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Skipper Mike
85 abonnés
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5,0
Publiée le 2 mars 2013
L'opus final de la trilogie la plus spectaculaire de ce début de millénaire est sans conteste le meilleur épisode, avec ses accents tragiques, sa virtuosité magistrale et son sens du détail unique. Sur plus de trois heures s'étendent les aventures du reste de la Communauté sans que jamais l'ennui n'intervienne, là où il se terrait de temps en temps dans le volet précédent. Dès les premières images, retraçant le parcours de Gollum, on sent la tournure que vont prendre les événements : un film sombre et spectaculaire mais aussi centré sur la psychologie des personnages. Les scènes de batailles sont ainsi gargantuesques, étendues mais précises, et toujours ponctuées de pauses rafraîchissantes, même si celles-ci mettent en scène les fourberies de Sméagol au pays des Ombres. La poésie est d'ailleurs bien présente, toujours en compagnie de l'émotion (voir le magnifique dialogue entre Gandalf et Pippin sur le monde de l'au-delà, alors qu'ils sont en pleine bataille à Minas Tirith), et la musique est au diapason de ce parti pris. Techniquement, les effets spéciaux sont divinement réalisés, avec par exemple les terribles Oliphants ou les assauts des Nazgûls. Les travellings récurrents apportent aussi une vision virtuose de Minas Tirith, belle cité dans la tourmente de ses derniers instants. Peter Jackson écrit ainsi une définition claire de la notion de "spectacle total". Grand ou petit, tout personnage a droit à son acte d'héroïsme, érigeant ainsi un mur de gloire qui connaît son apothéose dans le fastueux final aux portes du Mordor. Un Mordor qui regorge par ailleurs de visions dantesques renforçant encore plus la tragédie qui se noue. La cauchemardesque tour de Cirith Ungol ainsi que la traversé des terres noires par Frodon et Sam en sont les exemples, les plus emblématiques, marquant de la même façon la descente aux enfers de Frodon, dont l'âme n'est plus que le reflet du paysage dans lequel il évolue. "Le Retour du Roi" est ainsi l'épisode le plus lacrymal, avec ce final eucatastrophique qui n'en finit pas mais qu'on laisse s'étirer à l'envi avec volupté. Même si l'on peut déplorer l'éviction de certaines intrigues du roman original (en particulier la révolte des Hobbits à la Comté ou la longue et douloureuse marche en Mordor, ici raccourcie), que les quarante minutes supplémentaires de la version longue rattrapent un peu sans ajouter d'ennui, l'adaptation du plus bel ouvrage de J.R.R. Tolkien est un coup de maître grandiose et mémorable, un défi insurmontable pourtant accompli avec brio.
Avec "Le Retour du Roi", Peter Jackson clôt de façon imposante son odyssée cinématographique, en emportant tout sur son passage : les critiques, les fans, les recettes et les oscars ! Après la victoire du Gouffre de Helm, Gandalf, Aragorn, Legolas, Gimli, Theoden et sa suite se rendent à Orthanc pour obtenir la reddition de Saroumane. Ils ne peuvent récupérer que son Palatir et repartent pour Minas Tirith avec Merry et Pippin. Frodon, Sam et Gollum sont, eeux, enfin sur le point d'entrer au Mordor, mais ce dernier se fait de plus en plus menaçant et fourbe. En même temps qu'il les dirige vers le passage de Cirith Ungol, il monte Frodon contre son brave jardinier et le pousse à le chasser. Basé sur le troisième et dernier tome de l'oeuvre phare de l'écrivain britannique J.R.R Tolkien, cet ultime opus est certainement le plus spectaculaire de la trilogie. Grâce à des décors résolument épiques, des batailles exceptionnelles où il y a je ne sais combien de personnes, des effets spéciaux terrassant, le maquillage et les costumes époustouflants, Peter Jackson parvient une nouvelle fois à s'approprier l'univers de Tolkien et le retranscrire parfaitement au grand écran. Le rythme du film ne souffre d'aucune longueur, les quatre heures vingt-trois passent agréablement (vu en version longue). Le casting est à la hauteur des ambitions de Peter Jackson : Elijah Wood, Viggo Mortensen, Ian McKellen, Christopher Lee, Orlando Bloom, Sean Astin, Karl Urban sont tous excellent dans leurs rôles respectifs. De plus, l'acteur Andy Serkis signe une incroyable prestation sous les traits informatisées de Gollum, et grâce à la technologie arrive à retranscrire une vaste palette d'émotions. Dans les dernières scènes de cet ultime opus, le contraste entre la blancheur de la grande ville des hommes et la bataille rangée qui à lieu à ses pieds d'une part, et le désordre naturel du Mordor et la folie de Gollum et Frodon d'autre part fonctionne parfaitement pour conclure cette épopée de la manière la plus efficace qui soit. Ivre de gigantisme, Peter Jackson met en scène un monument du septième art couronné par onze oscars qui pourrait se sentir à l'étroit au grand écran. Ainsi, "Le Seigneur des Anneaux" est à ce jour la trilogie la plus maîtrisée, qui au fil des épisode n'a jamais perdu sa tension narrative, et nous a proposé des films de plus en plus spectaculaires.
