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    La Canonnière du Yang-Tse
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    4,0
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    77 critiques spectateurs

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    Karussell
    Karussell

    10 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2009
    En pleine poudrière chinoise, cette plongée au coeur d’un des plus grands bouleversements de notre histoire contemporaine est des plus réalistes. Steve Mc Queen, excellent en marin tiraillé entre son devoir de militaire et sa conscience d’homme, est le témoin parfois impuissant des événements. La mise en scène très soignée et non dénuée d’un certain romantisme, la photographie de toute beauté, auraient mené au sans-faute un film dont on regrettera la vision très occidentale de la révolte : le tournage à Taïwan y est sans doute pour quelque chose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 septembre 2007
    un film épique , génial , dépaysant(en 1 mot).
    " Holman descent , Holman descent ,Holman descent "
    la bautée de candice bergen illumine ce film.
    STEVE MC QUEEN joue un de ses meilleurs rôle.
    Le colonel de rambo à ses début dans l'armée.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 mai 2009
    L'histoire se passe en 1929 en chine, les américains ont des bateaux postés dans ce pays, pourquoi?, pour surveiller les autres?, pour prendre ce pays?, c'est les américains après tout ils veulent être partout. Problème les chinois en ont marre de ces américains qui font comme chez eux, des chinois qui deviennent de plus en plus communistes et qui se rapprochent de la russie, de l'URSS. On suit un mécano qui va vivre cette période.
    C'est original, j'avais jamais vu de film sur ces événements, c'est donc instructif en un sens. La supériorité américaine en prend un coup dans le film, en effet c'est des chinois employés par les américains qui font tout le boulot sur le navire contre des bols de ris comme ils disent, mais le mieux c'est qu'ils se font virer du pays. C'est réaliste à mort, les maisons closes où les soldats vont dépenser leur dollars, les missions implantés de force dans le pays, la salle des machines du bateau avec des moteurs vapeurs, les costumes pourris de la marine de l'époque, la hiérarchie trop importante, etc. Pour finir le film est assez long, c'est le seul point noir du film.
    Acidus
    Acidus

    718 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juin 2013
    Sur fond des concessions étrangères en Chine, "La Canonnière du Yang-Tse" offre une histoire assez classique autour d'un machiniste d'une canonnière partagé entre l'amour d'une femme, sa loyauté envers son pays et la Marine et ses divers amitiés. Si Robert Wise exécute toujours aussi bien son travail, on ne peut s'empêcher de trouver l'intrigue plate par moment faute d'un scénario solide. "La Canonnière du Yang-Tse" aurait gagné à être plus court.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 juin 2010
    Excellent film anti-colonialiste, Steve McQueen est parfait !
    philippe ghirardi
    philippe ghirardi

    4 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2022
    Je suis affligé que la plus part des critiques précédentes, jugent ce film par rapport à sa longueur. Alors chers critiques entrez au cinéma , regardez juste les publicités, elles sont faites spécialement pour vous, puis ressortez vite pour ne pas déranger les amateurs de cinématographe qui ne jugent pas que le temps passé à voir un film soit trop long.
    A part cette digression, ce film est passionant, magnifiquement interprété et mis en scène, les images sublimes et le sujet ô combien brûlant sur l'égémonie US dans cette Chine qui ne lui demandait rien.
    Gabriel B
    Gabriel B

    5 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2012
    Film magnifique et merveilleusement interprété... Surement l'une des meilleures performances à l'écran de Steve McQueen...
    maxime ...
    maxime ...

    240 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2023
    Il y'a quelques mois de cela, je découvrais un film là encore d'une durée importante traitant de Bateau, de marine, du rôle tenu par cette dernière dans un conflit en passe d'être impliqué définitivement. Ce film, Das Boot de Wolfgang Peterson m'a vraiment percuté et saisit indélébilement, The Sand Pebbles de Robert Wise dont la sortie est antérieur au film allemand sera en définitive une marque semblable ou presque.

    De son introduction, dans le temps, le récit s'imprègne des classes, s'imprime dans le décors et se dévoile sous l'auspice d'une vie de " Pacha ". L'arrivée de son nouvel arrivant ne révèle pas tout de suite le poil à gratter qu'il représente, mais on le met touetois à la page. De suite, les taches, l'organisation et l'ordre de la Canonnière se façonne, se raconte et instaure les éléments déterminants des évènements à venir. SI le film prend le temps de sa narration, il carbure néanmoins très vite et comprend les effets de rythme par une stimulation en définitive assez rudimentaire, voir classique mais d'une efficacité indéniable.

