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    Sans retour
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    65 critiques spectateurs

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    vadorbane93
    vadorbane93

    21 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2008
    Sorte de petit délivrance, il n'est tout de même pas son équivalent, la faute à une réalisation moyenne.Très agréable toutefois,sans temps morts et avec de bons acteurs, il est à découvrir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Je me rappelle qu'à sa sortie ce film est passé quasi-inaperçu, sortant dans à peine quelques salles et pour très peu de temps. Et pourtant, quelle claque ! Une réalisation soignée, un scénario en béton, des acteurs fabuleux (Brian Keith, Powers Booth, Peter Coyote,...), un décor oppressant (le bayou en Louisane) et un suspense intenable. Une mention tout à fait spéciale doit être réservée pour la scène finale qui se déroule dans le village Cajun et qui donne réellement la chaire de poule.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 novembre 2009
    A DECOUVRIR !!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 avril 2011
    Mes souvenirs sont très vague ce qui prouve que je n'ai pas totalement apprécié le film, certes l'intrigue aurait pu être intéressante mais je suis vite tombé dans la lassitude en regardant ce film, la mise en scène est plutôt pas mal selon mes souvenirs et les acteurs sont convaincant heureusement. Déçu par la fin même si il y a de la tension mais trop de tension tue la tension.
    Un film correct mais je suis déçu tout de même.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 096 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 décembre 2010
    Je ne suis pas un grand fan des survivals, mais certains représentants du genre arrivent à m'intéresser et à me faire rentrer dans leur univers, mais ça n'est pas le cas de ce Sans Retour. Si le début était sympa. Au final on a quand même un sous Délivrance avec des militaires. Un truc qui ne me passionne pas du tout. Alors l'amateur du genre y trouvera sans doute son compte, mais franchement sinon on peut largement passer son chemin. Pas que le film soit mauvais, mais c'est pas non plus l'extase.
    pierrre s.
    pierrre s.

    441 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 novembre 2018
    L'histoire de Sans Retour est très intéressante sur le papier, mais s'avère finalement lente et ennuyante.
    moonboots
    moonboots

    60 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 décembre 2014
    le film renvoie forcément à Délivrance mais il supporte mal la comparaison, le scénario réserve peu de surprises, la réalisation est moyenne, et les personnages inspirent peu la pitié, bref on reste jusqu'au bout pour connaître l'issue mais sans plus
    Henri M
    Henri M

    54 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 octobre 2010
    Sur la même trame que 'Délivrance', un avatar aussi chiant, sans suspense et plus moche (la photo est particulièrement laide). Si à en croire le réalisateur du premier (qui se tient en haute estime), le message était "le retour à la nature est aussi un retour à la sauvagerie", la philosophie de celui-ci pourrait être "un abruti reste un abruti"...
    SHWARZIE
    SHWARZIE

    36 abonnés 617 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 mai 2011
    Des crétins militaires américains dans le bayou se font tuer un par un par les pecnos du coin, c'est mal joué, mal filmé, mal doublé, bref c'est pourri.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    766 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2010
    Cette chasse à l'homme qui est dans la lignée de " Délivrance " est une sympathique réussite. La mise en scène de Walter Hill - qui réalise peut être ici son meilleur film - est d'une belle efficacité et les acteurs principaux ( Keith Carradine, Power Boothe ou encore Fred Ward ) sont vraiment bien impliqués dans leurs rôles respectifs.
    Le réalisateur de " 48 heures " nous propose une poursuite haletante dans les marécages de la Louisiane, agrémenter de certaines séquences vraiment réussis et même si pour moi le tout est légèrement inférieur au film de John Boorman, il se regarde néanmoins très agréablement.
    quatermain
    quatermain