Magique. Tous les éléments des précédents épisodes sont réunis ici mais avec encore plus de puissance. Le rythme est monumental avec une entrée rapide dans de l'action à n'en plus finir. Tout est extraordinaire. La mise en scène est millimétrée avec des décors somptueux, des costumes incroyables et une musique transcendante. On assiste à une véritable fresque. Les scènes qui marquent sont extrêmement nombreuses. Un film émotionnellement surpuissant à la fois beau de lumière et violent de ténèbre qui arrive à nous transporter pendant trois heures dans la terre du milieu. Sans oublier une oeuvre prônant des valeurs humaines quasiment disparues tel que la fidélité, le courage ou encore la responsabilité. Le retour du roi mériterait tous les mots d'excellence et de beauté. Magistral.
Ahhhhh sa y es je suis venu à bout de 4h30 de ce dernier opus absolument prodigieux , certe la version longue et vraiment très longue mais on n'en pert pas une miette , récompenser par 22 prix , le retour du rois et se qu'on appelle un vrai chef d'œuvre du septième art . Avec toujours le même casting qui est vraiment efficace . Un très bon film d'aventure .
Le meilleur des trois, le meilleur film d'heroic fantasy, le meilleur de Peter Jackson. La grande bataille de Minas Tirith est le point d'orgue du film. Les effets spéciaux sont très réussis, et le style de Peter Jackson convient plutôt bien avec les différentes scènes, de bataille, de combats isolés, psychologiques ou bien les scènes montrant spoiler: la longue marche des deux hobbits jusqu'au volcan.
La musique d'Howard Shore est très belle, j'ai un faible particulier pour La Chevauchée des Rohirrim. Excellent film. Peut-être aimé par les fans de péplums ouverts aux éléments fantastiques.
Allez, j'arrive au bout de mon énième vision de la trilogie du "Seigneur des Anneaux" avec le "Retour du Roi", conclusion épique de l'aventure de Frodon et ses compagnons. Par rapport aux livres (car oui j'aime toujours faire la comparaison entre les films et les livres de JRR Tolkien), Peter Jackson a décidé de faire un mix entre "Les Deux Tours" version bouquin et bien évidemment, "Le Retour du roi". Le film démarre aux dernières pages du Livre III lorsque Gandalf, Aragorn, Gimli et Legolas arrivent en Isengard, et à la fin du Livre IV (qui occupera les 2/4 de l'aventure de Frodon et Sam) et au passage des escaliers de Cirith Ungol. Si Peter Jackson se permet de prendre quelques libertés quant aux livres, l'adaptation qu'il en tire pour ce dernier opus est réussie. Si "Les Deux Tours" privilégiaient le côté "fun" de l'histoire, avec des séquences on ne peut plus pompeuses qui nuisaient au film, ces défauts sont tout bonnement effacés. Et tant mieux! Puisque dans "Le Retour du Roi", Jackson reprend le caractère épique et dramatique de "La Communauté de l'Anneau", tout en mêlant les batailles mainstream des "Deux Tours". Concernant la bataille du champ de Pelennor (ou bataille de Minas Tirith, c'est au choix), les séquences grotesques qui étaient légions dans "Les Deux Tours" sont gommés. Jackson privilégie l'épique au comique et sa réalisation est foutrement bien réussie. La bataille est fluide est ne laisse pas le specateur succomber aux charmes du mal de crâne suite à des mouvements de caméras abruptes et vulgaires. Certes, certains passages comme le nettoyage de la Comté n'apparaissent pas dans l'adaptation cinématographique mais le travail qu'a effectué Jackson pour résumer les trois tomes de la trilogie mérite d'être salué. On ne s'ennuit à aucun moment tant le montage est rythmé, ne laissant aucun moment de répit au spectateur. "Le Retour du Roi", après un deuxième volet en demi teinte, marque le grand retour de Peter Jackson au divertissement de qualité. Une formidable conclusion au souffle épique, qui rendent pleinement hommage à JRR Tolkien et à son oeuvre, même si des éléments liés à l'univers ont dû être amputés.
