Encore une fois ennuyeux. Quelques personnages sympathiques d’autres pour lesquels mon intérêt est moindre voir inexistant. Un antagoniste inexistant, simplement représenté par une armée de créature uniforme. Un univers pour lequel je n’accroche pas du tout.
Deuxième partie de ma trilogie préférée. Je l'ai un nombre incalculable de fois et je suis émerveillé à chaque fois comme depuis que j'ai 4 ans. Là bataille du gouffre de Helm = meilleure séquence de bataille all time
Le Seigneur des Anneaux : Les Deux Tours - Une Deuxième Gifle Tolkienesque!
Quand Frodon et Sam réalisent qu'ils sont suivis par Gollum, c'est comme découvrir que ton ex t'a créé un compte fake sur Instagram pour te stalker en mode "précieux". La créature schizophrène est aussi fiable qu'un GPS défectueux, mais bon, au moins il ne demande pas le chemin vers Mordor à chaque coin de rue.
Theoden, ce roi sous l'influence de Saroumane, c'est un peu comme si le Seigneur des Anneaux avait décidé d'organiser une version médiévale d'une soirée où tout le monde est au fond du seau émotionnel. Son espion, Langue de Serpent, c'est le mec qui fout l'ambiance en racontant des ragots à la cour. Ça sent le drama et la trahison à plein nez.
Gollum et l'Anneau, c'est une relation plus compliquée que celle entre Ross et Rachel dans Friends. Frodon, lui, se fait manipuler comme un pion dans une partie d'échecs, et Sam, c'est le meilleur ami qui doit jouer les détectives privés pour démasquer le traître. C'est un vrai soap opéra version fantasy, avec des retournements de situation dignes d'un épisode de Dallas.
Les Nazgûl débarquent avec leur look capuche-noire-tendance et leur cri strident qui te fait regretter d'avoir mis le son à fond. Ils sont tellement effrayants qu'ils pourraient donner des cauchemars à Freddy Krueger lui-même. Imaginez si au lieu de chevaux, ils avaient des scooters, ça serait le gang de l'Anneau qui débarque dans un remake de Mad Max.
Jackson, c'est le Gandalf du cinéma. Il transforme un bouquin dense en une épopée visuelle qui te colle à ton siège comme une mouche sur un anneau magique. Les effets spéciaux sont plus impressionnants que la collection de Funko Pop d'un fan hardcore, et la version longue, c'est comme ajouter des scènes bonus dans un jeu vidéo, sauf que tu peux pas appuyer sur "skip".
Peter Jackson nous offre un deuxième opus qui claque plus fort qu'un coup de fouet elfique. Les Deux Tours, c'est comme une aventure épique saupoudrée de blagues geek, avec des combats épiques, des trahisons à la pelle, et des personnages plus tordus que la chronologie des films X-Men. On plonge dans les Terres du Milieu comme dans une piscine de bière à la Taverne du Dragon Vert. Alors accrochez-vous à vos épées en mousse et embarquez pour ce rollercoaster fantastique qui vous laissera aussi sonné qu'un troll qui a pris un coup de marteau dans les bijoux de famille.
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Une suite totalement réussie, mais qui aurait pu être plus dans l'émotion et la complicité, sinon toujours beau visuellement, acteurs et interprétation merveilleusement bien joué, et des musiques toujours aussi génials.
"Le Seigneur des Anneaux : Les Deux Tours" de Peter Jackson se présente comme une odyssée cinématographique remarquable, une suite magistrale à "La Communauté de l'Anneau" et un prélude épique au "Retour du Roi". Ce film, tissé avec une habileté narrative exceptionnelle, est un chef-d'œuvre de la réalisation, de la conception visuelle et de la narration émotionnelle.
Jackson réussit à maintenir l'équilibre délicat entre fidélité à l'œuvre originale de Tolkien et innovation créative. Les scènes emblématiquesspoiler: , telles que la bataille du Gouffre de Helm, sont exécutées avec une maîtrise technique et un impact émotionnel écrasants, illustrant magnifiquement la lutte désespérée contre les forces maléfiques de Saroumane.
La performance d'Andy Serkis en Gollum est révolutionnaire, combinant capture de mouvement et animation pour donner vie à un personnage complexe et tourmenté. Gollum devient ainsi une figure tragique, déchirée entre la rédemption et la corruption. Cette prouesse technique et narrative représente un tournant dans l'histoire des effets spéciaux au cinéma.
