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Votre avis sur Tête à claques ?
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L'existence d'Alex, oisive, va prendre un tour plus animé lorsque ce chômeur complaisant et père de famille fait la rencontre d'une fantasque et importune jeune femme, riche héritière qui s'ennuie.
On peut s'étonner qu'un acteur-réalisateur comique, ainsi Francis Perrin, n'ait pas un vrai univers et présente si peu d'idées et de conviction. Ses dialogues sont nuls, sa mise en scène est calamiteuse et ses personnages sont rudimentaires. Son emploi à lui, en père complice et en homme excédé par les excentricités de Sandrine (Fanny Cottençon, bien plus méritante), erre même dans l'incohérence.
Le réalisateur Perrin est médiocre; l'acteur, quant à lui, est carrément mauvais, pour ne pas dire insupportable. Sa composition est puérile et son humour hors d'äge. Est-ce parce qu'il est derrière la caméra qu'il sait si mal se diriger? Pas mieux que les autres comédiens à vrai dire. Le jeune acteur qui joue son fils, à qui on a écrit des formules matures et, donc, pseudo cocasses, est aussi cabotin que Francis Perrin! Pour autant ce n'est pas lui la tête à claques dans le film...
La comédie est niaise, et davantage quand Perrin prétend y glisser du sentiment.
On peut s'étonner qu'un acteur-réalisateur comique, ainsi Francis Perrin, n'ait pas un vrai univers et présente si peu d'idées et de conviction. Ses dialogues sont nuls, sa mise en scène est calamiteuse et ses personnages sont rudimentaires. Son emploi à lui, en père complice et en homme excédé par les excentricités de Sandrine (Fanny Cottençon, bien plus méritante), erre même dans l'incohérence.
Le réalisateur Perrin est médiocre; l'acteur, quant à lui, est carrément mauvais, pour ne pas dire insupportable. Sa composition est puérile et son humour hors d'äge. Est-ce parce qu'il est derrière la caméra qu'il sait si mal se diriger? Pas mieux que les autres comédiens à vrai dire. Le jeune acteur qui joue son fils, à qui on a écrit des formules matures et, donc, pseudo cocasses, est aussi cabotin que Francis Perrin! Pour autant ce n'est pas lui la tête à claques dans le film...
La comédie est niaise, et davantage quand Perrin prétend y glisser du sentiment.
Ça commence mal avec le gosse, horripilant qui s'exprime comme un adulte et dont on comprend assez vite qu'il va être au centre de l'histoire. L'arrivée de Fanny Cottençon, talentueuse et charmante malgré le fait qu'elle soit habillée comme un sac tente de changer la donne, mais ça ne dure pas longtemps, le film tourne en rond, n'avance pas, devient d'une prévisibilité navrante et d'un intérêt très limité. De ce film raté ne restera que les présences furtives et amusantes de Jacques François et de Michelle Bernier et bien sûr le sourire de Fanny Cottençon (et aussi son téton) mais ça ne suffit pas à faire un bon film.
C'est vrai c'est vieux maintenant mais j adore la complicité du père et du fiston leur esprit de liberté auquel vient se greffer La femme. C'est amusant et léger
Yannickcinéphile
Un film que j’ai regardé pour rester dans la continuité de l’excellent Tout le monde peut se tromper avec Francis Perrin et Fanny Cottençon. Bien que les deux acteurs me soient très sympathiques, je me dois d’être objectif, et si cette comédie respire la gentillesse, elle n’est malheureusement pas terrible !
Côté acteur c’est peu critiquable. Francis Perrin est dans son élément, le personnage est taillé sur mesure pour lui, il est le réalisateur et il s’investit dans son métrage, c’est un fait. Face à lui Fanny Cottençon impose son charme, sa décontraction et son jeu fin toujours très appréciable. Entre eux des seconds rôles prometteurs ou ayant déjà fait leur preuve, à l’instar de Jacques François ou de Michèle Bernier, et le jeune Antoine Bessis très convaincant dans son rôle de « Gavroche » moderne, débrouillard et sympathique quoiqu’un peu escroc ! Franchement l’interprétation reste le bon atout du film.