11 oscars avec meilleur film/réalisateur/scénario adapté/décors/costumes/maquillages/montage/effets visuels/chanson/musique/mixage sonore. Mais aussi 7 nominations aux B.F.T.A. dont 4 de remporter et enfin 4 Golden Globes avec meilleur film dramatique/réalisateur/chanson/musique. Ce film ou plutôt ce dernier volet d’une des plus grandes trilogie de l’histoire et avec plus de 7,2 million de spectateurs français, ce qui est un succès pour un film fantastique est un véritable feu d’artifice visuel et musical. Une explosion de mise en scène et d’interprétation également avec un script bien plus compréhensible que pour d’autre long-métrages ou séries se situant à cette même-époque et dont je n'ai jamais été ami.
Des musiques toujours aussi somptueuse avec l’unique principale de la saga. Une ambiance médiévale juste et pas trop envahissante pour compléter à merveille cette grande ambiance fantastique. Une qualité visuelle qui est donc toujours aussi frappante spoiler: avec tous d’abord la métamorphose saisissante de Sméagol en Gollum. Un isolement pour donner naissance à une autre figure du cinéma. J’imagine même pas le nombre d’heures ayant été nécessaire pour lui donner vie. Mais c’est assez frappant car quant on y pense, ça à beau être du cinéma et donc pour de faut avec de la colle, des prothèses en caoutchouc et des faux poiles en fin bref. Mais des heures de boulot pour montrer un résultat qui fait réellement bien flipper. Qui nous donne pas envie de manger face à l’écran. Pareil pour les orques dont leur général en chef et son crane d’une laideur folle mais qui est franchement beau.
Mais au fond le film met un certains temps à réellement démarrer. Ce n’est réellement qu’à partir des premières secondes d’invasion de la cité de Minas Tirith que le film vient enfin à être explosif. spoiler: Puis la célèbre scène d’Arachnde, l’araignée géante surveillant l’une des entrées du Mordor. J’avoue n’avoir jamais aimé ce film rien que pour ça. Ce qui peut se comprendre lorsqu'on aime pas cet animal. Mais la qualité du décors pour cette scène est juste impressionnante. Tous comme les multiples autres décors de cette trilogie. Et vient enfin le Mordor lui même. Etape finale et clé ou l’anneau maléfique est enfin détruit. Effets-spéciaux, photographie, son et bien sûr décors. Tout y est. Le design de la porte de la montagne du destin l’est tout autant. Un véritable enfer fictif d’une grande beauté.
Je finirais par saluer les prises de vues ariennes juste sublimes de toutes les batailles. Egalement les prises terrestres tout aussi bonnes. Voilà pour cette trilogie maintenant fini. Et après avoir revue en intégralité et en version longue la trilogie prequelle du “Hobbit�, j'aurais enfin pu revoir l’ensemble des trilogies de Jackson dont ce fut les adaptations des romans du romancier anglais John Ronald Reuel Tolkien alias J.R.R. Tolkien. Avec autant de distinctions et un box-office remarquable. Plus pour l’un que pour l’autre. D’une qualité visuelle hors-norme, une musique culte et berçante ainsi qu'une interprétation sans faille. Je peux surtout souligner l’immense prestation du personnage de Gollum. Gesticules, manière de parler mais en réalité tous fut excellent. J’aurais également compris à quel point la presse pouvait adoré les films voir, les sagas durant en grande moyenne plus de 2h.