    7 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    SANS RETOUR met beaucoup de temps à démarrer, aurait pu être plus viscéral, et est sans grande originalité. Cependant il reste agréable à regarder, grâce à des acteurs rares mais excellents, Powers Boothe et Keith Carradine, et grâce à une scène finale époustouflante.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 955 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juillet 2020
    Des soldats de la Garde Nationale de Louisiane, en patrouille dans les bayous, vont vivre un vèritable cauchemar èveillè! Ils devront se faire à l'idèe qu'ils iront à la flotte et qu'elle sera glacèe! S'il n'y avait que ça [...] Remplissez vos gourdes à la citerne du coin et prèparez votre poncho, ce voyage au bout de l'enfer est angoissant à souhait! Où cela nous mène t-il ? Dans les marais sauvages avec une patrouille pris en chasse par les habitants hostiles et sans pitiè! A ce coup de force scènaristique, filmè remarquablement, on mesure toute la peur et la violence qui s'en dégagent! Un casting qui a de la gueule (Carradine, Boothe, Ward, Coyote...tous parfaits) et des paysages à tomber! De loin le meilleur film de Walter Hill qui a su donner aux marais ce petit quelque chose d'oppressant qui fait toute la diffèrence! Les amateurs seront servis...
    Redzing
    Redzing

    1 147 abonnés 4 497 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2022
    Depuis son échec commercial en salles, « Southern Comfort » semble être allègrement tombé dans l’oubli. Et pourtant, il est largement situé dans le haut du panier de la filmographie inégale de Walter Hill. On y suit une escouade de la Garde Nationale, en mission de reconnaissance dans le bayou de Louisiane. Mais suite à une provocation, la mission va rapidement déraper. Et nos soldats vont se retrouver traqués par des autochtones expéditifs, dans ce milieu particulièrement hostile, avec des balles à blanc pour (presque) seule défense. Autrement dit, il s’agit d’une sorte de mélange entre « Deliverance » et « Predator ». Sauf que dans « Predator », nos héros était un commando d’élite surentraîné à la camaraderie soudée. C’est ici tout le contraire. Nos protagonistes sont de vrais pieds nickelés arrogants, enchaînant les bêtises et les décisions stupides ou hâtives. D’autant plus qu’ils sont pour la plupart citadins, peu habitués au bayou, et pas vraiment amis. Bref, ils auraient pu constituer d’excellents méchants si on inversait le récit en le plaçant du point de vue des locaux ! Mais c’est justement ce qui intéresse Walter Hill. La majeure partie du film met la traque au second plan, faisant à peine apparaître les Cajuns qui chassent les soldats. Le réalisateur préfère dresser un portrait pessimiste de la bêtise humaine, à travers cette équipe de bras cassés qui va peu à peu se dissoudre. On peut aussi y voir une évidente allégorie du Vietnam, d’autant plus que l’intrigue se déroule en 1973. Un portrait soutenu par des acteurs avouons-le très inégaux. Mais heureusement, quelques « gueules » réhaussent l’ensemble, telles que Powers Boothe, Keith Carrradine, Peter Coyote, Fred Ward, ou Brion James. Un œil avisé reconnaîtra également, derrière une grosse moustache, Sonny Landham, l’un des membres du commando de « Predator » ! Sans compter un tournage dans le bayou, qui renforce considérablement l’atmosphère hostile du film. On peut imaginer qu’un tel tournage ne fut pas facile à gérer (impossible de placer des marques au sol pour les acteurs quand ils ont les pieds dans l’eau…). Walter Hill n’y va pas non plus de main morte avec certaines morts visuelles. Et il livre un tout dernier acte étonnant au regard de ce qui précède, mais tendu à souhait et très bien géré. « Southern Comfort » est ainsi une jolie surprise, et un survival de très bonne tenue.
    Yetcha
    Yetcha

    895 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2019
    Une ambiance angoissante et superbe pour un film dont le tournage éprouvant est une gageure. Ce monde des cajuns est un théâtre original et sous exploité. La brochette d'acteurs est excellente et la colorimétrie entre le vert et le marron est parfaite. Un superbe film poisseux et violent du génial Walter Hill.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    536 abonnés 953 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2022
    Invité à la cinémathèque de Paris pour une rétrospective qui lui est dédiée, Walter Hill surprend par sa grande humilité. Au cours de cette rencontre, le réalisateur âgé de 82 ans se confie sur sa méthode de travail, qu'on pourrait résumer avec la maxime "show, don't tell". Rien d'intellectuel à la conception de ses films à priori, la plupart furent déconsidérés à leur sortie, nombre d'entre-eux sont maintenant chéris comme de vrais trésors (Driver, Les Guerriers de la nuit). Réalisateur, producteur, scénariste ; Hill est la personnification d'un artisan droit, appliqué et versatile. Règle d'or : ne garder que l'essentiel. 1h40, c'est le grand max chez lui.

