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    L'Homme au pistolet d'or
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    233 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juin 2022
    Un neuvième opus réjouissant malgré des lourdeurs, avec un Roger Moore un peu ridicule en mode arts martiaux, mais rehaussé par la présence charismatique de Christopher Lee et du nain malicieux.
    stallonefan62
    stallonefan62

    289 abonnés 2 554 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2022
    Duel au sommet entre Roger Moore et Christopher Lee !! un nouveau volet intéressant, dans la lignée d'un bon James Bond !! L'ensemble est rythmés avec son lot d'actions et de fusillades!!
    bobmorane63
    bobmorane63

    189 abonnés 1 965 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 janvier 2017
    Un épisode des aventures de notre célèbre agent secret James Bond sous l'ère Roger Moore réalisé par Guy Hamilton, le cinéaste qui a fait "Goldfinger", l'un des sommets de la saga, qui n'a pas perdu son talent pour mettre en scène "L'homme au pistolet d'or" !! Le début nous met tout de suite dans le bain avec un homme vivant sur une ile avec un nain tout rigolo qui assassine un homme dans une salle d'effets spéciaux (je vais appeler cela comme ça car je ne trouve pas le nom) ou est représenter une statut de 007. Cette homme a la particularité d'avoir, comme le titre l'indique, un pistolet d'or et veut éliminer James Bond, oui, mais pourquoi? Le héros mène l'enquète. Bastons, courses poursuites, karaté, cascades tout est réunit pour nous faire passer un bon moment. Contrairement à un magazine qui dit que les James Bond avec Roger Moore sont mauvais les uns les autres, il est clair que les meilleurs sont ceux incarné par Sean Connery mais je trouve ceux de Roger Moore allie humour, glamour et divertissement et le résultat est positif pour ma part. En face, il y a un bon méchant incarné par Christopher Lee qui est excellent et puis les James Bond Girls sont a tomber. J'ai bien aimé dans sa globalité.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    176 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juin 2016
    Deuxième épisode de James Bond avec Roger Moore et le ton plus parodique (so british) est encore plus présent. Cet épisode est du même niveau que le précédent ("Vivre et laisser mourir") mais sans la sublime musique de Sir McCartney. Le film est vraiment dans son époque des années 70.
    Il est indéniable que Roger Moore est moins bien dans le costume que Sean Connery.
    Mais Christopher Lee donne du piment dans son rôle de méchant Scaramanga et offre un beau duel avec James Bond.
    Guiciné
    Guiciné

    162 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2022
    Le film vieillit quelque peu en rapport à ce qui se fait aujourd'hui, mais le scénario toujours rebondissant qui fait place à l'action et l'humour est intact.
    Très divertissant.
    gizmo129
    gizmo129

    96 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2021
    James Bond fait cette fois face à un antagoniste d'exception avec Christopher Lee, grand acteur de cinéma et futur Saroumane du Seigneur des anneaux ! Ce méchant et son fameux pistolet font de l'ombre à notre James Bond de Roger Moore qui continue toutefois à prendre de l'épaisseur. Ce nouvel interprète est crédible dans le costume et sa classe est même mis à rude épreuve avec son acolyte de flic bourru dans une tentative vaine de création de buddy movie dans une partie du film !
    Vrakar
    Vrakar

    41 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juillet 2020
    La rencontre entre deux grands acteurs britanniques, Moore et Lee, s'avérait alléchante dans ce 9ème James Bond. Las. Le scénario minimaliste tourne vite en rond ; Q est pris pour un moins que rien ; les gadgets sont rares ; l'humour british au minimum syndical ; le fief de Scaramagna, aussi exotique qu'il soit, est tout aussi improbable que son immonde nain ; le retour de l'affligeant shériff de "Live & Let Die" est une erreur de casting ; les scènes d'arts martiaux sont ridicules ; les incohérences sont nombreuses, et même la bande son est médiocre. Le pire dans tout ça, c'est la misogynie et le machisme poussés à leur extrême. A l'image de Bonne-Nuit (rien que son nom...) et Andrea, réduites à un condensé de clichés et à se pâmer bêtement devant James. Le sexisme, dans 70's, était à son apogée malgré des changements encourageants. Seule la réalisation s'en sort pas trop mal. Le pire des JB, avec "Moonraker", sous l'ère Moore.
    rocky6
    rocky6

    30 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2020
    Un James Bond un peu faible. La faute sans doute à un méchant qui manque d'envergure et une intrigue un peu légère. Le film reste heureusement plaisant à regarder grâce au talent de Roger Moore.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 363 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 février 2023
    La neuvième aventure de l'agent 007 aurait pu s'appeler "James Bond et le troisième téton". En effet, l'histoire tourne autour d'un homme dont personne ne connait le visage mais qui est connu pour avoir trois mamelons et surnommé "L'homme au pistolet d'or". Finalement ce méchant joué par Christopher Lee est l'un des rares atouts de ce film qui patine dans un scénario faiblard et un Roger Moore qui ne s'est toujours pas imposé.
    Eselce
    Eselce