A la fois pour laisser le temps de pose d’une mise en scène, le script aussi ainsi que tous les autres éléments filmer. Des sagas ayant pour la plupart remporter un nombre impressionnant de trophées et ayant engendrée un box-office monstre avec pour exemples :
3h32 pour 11 oscars : “Ben-hur� en 60. 3h40 pour 7 nominations aux Oscars : “Les dix commandements� en 56. 3h58 pour 8 : “Autant en emporte le vent� en 50. 2h55 pour 10 nominations et 3 remporter : “Le parrain� en 72. 2h29 pour 7 nominations et 1 remporter et palme d’or à Cannes : “Pulp fiction� en 94. 2h01 pour 11 nominations pour 7 remporter, puis 11 nominations et 8 remporter aux Saturn Awards : “Star wars épisode 4 : un nouvel espoir� en 77. 3h14 pour 9 nominations aux B.F.T.A. et 14 nominations et 11 remporter : “Titanic� en 98. 2h45 pour 13 nominations et 4 remporter : “Le seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau� en 2001.
Donc voilà des exemples parmi tant d’autre montrant le plus souvent que ce sont les plus long et parfois les plus anciens qui sont le plus près du graal… Ou pas. Ceci dit il s'agissait de l'avant dernière saga que je me serais refait avec beaucoup de plaisir de revoir avant la découverte de l’autre grand rôle de Romy Schneider et de conclure avec l’autre saga. Mais cette fois-ci étant intergalactique.
Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi - La dernière bataille pour le pop-corn
Si le Seigneur des Anneaux était une émission de télé-réalité, Le Retour du Roi serait le prime time où tout explose. Peter Jackson, le réalisateur, s'est dit : "Pourquoi ne pas mettre encore plus de paillettes dans ce bordel ?" Et ça a marché ! Le Gondor devient le terrain de jeu préféré de Sauron et ses potes Orques, et franchement, ça claque. Minas Tirith, la capitale, c'est un peu la Mecque des décorateurs d'intérieur version fantasy. Jackson a balancé des pépites visuelles plus éclatantes que la collection de bijoux d'une drag queen en plein carnaval. Entre les elfes qui ressemblent à des mannequins Victoria's Secret et les Nains qui ont plus de style que ton pote hipster, le casting continue de mettre au chômage les agences de mannequins.
On a déjà vu des batailles épiques dans Les Deux Tours, mais là, Jackson a décidé de défoncer le plafond des effets spéciaux. Le budget devait être tellement énorme qu'ils ont dû vendre l'Anneau Unique sur eBay pour renflouer les caisses. La bataille du Gouffre de Helm était déjà incroyable, mais dans Le Retour du Roi, ça devient un gigantesque Battle Royale avec des Oliphants en bonus. Sérieusement, la séquence avec les morts qui débarquent à la fin, c'est comme si Jackson avait décidé d'inviter tous les figurants du Seigneur des Anneaux à une immense teuf. Ça dézingue à tout-va, et on se dit que même Chuck Norris aurait du mal à gérer tout ce chaos.
La quête de Frodon et Sam pour détruire l'Anneau, c'est comme une version fantasy de Koh-Lanta. Ils parcourent des kilomètres dans des terres hostiles, affrontent des créatures étranges, et leur guide, Gollum, ressemble à un coach de survie en mode "comment péter la forme avec un seul repas par jour". Entre nous, Frodon et Sam sont les héros ultimes de la rando extrême. Gollum, lui, fait une pub improbable pour les bienfaits du régime poisson cru. C'est limite plus hardcore que l'épreuve des poteaux.
