Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Ce Rêve d'usine (beau titre...) dévoile comme rarement ce que l'individu devient vraiment quand il est brutalement confronté à la fin d'une histoire qui a, souvent, rempli toute sa vie...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Histoires ordinaires, images banales, de celles que la télé renvoie à chaque JT - mais pour une fois, ces personnages familiers, une caméra a pris le temps de les aimer.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Rêve d'usine est un beau film, un documentaire qui suit les derniers jours de l'usine Epéda à Mer, et la lutte des ouvriers pour garder leur emploi.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
D'autant plus forte et cruelle sera la scène où les ouvriers mettent enfin la main sur le directeur de l'usine, contraignant le pauvre hère, muré dans sa peur et son silence, à répondre de leur malheur, lui à qui, tout comme eux, l'essentiel sans doute échappe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Ce documentaire émouvant est aussi une réflexion sur le cinéma comme outil d'invention politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Annick Peigne-Giuly
Contrairement à ce que dit un ouvrier, Dédé, la "beauté de cette lutte" ne crève pas les yeux. Parce qu'elle se déroule inéluctablement, comme une sourde tragédie sans héros. Tourné au plus près, le film est lourd de ce fatum ouvrier.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
Et lorsque arrivent les touchantes scènes du dernier bal, des dernières embrassades, du départ des machines, les plans des ateliers déserts, on se dit que l'usine est vidée de son âme mais, grâce à ce film document, pas des âmes qui l'ont habitée.
Première
par Olivier De Bruyn
Dépourvu de commentaire, le film se distingue par son sens raffiné du découpage et sa capacité à jouer avec le temps réel (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Evitant tout commentaire superfétatoire, Luc Decaster se fait tout petit.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
Ce Rêve d'usine (beau titre...) dévoile comme rarement ce que l'individu devient vraiment quand il est brutalement confronté à la fin d'une histoire qui a, souvent, rempli toute sa vie...
Aden
Histoires ordinaires, images banales, de celles que la télé renvoie à chaque JT - mais pour une fois, ces personnages familiers, une caméra a pris le temps de les aimer.
Cahiers du Cinéma
Rêve d'usine est un beau film, un documentaire qui suit les derniers jours de l'usine Epéda à Mer, et la lutte des ouvriers pour garder leur emploi.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
D'autant plus forte et cruelle sera la scène où les ouvriers mettent enfin la main sur le directeur de l'usine, contraignant le pauvre hère, muré dans sa peur et son silence, à répondre de leur malheur, lui à qui, tout comme eux, l'essentiel sans doute échappe.
Les Inrockuptibles
Ce documentaire émouvant est aussi une réflexion sur le cinéma comme outil d'invention politique.
Libération
Contrairement à ce que dit un ouvrier, Dédé, la "beauté de cette lutte" ne crève pas les yeux. Parce qu'elle se déroule inéluctablement, comme une sourde tragédie sans héros. Tourné au plus près, le film est lourd de ce fatum ouvrier.
MCinéma.com
Et lorsque arrivent les touchantes scènes du dernier bal, des dernières embrassades, du départ des machines, les plans des ateliers déserts, on se dit que l'usine est vidée de son âme mais, grâce à ce film document, pas des âmes qui l'ont habitée.
Première
Dépourvu de commentaire, le film se distingue par son sens raffiné du découpage et sa capacité à jouer avec le temps réel (...).
TéléCinéObs
Evitant tout commentaire superfétatoire, Luc Decaster se fait tout petit.