    À bien des égards, ce parcours résonne avec celui de John Carpenter, même si le papa de Michael Myers demeure plus populaire. Quand Hill imaginait un New York déchiré par ses Warriors en 1980, Carpenter expédiait en 1981 son solide Snake Plissken dans la même ville réinventée en prison. Le hasard fera bien les choses jusqu'au bout puisque les deux brulots seront érigés au rang de cultes. Un an plus tard, Big John mettra au monde son plus grand film, The Thing, survival enneigé confrontant ses personnages à une entité extra-terrestre hostile capable de prendre l'apparence de n'importe qui. Devinez qui en fera autant ? Une année plus tôt, Walter Hill perdait un bataillon de la garde nationale pris en chasse par des culs-terreux dans un bayou en Louisiane. Malgré la différence d'environnement, Sans retour partage ce goût pour la mise en (mauvaise) situation et le brouillage des repères, aussi bien géographique (les inserts parsemant la marche renforcent l'aspect labyrinthique du marais) que psychologique. On va nous faire déguster ? Oui, en même temps il y a à boire et à manger.

    Le geste est anthropologique. Mettez les hommes en situation de vulnérabilité et regardez comment ils réagissent. Chez Carpenter, on débusquait le racisme derrière la traque à l'alien (= étranger, en français). Hill gratte une plaie encore mal cicatrisée, la guerre du Vietnam. Plus que l'erreur de cette guerre, le cinéaste renvoie l'horreur de certaines actions américaines à la face de son spectateur. La critique du "tirez d'abord, réfléchissez ensuite", personnifié avec le personnage de Reece, est limpide. Cependant, l'idée est d'aller plus loin que ça. Passé le briefing d'entrée, les 9 soldats vont cumuler toute sorte d'erreurs : jugements hâtifs, arrogance mal placée, réflexes bourrins. Un enfer pour eux, une vraie aubaine pour titiller notre cadran moral. D'autant que les personnages se révèlent petit à petit, ce qui ne facilitera pas la tâche pour soutenir ou condamner. Sans retour nous laisse seuls juges face aux actes et pensées de la petite troupe (aucune musique pour aiguiller), alors que les pertes et moments de flottements déchirent l'unité.

    Les plus grands survivals obéissent à une inexorable montée en tension, paroxystique dans son dernier acte (cf Predator, Apocalypto...The Thing). Walter Hill ne déroge pas à la règle avec un épilogue jouant à merveille des contradictions pour travailler votre cardio. La métaphore du conflit armé persiste à filer, cette fois sur le terrain du stress post-traumatique. Ce qui augmente davantage l'angoisse d'un dénouement sinistre, puisque tout devient possible donc potentiellement tragique. On reconnaît le flair de Hill jusque dans le choix d'un casting de gueules pareilles. Powers Boothe, Keith Carradine, Fred Ward ou Brion James sont aussi crédibles dans les rôles d'antagonistes que de compagnons, d'où la facilité à se laisser embarquer avec eux. Le spectateur est lentement relâché de cette expérience, il est par contre fort probable qu'elle le marque durablement.

    Coïncidence miraculeuse, il n'y a jamais eu de compétitions entre Walter Hill et son collègue John Carpenter. Les deux artistes ont juste développé les mêmes angoisses et en ont fait des films. L'un comme l'autre ne se font pas beaucoup d'illusions quant au genre humain. Ils n'ont pas eu forcément le succès qu'ils méritaient à l'instant T, il n'empêche que le cinéma américain leur doit une fière chandelle. Un p'tit dernier point commun pour la route.
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