    La question politique est soulevé dès ses débuts, dans une conversation éludé par un Jake peu porté sur la question dans un premier temps, du moins dans un épanchement autour d'une table mais qui de manière moins réflexive agit dans une direction d'ordre morale avec un code d'honneur que l'on remarque malgré ses réflexions disgracieuses. La servitude de la population colonisé est à touts les niveaux questionnés. Par le corp, de la femme que l'on représente par son seul physique, de l'homme que l'on asservit avec une autre complaisance. La rébellion est vue de loin, au début par sa marginalisation, en revanche sa servitude de l'esprit est au contraire démontré par les " Coolies " qui " profite " d'un rehaussement social de par ce biais. Ses chefs en particulier, qui sans loyauté se servent de leurs " pouvoirs " pour obtenir privilèges et monétisations, jusqu'à ce que la roue tourne.

    spoiler: La scène de torture de Po-Han tout comme le tir de Jake qui abat son ami pour mettre un terme aux sévices qu'il endure caractérise le fait des enjeux de la position maintenu sur une carte, de l'illogisme des conventions uniquement tenu par autoritarisme, de plus détourné à des fins perverses comme c'est le cas ici. Il s'agit du début de la fin, les tractations d'ordre insidieuse qui enterre l'action n'y ferons rien ...


    L'intermission interviens et redéfinie l'avancée de la situation avec une nouvelle ampleur. L'échelle interne dévie vers une aggravation de son ensemble et se dirige vers une vue cette fois-ci internationale, la tension monte donc encore avec retentissement. La rixe du " Cabaret " et sa cavale dans la rue tourne à une violence accru en comparaison avec celle plus insidieuse des débuts. Le sort de tous en sera changés à jamais. Les cris sur le bateau des marins pour livré leur compagnon à base de " Hamong " est une tout autre épreuve bouleversante et horrible à bien des regards. La fierté, l'honneur et la cause porté, notamment par son Capitaine est annihilé par une colère et un agissement provenant d'une peur que l'on sent jusque les palpitations de nos veines de spectateurs et de témoins. Une lecture à la fois sombre de son humanité mais assez juste dans l'idée qu'elle défend et qui synthétise la portée vertigineuse de sa démarche qui ne prend qu'encore plus de poids avec l'avènement de son personnage titre qui lui ne gagne qu'en estime à force de dignité.

    Il faut le dire, ses interprètes sont excellents. Richard Attenborough, Richard Crenna, Marayat Andriane, Mako, Larry Gates, Candice Bergen ainsi que touts les autres œuvrent lors de cet ouvrage. Steve McQueen est néanmoins à distingué significativement, il est magnifique ! Ses yeux, en particulier ont d'office d'entrer dans la légende. De sa vitalité, de sa gestuelle, de ses vues à la fois droites et capables d'impairs, sa vision de l'autre lui confère une sensibilité empreinte d'altruisme et de justice. Il est l'incarnation de cette notion !

    The Sand Pebbles porte un idéal, tout du moins il s'en imprègne et tente à construire autour des variantes de points de vues qui à la fois s'opposent et se rejoignent sans jamais parvenir à ce compléter. J'aime aussi ce film pour sa fin qui en atteste en quelques sortes. spoiler: Des larmes de Jameson, à la suite du drame qui intervient ensuite, la rencontre des directions opposés s'achemine dans le sang et la mort. Cette scène ou Robert Wise, encore une fois avisé et somptueux, montre ses trois cadavres gisant termine d'ancré une tragédie ! Le bateau s'en va, nous avec, eux restes pour toujours enfermé dans une définitive expérience de la Nature Humaine ...


    Un très grand film de Robert Wise qui dresse encore là un portrait d'ensemble de différentes communautés qui s'opposent pour une fin tragique, merveilleuse toutefois !
    kibruk
    kibruk

    145 abonnés 2 547 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 septembre 2013
    Film au scénario et aux personnages solides, "La cannonière du Yang-Tse" s'inscrit dans la liste des grands films d'aventure des années 60, même si ici elle est plus intérieure et humaine que à grand spectacle. Si globalement on ne s'ennuie pas, c'est quand même par moment un peu longuet, et on peut constater que c'est Steve Mc Queen qui porte le film tant il est impressionnant de présence.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    273 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2018
    Donnant plus dans le drame complexe que dans le film de guerre pur et dur (seule la dernière heure donne lieu à quelques morceaux de bravoure), La Canonnière du Yang-Tse offre à Steve McQueen un rôle en or qu'il exploite impeccablement, notamment dans l'opposition de sa hargne rentrée à un Richard Crenna pétri de stoïcisme. Évoquant tout à la fois le colonialisme, le racisme et l'absurdité du patriotisme à tout crin, le film explore de nombreuses pistes avec plus ou moins de bonheur, dans de (très) longs développements. Fort heureusement, l’histoire est soutenue par une mise en scène impeccable et un casting solide, entre autre Richard Attenborough, et le film se suit de bout en bout, selon un schéma narratif prévisible mais mené avec soin et beaucoup de force dramatique dans les moments-clés.
    Tietie008
    Tietie008