Howard Shore, c'est le DJ de la Terre du Milieu. Sa bande-son, c'est comme si Gandalf avait un iPod caché dans sa barbe. On a envie de s'installer confortablement dans la Comté avec une bière et de laisser la musique nous envahir. Les moments épiques sont accompagnés de violons qui nous font sentir plus puissants que le Balrog, et les moments tristes sont sublimés par des mélodies qui nous font pleurer plus fort que Gollum devant son précieux. Howard Shore, c'est le Mozart des Hobbits.
Les acteurs, c'est la crème de la crème. Elijah Wood en Frodon, c'est le mec qui réussit à être dépressif même dans des paysages magnifiques. Ian McKellen en Gandalf, c'est le grand-père badass qui t'explique comment bien manier une épée. Viggo Mortensen en Aragorn, c'est le mec qui te donne envie de troquer ta voiture pour un cheval. Et Andy Serkis en Gollum, c'est la performance qui a donné envie à tous les acteurs de faire du motion capture. Ils sont tous plus charismatiques que ton voisin qui collectionne les figurines Star Wars.
En conclusion, Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi, c'est comme une soirée avec les Ents : ça déboîte tout. Entre les batailles épiques, les paysages à couper le souffle, et les acteurs qui te font regretter de ne pas avoir choisi la carrière d'elfe, c'est du lourd. Peter Jackson a réussi à conclure cette trilogie avec la classe d'un Hobbit qui découvre une nouvelle espèce de champignons hallucinogènes. Une œuvre épique qui a marqué le cinéma, et si t'as pas aimé, c'est que t'as dû confondre avec un documentaire sur la fabrication des anneaux en bijouterie.
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Et voilà un final qui restera longtemps dans les annales. Sans doute l'un des meilleurs finals qui soit. Pour moi, clairement le meilleur de la saga. L'histoire se conclut de façon incroyable et fantastique. Honneur et courage sont au rendez-vous, avec un peu de tendance suicidaire aussi. On voit clairement que tout conduit à l'affrontement final, les dernières pièces de l'échiquier se mettent en place avant que tout ne commence réellement. Alors bien sûr, on peut appeler ça la plus longue happy end de l'histoire du cinéma, mais sincèrement, ça vaut le coup. Les longueurs commencent à se faire sentir sur la dernière demi-heure seulement (la fameuse happy-end qui n'en finit pas), mais le reste du film est un pur régal. On peut dire que tout le monde en prend plein la gueule. Certaines scènes sont tellement épiques qu'il serait impossible de les surpasser, d'autres nous plongent dans un profond désespoir tandis que d'autres nous font exulter. On est aussi torturé à la fois psychologiquement et physiquement en suivant les aventures de Frodon, et sans doute la plus grande scène d'arachnophobie jamais tournée. Encore une fois, le seul vrai défaut de cette pharamineuse histoire, en outre des longueurs sur la fin, ce sont les dialogues. Bien qu'ils soient supérieurs à ceux des précédents films, on a encore quelques uns qui passent mal, formulés maladroitement. Legolas s'est légèrement calmé, mais il y a encore des tics (le coup des étoiles voilée notamment). Pour ce qui est des acteurs, ils se sont surpassés pour ce final. J'ai du mal à comprendre comment leur jeu peut être aussi différent que dans le reste de la saga, alors que tout a été tourné en même temps...Se seraient-ils concertés pour se transcender sur certaines scènes ? Se seraient-ils trop épuisé dans ces scènes pour briller dans celles des autres films ? Impossible à savoir, mais quoi qu'il en soit, le casting est purement merveilleux dans ce film, et ce à tous les niveaux sans exception. Bon, bien sûr, on a quelques imperfections ici ou là (Legolas...oui, je sais), mais on les oublierait presque. Pour ce qui est du reste, on ne va pas dire ce qui a déjà été dit : une musique dantesque, à la fois épique, terrifiante, fantastique, libératrice ; des effets spéciaux sensationnels, avec de très grosses améliorations dans les incrustations en paysages réels ; des décors toujours aussi magnifiques (la cité blanche...juste whaou) ; et enfin, une mise en scène à l'image du film, sublimée, extraordinaire et magique. Jackson nous plonge une dernière fois en Terre du Milieu et il y met les grands moyens, nous immerge complètement et nous fait littéralement vivre ce dernier acte. Le Retour du Roi est sans doute l'un des meilleurs finals qui soit, sinon le meilleur. Une conclusion parfaite à l'une des plus grande saga de l'histoire du cinéma. Bravo et merci !
