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    Virgin suicides
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    873 critiques spectateurs

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    stans007
    stans007

    23 abonnés 1 314 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2023
    A la fois critique du puritanisme américain et de l’assujettissement des ados à une culture coincée, il s’agit d’un film qui ne manque pas de caractère et se regarde sans ennui. Ce qui me gêne un peu c’est de choisir un scénario résolument tragique et de le traiter avec une légèreté assumée, au détriment de la crédibilité des personnages. En fait un film qui manque de profondeur.
    Laetitiacql
    Laetitiacql

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2023
    Je viens de découvrir ce film de 1999. Une histoire qui commence fort puis qui nous mène dans un quotidien plutôt banal en Amérique de l'époque. L'histoire d'une mère égoïste, d'un père passif et de leurs enfants privés de toute vie sociale. Une fin glaçante qui ne nous étonnera pas vraiment, sinon de la manière dont elle a été réalisée.
    Maximus28
    Maximus28

    41 abonnés 131 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2023
    film un peu lancinant qui ne prend pas vraiment sont envole. .on comprend au fur et à mesure ce qu'il se passe dans cette famille ..un personnage se démarque lux interprété par Christelle Dunz. .film qui malgré tout à voulu poser les bases d'une réflexion sur la société et l'éducation qui mal menée peut causer des ravage chez les enfants et déclencher des suicides en série. ..film un eu désuet mais tellement culte !
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2023
    Avec l’initiative « Ciné-Culte » des salles d’Art & Essai, j’ai découvert « Virgin suicides » le premier long métrage de Sofia Coppola sorti en 1999 d’après le roman éponyme de Jeffrey Eugenides. Le film est un grand flash-back sur le mode narratif de 4 copains qui n’ont pas compris ce qui s’était passé il y a 25 ans dans cette maison huppée de Détroit face à celle d’un des narrateurs. Y vivait la famille Lisbon avec 5 filles de 13 à 17 ans toutes ravissantes. Le père était professeur de mathématiques un peu « planant » (comme ses maquettes d’aéromodélisme) et sa femme puritaine pratiquante et au caractère singulier avec des règles très strictes de vie. Un jour Cécilia, la plus jeune des sœurs, s’ouvre les veines et le psychiatre suggère que l’éducation des parents est un peu sévère en particulier vis-à-vis des garçons. Dans le déni la mère acceptera malgré tout de faire dans le sous-sol de la maison la première boom de ses filles mais sous contrôle parental … et Cécilia de se suicider en sautant de la fenêtre de sa chambre et en s’empalant sur la grille du jardin. Sur l’insistance du père, la mère lâche un peu de mou et accepte que les 4 sœurs puissent assister au bal de fin d’année de leur lycée mais avec des garçons triés sur le volet en dehors d’un jeune plus audacieux, Trip Fontaine qui lui veut absolument séduire Lux, la sœur la plus âgée. Il y arrivera et lorsque la mère l’apprend elle enferme ses 4 filles à la maison. Son mari perd un peu la raison et est mis à la porte du lycée et les 4 sœurs très liées vivent recroquevillées sur elles-mêmes jusqu’au jour où elles décident de se suicider. Les parents vendent la maison et c’est à partir d’objets, de photos retrouvées sur place et surtout le cahier intime de Cécilia, que les 4 garçons essaieront de comprendre en vain ce lourd passé.
    Un film d’une grande finesse dans des tonalités très douces bien que l’issue soit pratiquement suggérée dès le début, et très touchant sur l'âme de ces 5 adolescentes qui malgré leurs rêves, vont basculer dans la folie castratrice (cf. le symbole de cet orme malade que les sœurs ne veulent pas voir abattre) de leur mère même si celle-ci dit « Jamais mes filles n’ont manqué d’amour ». Le réel pourquoi reste posé par le narrateur … et le spectateur !
    Loïck G.
    Loïck G.