L’histoire est assez décevante. Pas très fluide, le film n’est jamais très drôle et peine à vraiment décoller. Il reste tout du long sur un faux rythme, et malgré des rebondissements on a le sentiment de ne jamais voir l’histoire évoluer sensiblement et le film faire entrer son spectateur. C’est sympathique certes, c’est gentil, mais c’est certain que cela ne suffit pas à faire une comédie emballante, et même en s’appuyant sur la délicieuse Fanny Cottençon ! Quelques séquences amusantes, mais sans plus.
Formellement là encore c’est très moyen. Bon, ce n’est pas pour cela qu’on regarde ce film, mais on sent quand même un petit budget, les décors sont très limités, et la mise en scène est trop plate pour dynamiser les gags, c’est haché, à l’image de la narration en fait ! La réalisation de Perrin manque de fluidité tout comme la narration du film, dans un style qui avait essaimé dans la comédie populaire française dans les années 70 mais qui ne m’avait pas du tout convaincu ! La bande son est limitée mais la tonalité eighties séduira sans doute quelques amoureux du rétro !
Tête à claques n’a pas le niveau pour avoir la moyenne. Les acteurs sont à la hauteur et me sont éminemment sympathiques, mais le reste du film ne suit pas assez pour franchement séduire.
Côté acteur c’est peu critiquable. Francis Perrin est dans son élément, le personnage est taillé sur mesure pour lui, il est le réalisateur et il s’investit dans son métrage, c’est un fait. Face à lui Fanny Cottençon impose son charme, sa décontraction et son jeu fin toujours très appréciable. Entre eux des seconds rôles prometteurs ou ayant déjà fait leur preuve, à l’instar de Jacques François ou de Michèle Bernier, et le jeune Antoine Bessis très convaincant dans son rôle de « Gavroche » moderne, débrouillard et sympathique quoiqu’un peu escroc ! Franchement l’interprétation reste le bon atout du film.
L’histoire est assez décevante. Pas très fluide, le film n’est jamais très drôle et peine à vraiment décoller. Il reste tout du long sur un faux rythme, et malgré des rebondissements on a le sentiment de ne jamais voir l’histoire évoluer sensiblement et le film faire entrer son spectateur. C’est sympathique certes, c’est gentil, mais c’est certain que cela ne suffit pas à faire une comédie emballante, et même en s’appuyant sur la délicieuse Fanny Cottençon ! Quelques séquences amusantes, mais sans plus.
Formellement là encore c’est très moyen. Bon, ce n’est pas pour cela qu’on regarde ce film, mais on sent quand même un petit budget, les décors sont très limités, et la mise en scène est trop plate pour dynamiser les gags, c’est haché, à l’image de la narration en fait ! La réalisation de Perrin manque de fluidité tout comme la narration du film, dans un style qui avait essaimé dans la comédie populaire française dans les années 70 mais qui ne m’avait pas du tout convaincu ! La bande son est limitée mais la tonalité eighties séduira sans doute quelques amoureux du rétro !
Tête à claques n’a pas le niveau pour avoir la moyenne. Les acteurs sont à la hauteur et me sont éminemment sympathiques, mais le reste du film ne suit pas assez pour franchement séduire.
Tout cela date un peu bien sûr et paraît suranné, mais c'est tellement original, décalé, drôle et tendre à la fois. Il faut dire que le duo Francis Perrin et Fanny Cottençon est au top et que le jeune Antoine Bessis s'en sort vraiment très bien.
gabdias
Premier des 3 films réalisés par Francis Perrin, ça a très mal vieilli, c'est très naïf, les costumes et la musique très eighties en vqlent presque le détour, le scénario est minimaliste mais le duo Perrin en rebus de François Pignon s'en sort avec sympathie. Petit film d'été à boire avec un rosé bien frais.
La moins bonne des trois comèdies rèalisèe par Francis Perrin (un film autrement plus important l'attendait en 1984 avec "Le joli coeur") qui campe un double personnage de taxi et d'auteur de chansons sans èditeur! Un jour, il apporte dans un commissariat un sac oubliè par une cliente, et se retrouve menottes aux mains! La cliente en question est une certaine Fanny Cottençon qui va de catastrophes en catastrophes et dont on se souvient encore aujourd'hui de son pull en laine jaune et bleu qu'elle porte durant la moitiè du film! Une comèdie prètexte pour Perrin à tenir les rôles de « neu-neu » sympathique et attachant qui veut divorcer de sa future femme, qui veut la garde de son enfant et qui ne mâche pas ses mots pour la jolie Cottençon : « T'es une martienne, t'es un trou noir, t'es de l'anti-matière...t'es une vraie tête à claques !!! » Avec la participation de Jacques François et de Maurice Baquet en voisin rigolo! C'est amusant, sans plus, pour un premier long-mètrage! On notera ègalement une musique typique des 80's qui vaut encore le dètour...
