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Un visiteur
3,5
Publiée le 24 mars 2020
Bon thriller reprenant la même base scénaristique que le silence des agneaux avec une enquête vraiment efficace. Anthony Hopkins est toujours parfait en Hannibal Lecter, Edward Norton et Ralph Fiennes son convaincant dans leur rôle. Le début est malgré tout frustrant dans le sens où j'aurai aimé vivre l’enquête menant à l'arrestation d'Hannibal.
à comparer on est en dessous du Silence des Agneaux qui est l'opus le mieux réussi. Celui-ci reste quand même intéressant et accrocheur. Même si le personnage de Lecteur n'est qu'un prétexte et que le méchant principal est assez improbable. Quelques éléments bien vu quand même à retenir.
Un film pas mal qui néanmoins ressemble beaucoup au Silence des Agneaux. Mais il est à voir car on retrouve toujours l'ambiance glauque du Silence Des Agneaux et aussi l'interprétation exceptionnel d'Antony Hopkins.
On retrouve assez bien l'atmosphère et l'esprit du roman de Thomas Harris. Malgré tout, le personnage de Dolarhyde n'est pas aussi fouillé, aussi soigné, que ceux des enquêteurs. C'est pourtant lui le personnage central de l'intrigue.
film pas mal mais décevant je l'ai vu après "Le Silence Des Agneaux" donc forcément il ne m'a pas plu, pour moi il reste le moins bon de la saga.....on critique trop souvent à tort le petit dernier "Hannibal Les origines du Mal" qui est pourtant 100 fois mieux que celui-là !
Le film fonctionne sans atteindre le niveau de ses prédécesseurs, avec un excellent casting (bien que Norton ne livre pas sa meilleure performance). Du déjà vu mais avec de la gueule.
Brett Ratner livre avec Dragon Rouge une relecture intéressante et soignée du roman de Thomas Harris, déjà adapté par Michael Mann dans Le Sixième Sens (1986). Porté par un casting impressionnant, avec Edward Norton dans le rôle de l'enquêteur Will Graham et Anthony Hopkins reprenant son rôle culte du Dr Hannibal Lecter, le film tient ses promesses en matière de tension psychologique et de suspense.
L'ambiance oppressante est bien maîtrisée grâce à une mise en scène efficace et une photographie sombre qui accentue l'aspect torturé des personnages. Ralph Fiennes incarne un antagoniste glaçant et complexe, et son interprétation contribue grandement à l'efficacité dramatique du film. De plus, la partition musicale de Danny Elfman ajoute une couche supplémentaire à l'atmosphère troublante.
Cependant, si Dragon Rouge reste un thriller solide et captivant, il souffre parfois de la comparaison avec Le Silence des Agneaux. Là où ce dernier explorait plus en profondeur les méandres psychologiques de ses protagonistes, Dragon Rouge se limite davantage à une intrigue linéaire, manquant parfois de subtilité et de surprises. De plus, certaines scènes semblent un peu trop convenues ou prévisibles, ce qui peut atténuer l'impact global.
Dragon Rouge est une proposition réussie que je conseille aux amateurs de thrillers psychologiques et aux fans d'Hannibal Lecter, sans pour autant atteindre la maestria de son prédécesseur. Une œuvre de qualité qui reste plaisante, mais qui manque d'un véritable souffle pour devenir mémorable.
c'est un bon film. le meilleur après le silence des agneaux. je trouve la distribution des rôles réussi. mais je trouve également le scénario trop proche du silence des agneaux. un agent du FBI vient le voir dans l'asile pour avoir de l'aide. mais ce n'est pas trop une gêne. heureusement.
Contrairement au dernier opus, "Hannibal", ce préquel au chef-d'oeuvre "le silence des agneaux" est un pur bijoux selon moi. Principalement grâce à des acteurs époustouflants, surtout Edward Norton, le film nous tient en haleine durant la traque d'un tueur en série. Plus ou moins aidé par Lecter, Graham va faire face à un nouvel adversaire plus redoutable que jamais. A voir pour les fans et les déçus d'Hannibal.
Brett Rattner prend la relève de Jonathan Demme et de Ridley Scott pour ce troisième opus des aventures d'Hannibal Lecter ! Il s'en sort haut la main, grâce notamment à un casting haut de gamme et à une réalisation classique mais efficace. Quelques scènes sont même superbement réussies et Dragon rouge sans atteindre le génie et l'angoisse du Silence des Agneaux tient en haleine le spectateur de bout en bout.
C'est vraiment dommage... "Dragon Rouge" débutait avec une ambiance inquiétante et un suspense à couper le souffle, et ensuite on tombe dans l'oubli avec des scènes inutiles qui nous gâches nos sueurs froides (on connait l'identité du tueur au bout de 40 minutes de film...) et des personnages à qui on a envi de foutre des baffes... La fin nous montre aussi la réelle faiblesse scénaristique de Brett Ratner (faire mourir le suspect puis le faire revivre ect....). Bref, ce film est une petite déception, avec de bons point en somme, mais se perd très facilement dans un oubli total. Cool, mais dommage.
Bien mieux qu’Hannibal mais à des années-lumière du Silence des agneaux, Dragon Rouge se positionne tout de même confortablement bien dans cette pseudo trilogie étirée péniblement et ça jusqu’à épuisement sur les deux derniers épisodes. Brett Ratner n’apporte strictement rien à l’œuvre impeccable de Jonathan Demme. Inutile, manquant cruellement d’imagination, Dragon rouge ne nous surprend pas, aucune ambition, aucun génie dans ce titre, réalisation triste, minimaliste et fade mais qui reste néanmoins bon et efficace si on le compare à d’autres films du genre, malheureusement j’en attendais beaucoup plus. Réchauffé et déjà vu, Dragon Rouge n’est qu’une pâle copie du Silence des agneaux, on regrettera toujours l’absence et le charisme de Jodie Foster qui manque cruellement même si Edward Norton ne souffre pas de ridicule, il est un acteur que j’apprécie. Un Anthony Hopkins trop discret et laissé en second plan alors qu’il incarne cette trilogie depuis son commencement, décevant, insultant ! Une prestation honorable de Ralph Fiennes nous fera cependant oublier les nombreux défauts qu’empile ce film. Quoi qu’il en soit il serait grand temps de mettre un point final au mythe d’Hannibal Lecter. Bilan: une trilogie de plus que je ne possèderai pas dans ma vidéothèque, le premier me suffira amplement, le reste n’est qu’un subterfuge.