    337 abonnés 1 671 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2023
    On n’a peut-être pas mesuré l’importance de ce premier film d’une fille à papa . Sofia Coppola a trente ans et impose déjà un regard lucide et sans complaisance sur la société américaine de son époque. Elle le fait à travers une famille parfaitement yankee où cinq sœurs tentent de s’épanouir dans un foyer assez traditionnaliste. La mère surtout est porteuse d’une éducation stricte et rigide à l’égard de cette sororité, que les garçons remarquent immédiatement. Elles sont belles et inaccessibles. A quelques reprises , l’étau se desserre, mais très vite les conventions sociales reprennent le dessus et la mère, sa gouvernance dictatoriale. Sofia Coppola touche du doigt la souffrance intime de l’adolescente en voie de normalisation. Son questionnement autour du suicide et de son fil conducteur résulte d’un ressenti extrême, plus que d’une perception. Elle ne dit pas les choses, mais les exprime dans un langage cinématographique . Des ses classiques, elle a su composer un vocabulaire singulier. Avec la mise en scène, elle signe aussi le scénario
    Pour en savoir plus : lheuredelasirtie.com
    Félix MASSON
    Félix MASSON

    25 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juillet 2023
    Un climat pèse sur ce teenage moovie qui se focalise d'apparence sur des filles en crushs sur des garçons : une aura mystérieuse, mortuaire, froide qui nous plonge dans une sorte de malaise durant tout le film. C'est une sorte de plaisir malsain car on sait dès le début ce qui va arriver et on attend les raisons qui vont pousser ces jeunes filles au pire. Mais voilà, on n'a aucune explication. Un climat familial un peu trop rigide ? (oui mais elles arrivent à s'en sortir par moment) Des déceptions amoureuses ? (oui mais ça ne semble pas vraiment touchées). Non, on ne sait pas pourquoi ces 5 filles arrivent au pire. Pourtant on le comprend d'une certaine manière grâce à une mise en scène malaisante qui filme le coloré, l'enfantin avec une certaine noirceur. La musique teint l'univers d'une tonalité trop mature pour ces ados. Mais, on ne suit en majorité qu'une de ces ados (Kirsten Dunst) qu'on arrive un peu à comprendre tandis que les trois autres ne sont absolument pas approfondies. Leurs morts n'a donc rien de touchant car elles ne font que "suivre" l'héroïne. Aussi le manque d'explication et "d'événements" m'a un peu ennuyé et cet épilogue m'a complètement perdu. Au final, le film ne manque ni de formes ni de fonds mais il manque d'événements, de choses à expliquer. On a l'impression de faire face à une fatalité que même l'espoir de la jeunesse ne pourra sauver.
    cédric l.
    cédric l.

    10 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juillet 2023
    Quel plaisir de revoir Kirsten Dunst a 16 ans. Un film qui n'a pas du tout vieilli, et c'est très enthousiasmant d'écouter la Bande Son du groupe mythique Versaillais "AIR". Avec ce premier film, Sofia Coppola prouvait qu'elle était bien, la digne héritière de son illustre papa Francis Ford Coppola.
    Daniel B.
    Daniel B.

    1 abonné 50 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juillet 2023
    Une première réussie pour Sofia Coppola avec un film difficile dans une atmosphère pesante
    Des acteurs qui décoiffent avec une direction d'acteurs d'une grande efficacité
    Ninooon_brt
    Ninooon_brt

    24 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2023
    l’ambiance 70’S et le mood d’adolescent est bien retranscrit. l’histoire est lourde mais est mise en scène avec légèreté, c’est personnel mais je n’ai pas ressentie d’émotions, ça ne m’a pas touché, je ne suis donc pas rentrée dedans.
mais j’ai adoré la scène et le fait qu’ils communiquent par vinyle comme appel de phare
    Bladerunner12
    Bladerunner12

    2 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mai 2023
    Quelle claque ce film sur l'adolescence.
    Ces jeunes filles a qui l'avenir promet le meilleur mais qui brimées par des parents qui ne voient pas leur mal-être d'ados finiront par un geste funeste.
    Casting de ouf , acteurs très juste , musique extra avec notamment "AIR". Une atmosphère envoutante , magnétique.
    Telle une feuille dans le vent on se laisse porter par Sofia Coppola jusque cette fin tragique.
    Nombre de gens ont déja oublié l'adolescence et ne vont pas suivre le chemin tracé par Mme Coppola.
    Pour les autres fermez les yeux et rappelez vous....
    Marceau Ouai
    Marceau Ouai

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 mai 2023
    Un très jolie film, qui parle d'un sujet qui nous touche tous ou nous a tous touché, c'est traité intelligemment et avec du style. Les enfants jouent assez bien. La bo est parfaite.
    Marie Josée G.
    Marie Josée G.

