Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michaël Melinard
"Full Frontal" confirme surtout l'originalité de Soderbegh, son envie d'explorer d'autres formes de cinéma à l'heure où les craintes de voir le septième art totalement s'uniformiser refont surface, il est rafraîchissant et vivifiant qu'un tel cinéaste ose encore s'éloigner des sentiers balisés. Rien que pour cela, Full Frontal vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
(...) une amusante galerie de portraits made in Hollywood, malgré une intrigue un peu décousur sur Hollywood.
Le Monde
par Florence Colombani
Rigoureusement construit et merveilleusement interprété, Full Frontal est sans doute son All about Eve. L'on attend maintenant le film où s'épanouira le mélange de lyrisme, d'amertume et d'ironie qui rend l'unique scène où apparaît Gus, le personnage de David Duchovny, si frappante... Une Comtesse aux pieds nus, somme toute.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Ceux qui seront décontenancés par l'agencement saugrenu de l'ensemble pourront se consoler avec quelques scènes d'anthologie, plutôt cocasses, comme celle du massage de David Duchovny, le monologue de Blair Underwood sur la condition des acteurs noirs ou la séquence du "space brownie".
Ouirock.com
par Pascale Lagahe
Il ne manque qu'une chose à toutes ces vies singulières : une petite dose de tonus et d'énergie pour les rendre plus passionnantes et surtout plus percutantes.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Eric Quéméré
Tourné en dix-huit jours, en DV et avec un petit budget, le nouveau film de Soderbergh joue ainsi à brouiller les cartes en surfant sur différents niveaux de récit. une exploration des moeurs plaisante.
Cine Libre
par François Doisnel
Retour au film expérimental pour Steven Soderbergh. Un puzzle déconcertant et pas tant décapant.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Libération
par Didier Peron
L'art du montage de Soderbergh sauve à peu près l'ensemble de la vanité et fait de Full Frontal une curiosité sur les états d'âme d'une poignée de nantis.
Aden
par Philippe Piazzo
Tout le monde a l'air très content. Sauf nous. Vu de la salle de cinéma, avec de pauvres yeux de spectateur tout simple, qu'est ce qu'on voit ? Rien. Ben oui : Full Frontall est quasiment inregardable et incompréhensible.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Un tel film ne propose rien d'autre que du vent, mais avec la manière.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Un seul moment de Full frontal donne la mesure de ce qu'aurait pu être ce long métrage : celui au cours duquel Julia Roberts et son partenaire ne savent plus si la caméra tourne encore et qu'ils sont entre deux "états". Soderbergh aurait pu fonder un film entier sur cette position vertigineuse, il a hélas préféré la diluer dans une somme de bavardages artificiels auxquels le gros grain du numérique ne parvient même pas à donner le goût du réel.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
par Alain Grasset
Le thème semble excitant, mais cet ensemble de sketchs un peu expérimental s'avère déroutant, voire ennuyeux. Une erreur de parcours que les inconditionnels de Soderbergh lui pardonneront.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Vu de loin, c'est un Short Cuts du pauvre. Bref, des chichis, de l'image grunge, décadrée, défilmée, désaturée, des jump-cuts en veux-tu en voilà, du manièrisme sur du manièrisme. On préfère les chiens-chiens hollywoodiens qui font leurs besoins dans leur caisse plutôt qu'à côté.
Première
par Mathieu Carratier
(...) Full frontal est aussi stimulant qu'un reportage people.
La critique complète est disponible sur le site Première
Première
par Mathieu Carratier
Après une série de gros films réussis et très rentables, on comprend que Steven Soderbergh ait eu besoin de vacances. Sympas, ses potes, de Brad Pitt à Julia Roberts en passant par David Fincher, sont passés dire bonjour. Moins sympa, Steven s'est dit qu'il allait sortir son film de vacances au cinéma. (...) Entre clins d'oeil embarrassants (...) et mises en abyme maladroites (...), Full frontal est une longue private joke qui tente de faire passer son incohérence pour de l'expérimentation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Muni d'une caméra traditionnelle et d'une DV, une version personnalisée par ses soins du Dogme de Lars von Trier sous le bras, Soderbergh a jeté ses acteurs dans le grand bain d'un scénario confus qui pousse si loin la mise en abyme (il y a un film dans le film dans le film!) qu'on finit par décrocher.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
D'insipides tranches de vie hollywoodiennes. Coup de fatigue pour Soderbergh ? C'est formellement indigent, souvent verbeux et étayé d'une ironie insupportable en guise d'alibi. Une caricature de ciné indé qui réveillerait pour un peu une faim de blockbuster. Une chose, malgré tout, nous retient de fuir : la mystérieuse Catherine Keener, belle à se damner, d'une classe absolument ravageuse. Sa simple silhouette, sa manière fluide de porter l'habit, d'en faire un personnage, est un pur ravissement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
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L'Humanité
"Full Frontal" confirme surtout l'originalité de Soderbegh, son envie d'explorer d'autres formes de cinéma à l'heure où les craintes de voir le septième art totalement s'uniformiser refont surface, il est rafraîchissant et vivifiant qu'un tel cinéaste ose encore s'éloigner des sentiers balisés. Rien que pour cela, Full Frontal vaut le détour.