Tête à claques est une comédie plutôt médiocre de Francis Perrin. La mise en scène du réalisateur reste classique, les acteurs comme Francis Perrin, Fanny Cottençon ou encore Antoine Bessis sont corrects mais pas exceptionnels, l’humour en fonctionne pas à tous les coups et le film ne m’a pas vraiment intéressé.
Prenons un père divorcé Alex Berthier (Francis Perrin) chômeur, parolier de chansons sans génie (Il en est conscient cest déjà ça) qui soccupe comme il le peut de son jeune fils indulgent et coopératif devant les galères de son papa.
Ajoutons une jeune fille de bonne famille Sandrine Crispin Vautier (Fanny Cottencon) maladroite étouffant dans un milieu coincé qui se défoule par ses excès dans la vie courante, nous sommes au début des années 80, lenvironnement social nest pas encourageant cest la crise, pas de boulot, famille désagrégée, ça rame dur pour Alex qui néanmoins a un moral dacier grâce à son gamin compréhensif qui accepte avec le sourire tous les désagréments.
Malgré cette petite présentation pessimiste, tête à claques est un film très drôle, dans un contexte de récession économique, les personnages sont déboussolés tout en restant constructifs. Ils saccrochent malgré eux par leurs extravagances à un objectif simple, sen sortir et construire une famille malgré les différences et le goût de lindépendance.
Bruno (Antoine Bessis) seul élément structuré du groupe le démontre constamment en rapprochant Alex et Sandrine quil considère comme sa nouvelle maman.
Quel bonheur de revoir également Maurice Bacquet disparu dernièrement dans le rôle du voisin dont le petit déjeuner est pillé en son absence par Alex affamé.
Les répliques sont amusantes : La grand-mère dévisage Bruno et lui dit, Tu nas pas bonne mine ? Bruno répond avec le sourire : Cest bizarre, pourtant je mange pratiquement tous les jours.
Ou encore celle-ci : le commissaire (excellent Marc Dudicourt) sadressant à Alex prisonnier capricieux: Monsieur Berthier, cela fait deux mois que vous purgez une peine de quinze jours.
Tête à claques mérite lappellation de comédie néo réaliste à la française. Dans un contexte social plutôt préoccupant létincelle de vie est dominante.
Ajoutons une jeune fille de bonne famille Sandrine Crispin Vautier (Fanny Cottencon) maladroite étouffant dans un milieu coincé qui se défoule par ses excès dans la vie courante, nous sommes au début des années 80, lenvironnement social nest pas encourageant cest la crise, pas de boulot, famille désagrégée, ça rame dur pour Alex qui néanmoins a un moral dacier grâce à son gamin compréhensif qui accepte avec le sourire tous les désagréments.
Malgré cette petite présentation pessimiste, tête à claques est un film très drôle, dans un contexte de récession économique, les personnages sont déboussolés tout en restant constructifs. Ils saccrochent malgré eux par leurs extravagances à un objectif simple, sen sortir et construire une famille malgré les différences et le goût de lindépendance.
Bruno (Antoine Bessis) seul élément structuré du groupe le démontre constamment en rapprochant Alex et Sandrine quil considère comme sa nouvelle maman.
Quel bonheur de revoir également Maurice Bacquet disparu dernièrement dans le rôle du voisin dont le petit déjeuner est pillé en son absence par Alex affamé.
Les répliques sont amusantes : La grand-mère dévisage Bruno et lui dit, Tu nas pas bonne mine ? Bruno répond avec le sourire : Cest bizarre, pourtant je mange pratiquement tous les jours.
Ou encore celle-ci : le commissaire (excellent Marc Dudicourt) sadressant à Alex prisonnier capricieux: Monsieur Berthier, cela fait deux mois que vous purgez une peine de quinze jours.
Tête à claques mérite lappellation de comédie néo réaliste à la française. Dans un contexte social plutôt préoccupant létincelle de vie est dominante.
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