    7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2023
    Nombre de critiques portent sur le fait que Sofia Coppola ne donne aucune explication à la tragédie dont elle filme la génèse , vue au travers du regard de jeunes adolescents fascinés par ces cinq soeurs ravissantes et mystérieuses . Justement , un suicide , et à fortiori cinq , reste toujours inexpliqué , c’est bien le drame des proches qui n’ont souvent rien vu venir et restent dans le questionnement et la culpabilité jusqu’à la fin de leur existence . Un suicide c’est une conjonction de circonstances et de blessures qui amènent une personne à penser qu’il n’y a qu’une seule issue pour mettre fin à la souffrance .
    Tout l’art de Sofia Coppola est de montrer la vie banale de ces jeunes filles , des adolescentes désireuses de vivre leur jeunesse selon les codes de leur génération mais bridées par des parents aimants mais décalés , appartenant au monde d’avant la révolution des moeurs des années 60 et pétris d’une foi rigide qui associe la joie et le plaisir au péché . Elles ne manquent de rien , ces charmantes enfants , sauf de l’essentiel à leur âge , la liberté .
    Tout au long du film on les voit évoluer gaiement , écouter de la musique , s’intéresser aux garçons , coquettes , rieuses , des adolescentes banales . Pourtant , le fillm est parsemé d’indices , plus ou moins subtils , qui ne laissent aucun doute sur l’issue fatale , annoncée , d’ailleurs , dès le préambule , par un narrateur visiblement empêché d’oublier cette tragédie .
    Le premier , et non des moindres , est la tentative de suicide de la plus jeune des soeurs . Inexplicable , elle ne semble pourtant pas étonner outre mesure ses quatre aînées alors qu’elle désempare totalement les parents , dignes mais ravagés . Alors que les filles resserrent le cercle fraternel autour de la benjamine , veillant sur elle étroitement tout en conservant une apparente inosuciance , ils en viennent , eux , à organiser une sorte de boum à leur domicile , allant , par amour , contre leurs principes ultra rigides , en particulier la présence de garçons . Lorsque , à l’issue de cette party extrêmement guindée , elle met elle-même fin à ses souffrances , ce n’est pas si inattendu , les jalons étaient posés : sa remarque à sa mère sur l’extinction des espèces , la banalité de son journal où elle n’a rien à raconter mis à part son amour des arbres , la marque qu’elle imprime sur son orme condamné à l’abattage suite à sa contamination par le champignon venu d’Europe , tout indique que l’avenir de la planète l’angoissait , et le sien propre par extension .
    Ses soeurs , quelques semaines plus tard , reprennent le chemin du lycée , insouciantes en apparence , ignorant les regards gênés , souriantes et solaires , fasscinant les garçons attirés par leur beauté , leur douceur , leur mystère ...Ce passage , mine de rien , les différencie les unes des autres , la réalisatrice faisant émerger des personnalités différentes dans un groupe paraissant uniforme , à coups de pinceau délicats : Mary est très sociable et appréciée , Térésa , plus réservée , observe et espère un avenir , Bonnie , rieuse , a envie de joie et puis Lux , objet de tous les fantasmes , mutine , aguicheuse , imprévisible , plus audacieuse et entreprenante que ses soeurs , en position de leader mais , malgré tout partie prenante de cette alchimie qui les soude . Loin de rendre inexplicable l’acte collectif final , ces différences de personnalités l’éclairent : aucune ne trouvera satisfaction , aucune ne pourra garder espoir , aucune ne verra la moindre chance de s’accomplir , de réaliser ses désirs si simples et naturels , aucune ne pourra contredire les autres et corriger leur vision d’un avenir morne et désespérant .
    C’est Lux qui scellera leur destin en provoquant , bien malgré elle , une succession d’évènements sans gravité mais qui leur fermera les portes de la vie , selon leur point de vue . Grâce à la passion qu’elle inspire au tombeur du lycée , les quatre soeurs obtiennent de leur intransigeante mère , avec le soutien de leur père plus complaisant , d’aller au bal du lycée avec des cavaliers éberlués d’avoir été choisis par leur copain énamouré . Là encore , des indices sont semés , permettant de présager de l’issue tragique de cette banale soirée , rituel commun à tous les adolescents américains . La mère leur achète des robes de soirée qu’elle "améliore" , les transformant ainsi en de ridicules hybrides , mi fillettes , mi nonnes . Les cavaliers sont choisis pour des raisons triviales , l’un conduit , l’autre fournit de la bonne herbe , le dernier est un élève modèle , ce qui annonce une nuit un brin "torride" sous des apparences bienséantes visant à rassurer la mère psychorigide . Malgré tout , les filles sont aux anges et elles vont profiter de la moindre seconde de cette soirée dont elles n’avaient pas osé rêver . Hélas , Lux franchit la ligne rouge et rentre au matin après une nuit d’amour sur la pelouse du stade où elle s’éveille abandonnée par son séducteur qui n’a pas supporté que la magie s’envole après avoir consommé , bien que , pour le reste de sa vie , ainsi qu’il en témoigne , il restera marqué par cet amour exceptionnel , fugace et puissant , comme seuls le adolescents peuvent le vivre .
