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weihnachtsmann
1 149 abonnés
5 133 critiques
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2,5
Publiée le 30 juillet 2024
Une espèce d’aventure un peu loufoque. J’ai vraiment du mal avec ce réalisateur. À part la panthère, je trouve ses films ennuyeux et toujours un peu bordéliques. Le personnage de Watson en tout cas ici est assez insupportable
Une comédie plutôt bien faite de Billy Wilder sur un scénario original mais qui reprend tous les standards des livres de Conan Doyle. Le duo avec le docteur Watson bien montré, leurs petites manies, l’appartement de Baker Street, la logeuse. On évoque même par deux fois l’addiction de Holmes à la cocaïne. L’intrigue mêle la disparition de 6 nains d’un cirque, puis celle d’un scientifique dont l’épouse est retrouvée amnésique sur les bords de la Tamise. Holmes prendra sous son aile cette très séduisante jeune femme, la très belle Geneviève Page , et Wilder nous gratifiera même d’un superbe plan du dos complément dénudé de Page, sortant de la couche de Holmes. Mais celui-ci a peur des femmes, se laissera séduire mais sera déçu. L’intrigue nous mènera en Ecosse, avec un passage du monstre du Lochness indispensable et une intervention de la reine Victoria, en chef de guerre, car le film tournera à l’espionnage et à la défense nationale dans sa dernière partie. Une jolie conclusion ,un peu triste mais pleine de nostalgie, qui nous rend Holmes très humain.
Plaira aux fans des différents autres films. Pour moi, c'est trop lent et pince sans rire. Je pensais avoir plus d'éléments sur sa vie privée mais ça reste trop survolé 2,6/5
Pas le plus connu, ni le meilleur de Billy Wilder mais sa version du célèbre locataire du 221b Baker Street n’est pas dénuée de saveurs. Burlesque, ambigu et joliment mise en scène, le film tarde toutefois à se mettre en place mais une fois véritablement lancé, il se montre aguicheur, trop tard cependant pour pleinement me satisfaire.
Film que j'aime beaucoup pour son humour désabusé, pour ses personnages remarquables et pour son histoire très bien ficelée. Un pur régal qu'il a été bon de revoir même en en connaissant la fin.
Élémentaire ce cher premier film à ma connaissance de bibliothécaire, sur le mondialement célèbre détective privé gentleman flegmatique anglais style bourgeois, accompagné de son chef-d’œuvre, fidèle partenaire pour le meilleur, le pire et le sourire. Au temps du règne expressionniste de la Reine Iron Lady Marmelade Victoria, dans les années 1880 débute l'enquête glissée sous cette version, un brin loufoque d'excentricité, d'audace, d'insolence provocatrice calomnieuse ignominie imaginée par cette réalisation.
Adaptant ce grand classique littéraire de Sir décoré royalties Arthur Conan Doyle, une personnalité spéciale crée pour ce raffiné arrogant personnage de romance policière anglo-saxonne, sous l’effet stone de la feuille de Coca chimie transformée d’Amérique du Sud. Ce qui explique son talent brillant génie élitiste favoritisme privilégié pour la fine déduction, de la bonne comédie, yes yes yes nobody’s perfect and some like it hot.....!!! En face d’énigme sphinx illogique aux réponses aléatoires.
Un aventurier et deux font le compte de bons amis tout de même pour la suite de l’intrigue des péripéties, l’inclusion d’une femme mystérieuse et de l’espionnage, qui nous emmèneront vers le lac du Loch Ness légendaire. En haute terre d’Ecosse des messieurs en Kilt comploteurs au service de Sa Majesté Victorienne, savent où vit Nessie qui dort divinement, de la sensualité précautionneuse méfiance honteuse à l’égard d’une peur de la femme gênée, sans précédent pour l’enquêteur Holmes aux goûts douteux.
Docteur John Watson à toujours son avis sur la question pour la réplique judicieuse, tousse assez bien son jeu pour le calmer et le remettre à sa place, depuis l’excursion au pays de l’empire et des grands espaces : le lac des cygnes. Une composition opéra symphonique harmonie renommée, stéthoscope examen médical ordonnance, des royalistes surveillant les allemands instigateurs de trouble sur le continent européen contre les îles britanniques, en désordre pas possible, en dessus dessous des cartes.
