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g62231
1 critique
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5,0
Publiée le 29 juillet 2023
Certes, ce n'est plus les anciens film de la Hammer, qui avait une réalisation spécifique. Certes, c'est plus tard dans le temps. Certes, il fait moins peur. Mais je mets la note maximal. Pourquoi ? D'abord Peter Cushing, mon idole. Dans ce rôle d'un professeur qui pourchasse le vampire, est à mes yeux le meilleur acteur, qui avait joué ce rôle. On voit bien qu'il est charismatique. Enfin le contexte, du vampire, qui veut diriger la société, avec des hauts placés, j'ai trouvé cela totalement originale. A mes yeux, bien entendu, et c'est pas toujours les goûts des autres, le vampire est être malfaisant, qui veut détruire l'humanité. Je ne le trouve pas du tout érotique.
Dracula sortit de ses annees classiques,c est pas trop mal ,le duo Lee ,Cushing reste un classique.Je suis peut etre un peu trop fidele a la Hammer, mais j ai bien aime.
Film extrêmement kitsch, contexte assez ridicule, mais surtout, aucune aura angoissante, on est loin, très loin des premiers opus baroques avec Christopher Lee. Le jeu d'acteur et clairement mauvais, ça n'aide pas à rendre le film attrayant. Le scénario est pas si mal que ça mais malheureusement la faute à une réalisation médiocre et à une bande-son musicale bcp trop ancrée dans les années 70 et donc ne collant pas au thème "Dracula", font de ce film un navet. La seule chose que j'ai retenue, c'est le portrait noir et blanc du comte Dracula, limite flippant, faisant presque déborder notre imagination, tout le reste est bon à jeter.
La Hammer est totalement sur le déclin lorsqu’elle décide de moderniser les vieux mythes fantastiques qui ont fait sa gloire dans les années 50-60. Cela commence avec un déplorable Dracula 73 qui se situe dans un contexte contemporain, et cette dérive inepte se poursuit avec ce Dracula vit toujours à Londres qui est à peine meilleur. En réalité, en cherchant à séduire un public contemporain qui se rue dans les salles pour frissonner devant l’Exorciste, la firme anglaise fait un magistral contre-sens. Elle se sépare du gothique considéré comme démodé, mais livre des œuvres contemporaines qui ont encore plus mal vieilli. Ici, la musique funky, les costumes hippies et le lourd symbolisme anticapitaliste viennent contredire l’ambiance nécessaire pour instaurer un climat de peur. La réalisation d’Alan Gibson est molle et visuellement pauvre, tandis que les acteurs vieillissants semblent comme égarés dans des films qu’ils ne cautionnent pas (mais il fait bien payer les factures). L’ensemble est donc indigent et indigeste.
"The Satanic Rites of Dracula" marque la dernière apparition de Christopher Lee dans le rôle du célèbre vampire. Comme dans l'opus précédent, l'action se situe à Londres dans les 70's. Entre ce point, et une intrigue étrange mélangeant SF et espionnage, on a du mal à reconnaître le style de la Hammer. L'ambiance gothique fait place à une enquête faiblarde, qui tente visiblement d'innover et de se démarquer des films de vampires habituels, mais va tellement loin que Dracula n'y apparait qu'à peine. Néanmoins, il ne s'agit pas d'un mauvais film, loin de là. En effet, Peter Cushing est présent presque tout au long du film, et parvient à monopoliser l'attention du spectateur avec son charisme très british. Christopher Lee, bien que fatigué par son rôle, donne le change et est toujours aussi efficace dans le rôle du vampire. Enfin, les vingt dernières minutes, très dynamiques et proposant quelques séquences très sympathiques, relèvent le niveau du film. Une curiosité.
je n'ai aucune critique à faire sur le film que j'ai vu dans les années 7O à sa sortie qui est très bien réalisé' avec mon acteur fétiche christopher lee, d'autres ont suivis avec le meme acteur, la seule critique est que les films sortis bien plutard n'égalent pas cet immense acteur britannique, d'ailleurs anobli par la reine d'angleterre, je serais satisfait de pouvoir revoir la série avec allociné, merci.
Suite plus ou moins directe du précèdent, avec le même contresens par rapport aux premiers épisodes de la série, qui achève la série au niveau qualitatif. Plus de personnages de jeunes par la même occasion. Dracula est très peu présent à l'écran, selon la volonté de Lee qui s'est depuis longtemps lassé du personnage. Il s'agit au final plus d'un film espionnage que d'un film fantastique. Il court d'ailleurs si maladroitement après le succès des James Bond que s'en est génant. Le film se termine pour la antédiluvienne fois sur la mort de Dracula qui est cette fois alourdie par des références pachydermiques à la crucifixion.
Décidément, les années 1970 auront été fatales au studio Hammer Films et cela dû notamment à son incapacité de se renouveler et de proposer quelque chose de neuf, tout en restant dans le genre horrifique. ça ne sera pas faute d'avoir essayé avec ce "Dracula vit toujours à Londres" qui tente un changement en proposant une sorte mixte entre le film d'espionnage à la James Bond et l'univers de Dracula. On n'a donc pas le droit à un énième recyclage du célèbre personnage de la Hammer incarné par Maitre Lee mais plutôt une sorte de continuation du précédent film "Dracula 73" qui plaçait un Dracula dans notre époque contemporaine. Cependant, le manque d'inspiration est ici flagrante et les deux genres sont trés malhabilement mélangés. On se demande même à quoi servent les personnages de Dracula et de Van Helsing dans cette histoire. De plus, je ne aprle pas de tous les clichés qui nous sont servis ici et on ne peut s'empécher de sourire durant certaines scènes. Bref, encore un film dispensable que nous offre ici la Hammer.
J'ai vu peu de films de la Hammer mais il n'est pas nécessaire d'en avoir vu beaucoup pour deviner qu'il y a mieux que ce Dracula vit toujours à Londres cependant dans son genre ce film d'épouvante est loin d'être mauvais. Christopher Lee apparaît en Dracula (rôle qui le lassait et qu'il reprenait pour que les équipes techniques de la Hammer aient du travail) et le casting est pas mal notamment la toute jeune et jolie Joanna Lumley (future Purdey de Chapeau melon et bottes de cuir) ; ça manque d'ambiance gothique et ce n'est pas effrayant mais ce Dracula est bien mené et se regarde sans déplaisir.
Et allez ! Encore une messe satanique de résurrection ! Passons là dessus (malgré un érotisme bienvenu) et concentrons nous sur l'intrigue. Celle ci rappelle un peu "Taste the blood of Dracula", car on retrouve ici aussi des admirateurs du vampire souhaitant partager ses pouvoirs. La transposition dans les seventies gomme ici la plupart des décors gothiques qu'on appréciait dans les précédents épisodes, et ne réserve que peu de moments qui raviront les admirateurs du comte. Ce dernier joue toujours aussi bien, et profitera même d'une mort aussi épineuse qu'ambigue (sa position christique ne pourra qu'interpeller le spectateur et le faire un peu réfléchir sur cette conclusion intéressante). La franchise commence vraiment à s'essoufler.