    La mère tire une conclusion immédiate de cet incident : ses filles ne doivent plus être exposées à la tentation dans un monde où le péché règne en maître . Elle décide donc de les retirer du lycée et de les cloîtrer à domicile .
    Ce dernier tiers du film multiplie les indices , ténus mais significatifs : la nymphomanie de Lux , la destruction des disques , les commandes incessantes de catalogues permettant aux filles de s’évader , la perte de raison du père et , finalement , l’abattage de l’arbre auquel elles tentent de s’opposer , comme si il était la dernière incarnation de leur petite soeur disparue . Cela semble être le signal , celui qui leur indique qu’il n’y a plus d’espoir ... La manière dont elles s’y prennent est d’ailleurs significative , puisqu’elles convient les garçons invités à la boum fatale , comme un lugubre remake où ils seront , une fois encore , des témoins impuissants . Toutefois , ce faisant , elles en font les gardiens de leur mémoire , ad vitam aeternam , de manière consciente ou pas , là réside le seul mystère de ce film qui déroule de manière limpide , pour qui sait voir , un processus inéluctable et implacable , compte tenu des acteurs , des adolescentes , des parents , une période de mutation des valeurs .
    Sofia Coppola a fait un formidable travail , esthétique mais aussi psychologique , sous des apparences simplistes , comme un peintre imptessionniste qui traduit ce qu’il voit par petites touches destinées à former un tout lumineux . Car il y a de la lumière dans cette histoire pourtant si sombre , cet appétit de vivre qu’expriment ces jeunes filles , à l’exception de la benjamine , ces amours inaltérables qu’elles ont inspirés , leur beauté exaltée par le soleil d’un été semblant éternel , leur jeunesse figée dans le temps , les espoirs qui les animent , l’expression de cette fugace jeunesse , ce temps où tout semble possible et où l’on se pense invincible , où l’on croit que les règles sont des obstacles posés là pour qu’on les brise ...
    L’adolescence est l’âge de l’irrationnalité selon les normes des adultes . On en donne désormais une explication scientifique , le sous développement du cortex frontal , la poussée hormonale , ou psychologique , le besoin de s’émanciper , de sortir du cocon pour devenir adulte . Ce serait une étape de la sélection naturelle , les plus forts , les plus aptes à survivre , s’en sortiraient grandis , les autres se perdant ou s’anihilant . Le film de Sofia Coppola donne un autre point de vue , celui des adolescents eux-mêmes . Ils ont des objectifs qui semblent dérisoires et futiles aux adultes et sont , pour eux , vitaux . La différence de valeurs provoque une incompréhension entre les jeunes gens et leurs parents :les uns veulent vivre dans l’instant , assouvir leurs désirs irrépressibles , tout essayer et tout goûter tandis que les autres s’inquiètent de l’avenir , de la moralité , de la réputation , de la religion , toutes choses rébarbatives et sans aucun intérêt pour leurs dolescents . C’est sans aucune ambiguïté que Sofia Coppola montre cette irréconciliabilité de points de vue . Chez les Lisbon , le décalage des parents , vivant encore dans une époque révolue , corsetés dans leur puritanisme , aveugles aux mutations de la société , provoque la tragédie . La réalisatrice le signifie clairement dans la scène du bal des débutantes où les parents des autres jeunes dédramatisent les maux du temps , en l’occurrence la pollution , en faisant un thème de soirée extravagant qui rassemble les deux générations . Le messge est clair : les soeurs Lisbon ne sont plus là parce qu’elles n’auraient jamais pu y participer . Le cas du père , toutefois , est plus ambigü que celui de la mère . Il semble s’être réfugié dans un monde rationnel où la science règne en maître , à l’opposé du registre religieux . Il tente , maladroitement , de soutenir ses filles , obtenant la permission pour elles d’assister au bal , puis sombrant dans l’incohérence pour supporter leur claustration . James Woods livre là une performance subtile , en contraste parfait avec la magistrale Kathleen Turner en mère aimante mais faisant passer les valeurs qu’elle pense devoir inculquer à ses filles avant l’écoute et la compréhension .
    Les acteurs adolescents sont tous excellents . Kirsten Dunst sort du lot de par le rôle central qu’ele tient mais tous les autres sont à la hauteur .
    J’aurais pu accorder cinq étoiles à ce film qui m’a totalement séduite si il n’y avait quelques maladresses dûes , sans doute , à l’inexpérience de Sofia Coppola . En réalité je l’estime à quatre étoiles et demie ...
    Lujsharkzz
    Lujsharkzz