Le Figaroscope
(...) une amusante galerie de portraits made in Hollywood, malgré une intrigue un peu décousur sur Hollywood.
Le Monde
Rigoureusement construit et merveilleusement interprété, Full Frontal est sans doute son All about Eve. L'on attend maintenant le film où s'épanouira le mélange de lyrisme, d'amertume et d'ironie qui rend l'unique scène où apparaît Gus, le personnage de David Duchovny, si frappante... Une Comtesse aux pieds nus, somme toute.
MCinéma.com
Ceux qui seront décontenancés par l'agencement saugrenu de l'ensemble pourront se consoler avec quelques scènes d'anthologie, plutôt cocasses, comme celle du massage de David Duchovny, le monologue de Blair Underwood sur la condition des acteurs noirs ou la séquence du "space brownie".
Ouirock.com
Il ne manque qu'une chose à toutes ces vies singulières : une petite dose de tonus et d'énergie pour les rendre plus passionnantes et surtout plus percutantes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Tourné en dix-huit jours, en DV et avec un petit budget, le nouveau film de Soderbergh joue ainsi à brouiller les cartes en surfant sur différents niveaux de récit. une exploration des moeurs plaisante.
Cine Libre
Retour au film expérimental pour Steven Soderbergh. Un puzzle déconcertant et pas tant décapant.
Libération
L'art du montage de Soderbergh sauve à peu près l'ensemble de la vanité et fait de Full Frontal une curiosité sur les états d'âme d'une poignée de nantis.
Aden
Tout le monde a l'air très content. Sauf nous. Vu de la salle de cinéma, avec de pauvres yeux de spectateur tout simple, qu'est ce qu'on voit ? Rien. Ben oui : Full Frontall est quasiment inregardable et incompréhensible.
Cahiers du Cinéma
Un tel film ne propose rien d'autre que du vent, mais avec la manière.
Chronic'art.com
Un seul moment de Full frontal donne la mesure de ce qu'aurait pu être ce long métrage : celui au cours duquel Julia Roberts et son partenaire ne savent plus si la caméra tourne encore et qu'ils sont entre deux "états". Soderbergh aurait pu fonder un film entier sur cette position vertigineuse, il a hélas préféré la diluer dans une somme de bavardages artificiels auxquels le gros grain du numérique ne parvient même pas à donner le goût du réel.
Ciné Live
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Le Parisien
Le thème semble excitant, mais cet ensemble de sketchs un peu expérimental s'avère déroutant, voire ennuyeux. Une erreur de parcours que les inconditionnels de Soderbergh lui pardonneront.
Le Point
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Les Inrockuptibles
Vu de loin, c'est un Short Cuts du pauvre. Bref, des chichis, de l'image grunge, décadrée, défilmée, désaturée, des jump-cuts en veux-tu en voilà, du manièrisme sur du manièrisme. On préfère les chiens-chiens hollywoodiens qui font leurs besoins dans leur caisse plutôt qu'à côté.
Première
(...) Full frontal est aussi stimulant qu'un reportage people.
Première
Après une série de gros films réussis et très rentables, on comprend que Steven Soderbergh ait eu besoin de vacances. Sympas, ses potes, de Brad Pitt à Julia Roberts en passant par David Fincher, sont passés dire bonjour. Moins sympa, Steven s'est dit qu'il allait sortir son film de vacances au cinéma. (...) Entre clins d'oeil embarrassants (...) et mises en abyme maladroites (...), Full frontal est une longue private joke qui tente de faire passer son incohérence pour de l'expérimentation.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Muni d'une caméra traditionnelle et d'une DV, une version personnalisée par ses soins du Dogme de Lars von Trier sous le bras, Soderbergh a jeté ses acteurs dans le grand bain d'un scénario confus qui pousse si loin la mise en abyme (il y a un film dans le film dans le film!) qu'on finit par décrocher.
Télérama
D'insipides tranches de vie hollywoodiennes. Coup de fatigue pour Soderbergh ? C'est formellement indigent, souvent verbeux et étayé d'une ironie insupportable en guise d'alibi. Une caricature de ciné indé qui réveillerait pour un peu une faim de blockbuster. Une chose, malgré tout, nous retient de fuir : la mystérieuse Catherine Keener, belle à se damner, d'une classe absolument ravageuse. Sa simple silhouette, sa manière fluide de porter l'habit, d'en faire un personnage, est un pur ravissement.