    24 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2016
    Merveilleuse variation humaniste tout au long du fleuve jaune, avec un Steve McQueen émouvant dans le rôle du soldat Holman, foudroyé par la belle Candice Bergen, sur la magnifique musique de Jerry Goldsmith. Un drame désanchanté sur la condition humaine.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 octobre 2013
    Amour et Guerre sont deux registres différents qu'il vaudrait mieux ne mélanger qu'en cas d'urgence. En effet pour un seul Un long dimanche de fiançailles épique et émouvant combien avons nous eu de pseudos films de guerre à l'eau de rose à la Pearl Harbor ou Passchendaele ? Pour La Canonnière du Yang Tsé c'est encore pire car il n'y aura pas une, mais deux histoires d'amour qui viendront parasiter le récit. Car on parle bien de parasitage : si l'on virait ces amourettes peu passionnantes le film atteindrait une durée de deux heures dix et passerait bien plus agréablement. A la rigueur l'histoire entre Attenborough et la jeune chinoise ne passe pas trop mal car illustrant un rapport entre américains et chinois, mais alors celle entre Steve McQueen et Candice Bergen ne sert à RIEN !
    Pour le reste le film comporte un paquet de séquences mémorables, à l'image du combat de boxe dans le bordel, la séquence de torture, le siège, la première bataille (qui est en plus originale car proposant des fusillades entre esquifs) et surtout la dernière réplique après la fusillade finale. Et c'est là que le film m'a surpris : malgré son âge respectable (1967) et son rythme lent, il propose des situations rarement vues à l'époque, avec de la torture (non censurée) des dialogues racistes, de nombreuses séquences au bordel et des scènes d'action brutales. L'abordage des marins de la canonnière sur les barques chinoises reste aujourd'hui impressionnant, le combat étant formidablement chorégraphié et monté.
    Cependant n'espérez pas un film de guerre pur non plus, car l'action ne pointera réellement son nez qu'après deux heures et vingt minutes pour la dernière demi-heure ! Réserver le combat pour la fin n'est pas une mauvaise chose (Gallipoli est le meilleur exemple) mais les deux heures qui précèdent l'action manqueront parfois de piment.
    Concernant les comédiens les membres de l'équipage jouent tous très bien, et les acteurs chinois sauront se montrer détestable (ce vieux con à barbichette, on n'aurait pas attendu longtemps pour le faire passer par dessus bord), seule déception, Candice Bergen qui ne marquera pas plus que ça, son personnage étant assez agaçant. En revanche rien à dire sur Steve McQueen, c'était vraiment un acteur extraordinaire, qui donnait de la force à chaque scène et qui ne déroge pas à son habitude en campant cet homme au départ taciturne mais qui montrera des failles.
    Au final La Canonnière du Yang Tsé est un très bon film, mais il est beaucoup trop long (l'amputer de trois quarts d'heure n'aurait pas été une erreur) et plombé par une surdose de romance.
    gamorreen
    gamorreen

    19 abonnés 457 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 août 2009
    Un film vraiment excellent, pas long du tout, car on est plongé dans l'histoire et l'ambiance, les personnages sont attachants, l'histoire passionnante, une vraie aventure dont on ressort en ayant voyagé assis, dans l'espace et le temps à travers la vie d'autres personnes... Riche.
    videoman29
    videoman29

    244 abonnés 1 832 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2015
    J'ai une très grande tendresse pour les vieux films de guerre ou d'aventure des années 50-60. Avec le temps, ils sont devenus cultes et ont marqué l'histoire du 7ème art. C'est le cas de « La canonnière du Yang-Tsé » qui mérite largement son statut de classique du genre. Tout d'abord, il faut noter le plaisir de retrouver à l'écran des monstres sacrés comme Steve McQueen ou Candice Bergen. Ensuite il y a ce charme, délicieusement désuet, qui émane des grandes productions de l'époque, magnifiquement réalisées et particulièrement attachantes pour leur ambiance « vintage ». Enfin, c'est le cadre exotique choisis par les scénaristes qui achève de nous convaincre. Ainsi « La canonnière du Yang-Tsé » nous conduit tout droit en Chine, dans les années 20, où la marine Américaine a, semble-t-il, joué un rôle de maintien de l'ordre dans des circonstances pour le moins compliquées. Le résultat est dépaysant, immersif et particulièrement divertissant. Plus de 3 heures de cinéma de grande qualité au cours duquel on ne s'ennuie pas une seconde. Bon nombre de cinéastes actuels pourraient sans doute en tirer bien des enseignements. Personnellement, j'adore et je n'hésite pas un instant à l'écrire ici !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 mars 2011
    un putain de bon film , et c 'est toujours dans les vieux pot qu'on fait la meilleur confiture , un classique de 3 h un film qui me faut en DVD obligatoirement
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