Il n’y a plus qu’à chevaucher le XXème siècle du vieux Londres bus à impériale cabine téléphonique rouge avant-gardiste, j’apprends à connaître ces acteurs issue de l’influence culturelle partagée commune universelle de Shakespeare, le théâtre des rois Edward, Henri, James, John, George, William !......et des reines Elisabeth, Queen Mary......of Scots........
Je n'ai pas été convaincu à 100% par ce film de Wilder sur la vie privée de S. Holmes. Le scénario est très travaillé et le dénouement est intéressant mais il n'y a pas eu de petites étincelles dans les yeux ou de petits frissons au visionnage du film. Le personnage de Watson, trop comique à mon goût, ne m'a pas convaincu non plus.
Une sympathique enquête du limier de Baker Street, pas transcendante non plus. Le scénario aurait été sans doute plus étoffé et captivant si Wilder avait adapté une réelle aventure signée de Conan Doyle... On sent la volonté du réalisateur/scénariste de rendre hommage au mythique personnage par un allant et une réelle motivation de bien faire. Les décors et costumes sont soignés, tout comme l'interprétation (les frères Holmes en tête, Colin Blakely devenant lassant à force de vouloir en faire des tonnes dans le registre de l'étonnement et de l'indignation).
Ré interprétation iconoclaste du mythe de Sherlock Holmes. Billy Wilder met à mal les clichés habituels sur le personnage, notamment sa peur des femmes et son esprit de déduction infaillible. Le film nous balade avec plaisir de Baker Street aux brumes du Loch Ness, où Wilder déboulonne un autre mythe, celui du fameux monstre. Le film est depuis devenu une référence pour les fans du détective.
Un film qui brille par l'aventure peu ordinaire du détective le plus connu dans une ambiance travaillée (décors, costumes, musique). Une facette originale, un moment agréable du gage de qualité Billy Wilder.
Un film rondement mené, à la fois drôle et rudement bien raconté. Wilder réalise encore une fois un film savoureux, non dénué d'humour, et où la narration ne souffre d'aucun défaut. Pas de temps mort, une énergie folle dès le début du film nous embarque vite au côté du fameux détective et de son non moins fameux compère Watson. Et c'est peut-être là que le bât blesse, le Sherlock de Wilder m'a furieusement fait penser à tintin et ne trouve jamais la noirceur du héros de Conan Doyle. Ses blessures profondes, sa dépendance, ses fulgurances maniaques sont ici balayées très vite pour laisser place à la gaudriole et à l'enquête, intéressante mais pas passionnante. Bref un film réussi et plaisant, mais c'est tout.
Film très plaisant à regarder, porté par une intrigue bien construite qui mêle avec réussite des nains, une espionne, des moines, des châteaux en Ecosse, le monstre du Loch Ness, un sous marin. le personnage de Sherlock Holmes est présenté comme rigide, misogyne, mais avec des failles et des sous entendus sur ses moeurs. De belles images, une mise en scène soignée
Certainement le film définitif sur le héros de Conan Doyle. Tout y est, scénario à la Tintin, humour anglais, décors superbes, dialogues ciselés, cynisme, élégance et aventures baroques. Un régal du debut à la fin.
Tout en respectant les codes et l'univers propre au plus célèbre des détectives ,Wilder démystifie quelque peu le personnage en l'humanisant (drogues,misogynie) sans oublier d'y implanter une bonne dose d'humour ...so british of course.L'enquête met un certain temps a démarrer et son dénouement n'est pas des plus exceptionnel mais l'on garde tout de même un reel plaisir a suivre les mésaventures de ce sympathique duo.Autour d'une honnête réalisation ,la performance de comédiens pour la plupart méconnu s'avère une bien agréable surprise et participe grandement a l'intérêt général du film .Stephens et Blakely constitue un merveilleux tandem ou chacun dispose de ses repliques pour exprimer ses qualités a travers des scènes tantôt comiques tantôt + sombres.La séduisante Genevieve Page dans son rôle de Mata Hari germanique apporte un joli brin de romantisme tandis que la présence de l'impressionnant Christopher Lee vient revigorer le récit de toute sa classe.