    7 abonnés 472 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 avril 2023
    Oui Bon film culte mais voilà, pas une masterclass non plus selon moi. En fait, c'est un peu vide, on se demande l'intérêt de ce que l'on regarde. Dès le début, on connais la fin, OK pourquoi pas, on s'attend donc à comprendre comment ça c'est passé. On entretien le mystère tout le long du film, on reste sans réponse: ça ne me dérange pas perso, je trouve ça original et plutôt bien dans le thème. Mais par contre, c'est pas la propos du film qui me dérange mais son contenu. C'est vide un peu non ? alors oui, c'est beau, c'est bien réalisé et l'esthétique est sympa. Mais c'est un peu tout. Je m'attendais pas à avoir des explication dans le film, mais au moins quelqje chose d'intéressant à voir on va dire avant la fin, c'est limite de l'enchaînement de scènes random, qui ont plus ou moins d'intérêt. Après cest sympa, mais voilà, un peu vide. J'ai bien aimé, mais c'est vide parfois, si ça nest tout le temps, un peu une étrange sensation, je suis censé ne pas trop avoir aimé, ya énormément défauts, mais c'est mieux que d'autre film dramatique qui assurent un propos sans aucun sens, le mystère ici est bon, mais cela ne pardonne pas pour autant le vide qui tourne autour du film.
    OSC4R _
    OSC4R _

    74 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2023
    Même si Virgin Suicides essaie d’être plus que ça, il est sympathique.

    Un bon gros drame ancré dans un teen-movie avec un bout de romance ça devrait pas être sympathique. Mais ça l’est. Ça le rend pas mauvais. Étrange plutôt.

    En même temps il cherche à être étrange par son aspect mixte.

    C’est donc à la fois une réussite et un échec.

    C’est quand même une réussite parce que le film est bien.
    Clémentine Rosier
    Clémentine Rosier

    1 abonné 42 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juillet 2022
    Honnêtement, je ne l'ai pas regardé en entier. Les 35 première minutes m'ont suffit pour ne pas vouloir regarder la suite, ça m'a paru banale.
    L'histoire en elle même est peut-être belle mais la manière dont-il est mis en scène n'est pas alléchante.
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