Les meilleures choses ont toujours une fin et c'est pourquoi j'écris avec beaucoup de tristesse cette critique qui clôt l'adaptation cinématographique de la trilogie de feu Tolkien. Ce dernier volet est d'une puissance et d'une beauté rarement égalées au cinéma.
Le Troisième Age de la Terre du Milieu touche à sa fin. Frodon et Sam continuent leur route vers le Mordor guidés par Gollum, sans se douter que ce dernier les mène dans un piège mortel. Sentant que l'héritier d'Isildur est de retour, Sauron envoie ses armées à l'assaut de la capitale du Gondor, Minas Tirith. Si la Cité Blanche tombe, Aragorn ne pourra pas accomplir sa destinée et le monde des Hommes s’effondrera... La plus grande bataille de la Guerre de l'Anneau est sur le point de débuter.
La réalisation est parfaite, avec un habile mélange de plans fixes et de plans en mouvement, tous parfaitement maîtrisés. Les prises de vues sont magnifiques. Le scénario est incroyable, suspense, drame, action, tout est au rendez-vous pur finir cette trilogie de la manière la plus épique qui soit. Par contre, attention car la dernière scène est tellement forte émotionnellement qu'elle ferait pleurer une hyène. Les personnages sont toujours aussi bien écrits et les acteurs toujours aussi convaincants. Les dialogues sont particulièrement excellents. La photographie est incroyable, les tons de lumière sont superbes et les couleurs sont magnifiques. Le montage est dynamique, puissant et très intelligent, tout particulièrement lors des scènes d'action. Les décors sont à couper le souffle, en particulier Minas Tirith qui est superbe. Les costumes sont toujours aussi bien faits, le maquillage est bluffant, les effets spéciaux sont toujours saisissants 13 ans après la sortie du film. La musique est superbe, tout comme le mixage et le montage sonores. Le Seigneur des Anneaux : le Retour du Roi ( à voir en version longue pour ses scènes coupées et ses bonus géniaux) est un film absolument sublime qui clôt avec brio l'une des meilleures trilogies du septième art.
Après les 2 premiers volets tout 2 magnifiques , voilà le moment où la quête prend fin et si on a aimé l'univers des 2 premiers films , on ne peut qu'adorer cet épilogue , tout y est , des décors magnifiques , des effets spéciaux à couper le souffle , des acteurs au top , des batailles somptueuses et des moments épiques en pagaille , on a même le droit au milieu de tout ça à des moments plus axés sur la psychologie des personnages , notamment des révélations sur le passé de Gollum . En bref , un film monumental de plus de 3h où on ne s'ennuie pas une seule seconde , un grand bravo à Peter Jackson pour cette saga et à Tolkien pour l'ensemble de son oeuvre .
Sûrement le plus spectaculaire des trois volet, et pour moi, mon préféré. Peter Jackson nous offre une fois de plus une très bonne réalisation avec de bons mouvements de caméra et des plans en plongée/contre-plongée, il s'en sort très bien dans l'horreur, que ce soit avec les orques évidemment, l'araignée ou encore Gollum qui est incroyablement bien interprété par Andy Serkis. Un montage assez moyen quand même, surtout dans la version cinéma ou l'importance de Faramir a été considérablement réduite. Toujours d'aussi beaux plans avec des décors absolument sublimes et majestueux et de très bons costumes. Legolas est toujours aussi charismatique, pareil pour Aragorn et Gandalf. Les Hobbits sont toujours aussi intéressants mais un peu attachants et les hommes ne sont eux pas du tout attachants. Des combats incroyables et une fin peut être un peu longue mais que je trouve très convenable. Évidemment, on a encore une BO absolument dingue qui sert les propos du film.
Le dernier volet de cette trilogie cloture a merveille cette dernière. Le scénario est poignant et le final est mémorable. La bande son toujours au top, idem pour les acteurs. Les décors sont somptueux. Il n'y a aucun defaut, que mettre d'autre que la note maximale!