    1 395 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2015
    Ce n'est pas vraiment une mission, je trouve. C'est plus une sorte de règlement de compte. Assez léger côté scénario, Christopher Lee et son acolyte sont néanmoins parmi mes méchants préférés de JB. L'assemblage du pistolet d'or est sympa. Les noms des filles amusant. Les décors un peu passés mais rien n'est agaçant dans ce JB. Sauf p-e le shérif, personnage repris du JB précédent et en dehors de son aspect comique, il est peu utile. J'ai bien aimé le personnage "Bonne nuit" et surtout l'homme à tout faire de Scaramanga qui est vraiment génial et a un excellent doublage de voix française.
    Shawn777
    Shawn777

    586 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2023
    Neuvième mission pour l'agent britannique 007, sortie en 1974 et une nouvelle fois mise en scène par Guy Hamilton dont ce sera d'ailleurs la dernière, n'est pas mal mais sans plus. Voilà, ce n'est pas franchement le "James Bond" le plus mémorable de la franchise mais il n'est pas désagréable non plus. Pour la deuxième aventure de Roger Moore, l'histoire est également plus simple puisqu'en gros, James Bond est cette fois sur les traces d'un tueur à gages qui a gravé sur une de ses fameuses balles en or le matricule de l'espion britannique. Et ce n'est pas plus mal puisqu'on sort un peu des énièmes conflits géopolitiques ou des prises de têtes avec le SPECTRE, le film rappelant d'ailleurs un peu en ce sens "Goldfinger" dont le scénario sortait également des sentiers battus en exploitant un antagoniste inédit, d'ailleurs également admirateur d'or. Et lorsque que je dis que cette mission n'est pas plus mémorable que ça, c'est tout simplement car il n'y a pas de scènes d'action réellement marquantes, le scénario est un peu basique malgré sa volonté de sortir du lot et puis Goodnight, la James Bond Girl, est particulièrement idiote ; c'est même peut-être la plus potiche de toutes (la saga n'étant en même temps jamais tendre avec ses personnages féminins, du moins jusqu'à l'ère Brosnan). Pour autant, on ne s'ennuie pas non plus car le rythme est plutôt soutenu, nous avons toujours cet humour propre à l'ère Roger Moore et on retrouve d'ailleurs à ce propos le shériff sudiste du précédent opus qui vient de nouveau ici amener son petit vent de fraicheur. Et puis nous avons un antagoniste charismatique, très bien interprété par Christopher Lee. "L'Homme au pistolet d'or" n'est ainsi pas un mauvais épisode mais reste malgré tout assez oubliable.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    693 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2020
    Très cool L'homme au pistolet d'or. Christopher Lee offre un méchant culte et imposant. Les séquences d'action sont maîtrisées et le rythme est endiablé. Un divertissement agréable qui permet à la saga James Bond d'être de plus en plus impressionnante.
    Objectivons
    Objectivons

    314 abonnés 2 937 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mai 2013
    Encore une fois, j'ai peu accroché à l'histoire. Je dois bien avouer qu'après avoir pris une courbe ascendante, en recommençant le visionnage des James Bond dès le 1er épisode, cela s'inverse.
    L'histoire ne m'a pas emballé, et, à défaut de faire un mauvais film, cela ne m'en donne pas moins une impression de déception. J'espère que les suivants relèveront le niveau...
    Ricco92
    Ricco92

