. Le scénario du film n'en demeure pas moins maîtrisé (Richard Maibaum reste présent depuis "Dr No") : James Bond doit affronter l'homme le plus puissant du monde, le dénommé Scaramanga, et son pistolet d'or... .
    Au casting, suivent de près la non moins sublime Britt Ekland (déjà vu dans un Vittorio De Sica) et Maud Adams (qu'on retrouvera plus tard dans "Octopussy"), plus glamour qu'Ekland, dans les rôles des James Bond girls. Du côté des méchants, Hervé Villechaize (Nick Nack) est parfait dans son personnage de dur à cuire loufoque (il fait penser à Mini-moi je trouve).
    Il est à noter que la photographie, somme toute banale, se démarque grâce notamment aux décors paradisiaques qui nous sont dévoilés. Les effets spéciaux (même s'il n'y a que deux explosions majeures dans le film) sont remarquablement bien huilés, tout comme les bagarres au corps-à-corps (peu de fusillades) entraînés par un Roger Moore plus mature que jamais !
    La musique, elle, fait son grand retour, tout comme John Barry. Il signe avec tact, classe, fermeté et sagesse, une musique douce qui se fait très joliment la part belle au rock n'roll sans jamais toutefois l'atteindre. John nous entraîne lui aussi dans une virée lointaine, sur des îles paradisiaques. La chanson du générique, "The man with the golden gun", est chantée par une certaine Lulu.
    "L'homme au pistolet d'or" est un must u film d'espionnage, l'un des meilleurs de la saga, et donc dans l'absolu (dans l'ordre chronologique), le meilleur Roger Moore.
    Spectateurs, laissez-vous tenter par ce James Bond, et, par-delà les apparences, même s'il ne s'agit que de Christopher Lee, faîtes attention à un briquet posé à côté de vous ce soir... !
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