La réalisation de Jackson est complétée par une direction artistique et des décors à couper le souffle. La Nouvelle-Zélande, avec ses paysages à la fois majestueux et sauvages, sert de toile de fond parfaite pour la Terre du Milieu. Chaque lieu, de la forêt de Fangorn à la cité d'Edoras, est rendu avec une attention méticuleuse aux détails, renforçant l'immersion du spectateur dans cet univers fantastique.
La partition de Howard Shore, riche et évocatrice, accompagne et renforce le récit. Les thèmes musicaux, allant de l'héroïque au mélancolique, ajoutent une profondeur émotionnelle aux scènes, enracinant les personnages et leurs péripéties dans un monde qui semble à la fois ancien et intemporel.
En conclusion, "Les Deux Tours" est une réussite épique, un triomphe de la vision et de la passion de Jackson pour le monde de Tolkien. C'est un film qui non seulement enrichit l'histoire de la trilogie, mais élève également le genre de la fantasy à de nouveaux sommets artistiques et cinématographiques.
Exceptionnelle la saga des seigneurs des anneaux. Le film les deux tours est excellent magistral les scénes d'actions et d'effets speciaux sont incroyables....
deuxième volet de cette saga mythique, on replonge facilement dans l'univers de Tolkien est le travail de Peter Jackson sur les 2 premier film est juste époustouflant !
probablement l'opus de la trilogie le plus réussi. visuellement bluffant, fidèle au matériel d'origine et une reproduction de la bataille du gouffre de helm sans fausse note
On a ici le 2e film de la trilogie du "Seigneur des Anneaux" de Peter Jackson. Ce 2e volet nous accompagne avec la communauté de l'anneau dans le Gondor, et nous continuons à marcher jusqu'au Mordor afin de réussir la quête de l'Anneau Unique. De nouveaux personnages s'immiscent, avec Gollum notamment, prenant une place plutôt importante au sein de la quête. Il y a aussi Faramir, Eomer et Eowyn, qui permettent donc d'accompagner notre très chère communauté, alors à moitié dissoute.
Comme le premier film de cette trilogie, tout est grandiose : les personnages, le scénario, la musique sublime, les paysages ainsi que les combats et scènes d'actions qui sont uniques dans le monde du cinéma. La bataille des Ents à Isengard, mais aussi la grande bataille du gouffre de Helm sont somptueuses ! Peter Jackson devance alors à pas d'Oliphan tous les autres réalisateurs, en terme de CGI, de mise en scène, de costume et de scènes de bataille !
La version longue permet d'ajouter de la fantasy à ce film, mais aussi d'observer de nombreux détails, d'autres personnages et des scènes plutôt capitale dans le déroulement de l'histoire de la Terre du Milieu.
La fin du film laisse alors place au 3e et dernier film de cette trilogie : "Le seigneur des Anneaux : Le retour du roi".
Une suite magistrale, extraordinaire. La réalisation, les intrigues, les OST, j'ai adoré le film. Encore meilleur que le premier, on rentre vraiment dans le vif du sujet avec celui là. Le trio Aragorn, Ghimli et Legolas j'adore, puis Gandalf on en parle pas assez de cette entrée dans le film... toutes les parties du film nous font aucunement ressentir que le film dure 3h tellement tout est intéressant et captivant. Merci encore Peter Jackson.
Après un premier volet contemplatif qui permettait une excellente mise en place des nombreux enjeux de l'aventure, ce 2eme volet fait entrer la saga dans l'action. La communauté dissoute, les histoires parallèles se mettent en place et l'on suit chaque perso. L'occasion aussi d'en découvrir de nouveaux pour étayer l'histoire et poser les bases de la Grande Bataille finale. Cet épisode est celui de la transition, la courroie entre le premier et la conclusion, sans début ni fin. C'est peut être pour cela qu'il n'a pas la force du premier et l'épique du troisième. Cela dit, il reste un chaînon d'une des plus grandes saga ciné et compte parmi les plus grandes scènes de cette même saga : l'introduction de Gollum, la découverte du thème musical du Rohan, le retour du magicien blanc, l'attaque des Ents, et la fameuse bataille du Gouffre de Helm. Une excellente montée en tension avant le feu d'artifice final.