    225 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2020
    Contrairement à George Lazenby, Roger Moore a bien été accepté par le public dans le rôle de 007. Il peut donc retrouver le costume de James Bond une seconde fois. Même s’il retrouve certains éléments traditionnels qui avaient disparu dans Vivre et laisser mourir (entrevue dans le bureau de M, retour de Q…), L’Homme au pistolet d’or continue doucement la transition de la saga vers l’univers caractéristique de Roger Moore essentiellement marqué par l’humour.
    Si celui-ci reste encore relativement sobre, le retour du personnage du Shérif J.W. Pepper, cette fois en vacances, montre que la série se tourne doucement vers la franche comédie. De même, la fin du film prouve que la production est prête à oublier totalement la logique pour pouvoir offrir un gag spoiler: (le bateau appartenant à Scaramanga, M n’a pas pu y installer un téléphone !)
    . De plus, la production n’hésite pas non plus à utiliser l’humour pour ridiculiser Bond lui-même spoiler: comme dans la séquence où Bond est sauvé par les nièces du lieutenant Hip étant très douées en arts martiaux. Cette séquence répond à la volonté de surfer sur l’air du temps.
    Après la blaxploitation dans Vivre et laisser mourir, c’est de la mode du cinéma d’arts martiaux que ce Bond s’inspire. Cela explique plusieurs aspects répondant à une volonté d’exotisme mais qui pourrait sembler clichés aujourd’hui bien que ne l’étant pas plus que certaines productions hongkongaises de l’époque.
    Pour ce qui est de la gente féminine, L’Homme au pistolet d’or navigue entre le progressisme et la misogynie. En effet, on trouve d’un côté les deux jeunes femmes asiatiques citées plus haut et Andrea qui est un personnage fort et dont l’importance se révèle capitale au récit. De l’autre, se situe celui de Mary Bonne-Nuit (Mary Goodnight en V.O.) qui est régulièrement ridicule (on a du mal à croire que M puisse estimer qu’elle soit un bon agent et qu’elle puisse même effectuer ce métier si dangereux) spoiler: : elle est même littéralement humiliée dans la séquence où Bond, en véritable macho, l’enferme dans un placard pendant qu’il profite des charmes d’Andrea
    .
    Pour ce qui est des antagonistes de Bond, L’Homme au pistolet d’or bénéficie de deux très bons personnages avec ceux du serviteur Tric-Trac (dont la petite taille contrastera avec la grandeur de Requin dans les deux épisodes suivants) et surtout avec Scaramanga. Ce dernier bénéficie du talent du très grand comédien qu’est Christopher Lee, qui pouvait ainsi sortir des films d’épouvante de la Hammer et qui était, par ailleurs, un cousin de Ian Fleming.
    C’est d’ailleurs de ce personnage que provient les deux seuls gadgets mémorables de ce long métrage (le pistolet d’or démontable et la voiture volante). En effet, si Q fait son retour, il n’offre à Bond que des renseignements et un téton factice (pour simuler la polymastie de Scaramanga). Cela n’empêche pas le film de regorger de scènes d’action et de cascades spoiler: (notamment celle, impressionnante, où la voiture de Bond saute au-dessus d’un canal en effectuant une vrille)
    comme dans tout épisode de la série.
    Enfin, pour conclure, le traditionnel générique de début bénéficie toujours du talent de Maurice Binder et de entraînante chanson de Lulu composé par John Barry (de retour sur la saga après la parenthèse George Martin de Vivre et laisser mourir pour lequel il n’était pas disponible).
    Ainsi, avec L’Homme au pistolet d’or, Roger Moore réussit à prouver qu’il est bel et bien la nouvelle incarnation de 007 et qu’il arrive à lui imposer un univers qui lui est propre, sans encore tomber dans le grotesque qui marquera trop souvent ses derniers passages dans le rôle. Ce second épisode de l’ère Moore se révèle donc un bon crû de la saga.
    maxime ...
    maxime ...

    242 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juin 2021
    L'homme aux Pistolet d'Or a su capté mon attention dès l'allumage. Le film poursuit sur les bases du précédent et pousse ses réhausses en touts points.

    Pour prendre un exemple, quoi de mieux que cette introduction. La très haute teneur de cette dernière place d'office les jalons là ou il faut et confère notamment à son antagoniste des prédispositions et un intriguant parcours. Le jeu du " Chasseur " auquel il se prête avec son " adversaire / partenaire / subordonné " délivre bien des messages sur la psychologie et le trouble évident de ses personnages. Un bon méchant, un bon film non ?

    Toute la première moitié est d'ailleurs pour moi une réussite. Par plusieurs fois je me suis fais le parallèle avec Goldfinger qui sous certains angles composait avec des arguments similaires. L'histoire se ternit un peu à mesure des facéties habituelles de la série mais sur ce point ce second film avec Roger Moore reste pou moi un des touts meilleurs depuis le départ.

    J'en reviens une nouvelle fois à Christopher Lee et au Mano à Mano qui le lie à son rival 007. Saluons une fois encore l'implication et la nuance de cet acteur qui relève le défi avec savoir faire et implication. D'ailleurs, les autres comédiens sont eux aussi au niveaux du faible crédit qui leurs est pourtant allouer. Des " faire-valoir " qui se distingue, d'une certaine manière.

    Il y'a aussi un gros délire dans ce long métrage avec la géométrie, j'y adhère à fond ! Que se soit cette salle ou s'adonne Scaramanga à sa passion, ou encore à ce navire difforme, cette voiture / avion et sa piste de décollage en terre battue ... Il y'a du niveau et c'est drôle. Question mauvais gout, on est servit. En revanche, ce dernier trouve une certaine auto-dérision assez délectable. On continue de " cogner " sur des cibles privilégié tel que les étrangers, les femmes mais il y'a des moments ou la balance à défaut de s'inverser vacille néanmoins quelque peu. Rappelons que Bond gobe une balle sur un nombril, se défait d'un Sumo dans un combat peu orthodoxe et dans lequel il ne brille que très moyennement, euphémisme oblige et surtout il se prend un râteau ! Un demi du moins puisque trente secondes suffisent pour inversé et maximiser le " score " de l'énergumène. Mais voilà, pour le coup, c'est amusant. La valise dans son final est par contre une scène très malaisante !

    Ne gardons comme toujours que le positif. Voilà un certain plaisir à retrouver ce film d'action / espionnage tout à la fois si léger et distrayant. Cap sur le prochain.
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