Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Sous une forme déconcertante, ce film sri-lankais dresse le portrait attendri d'une société malade.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
On n'avait pas vu, depuis l'Antigone des Straub, une telle force d'opposition et de refus dans le seul fait de se tenir debout, d'imposer sa présence comme dernier rempart.
Cine Libre
par Jean-Max Méjean
Après toutes ces précautions oratoires, allez voir This is my moon en connaissance de cause. En cinéphile qui ne veut rien laisser passer de ce qui se fait en matière de cinéma actuel. Film austère à la musique lancinante, déclinant un thème nostalgique à la manière d'un Ennio Morricone shooté au sitar et aux tablas et autres sonorités languides, il aligne des plans américains fixes, sans peu de champ-contrechamps, à la manière statique d'un Sergio Leone.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le Monde
par Thomas Sotinel
Là où souvent le cinéma "émergent" s'arrête au conflit entre modernité et tradition, Handagama s'avance jusqu'aux secrets intimes qui se cachent derrière ces codes, pour arriver jusqu'au malaise, développant un contrepoint troublant au message pacifiste parfaitement clair qui constitue le thème le plus évident de This Is My Moon.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Antoine De Baecque
Si l'on ne comprend pas toutes ces subtilités, on voit du moins, cent minutes durant, s'inventer un cinéma qui ose des images taboues sous nos latitudes, fouille des contrastes de rythmes et de genres que l'on interdirait dans nos écoles, le comique et la contemplation, le gag et le regard.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Maints critiques n'ont pas manqué de s'extasier sur cet étrange objet. Difficile cependant de partager leur emballement pour ce rébus synthétique, auquel manque le sens de la durée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Asoka Handagama est aussi metteur en scène de théâtre et il ne s'est peut-être pas affranchi de cette influence qui étouffe un peu son film. Reste une ambition rare, qu'on aura envie de soutenir.
Zurban
par Eric Quéméré
Interprétation et angles de prises de vues sont teintés de théâtralité, tandis que le scénario privilégie les ellipses et un humour flirtant avec l'absurde. En résulte un film étrange, aux accents féministes et anti-religieux. Dommage qu'il soit difficile d'en percer le mystère.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Nicolas Schaller
Difficile pour un public occidental de se laisser captiver par les moeurs particulières de ces autochtones, que la mise en scène, primitive et statique, n'aide pas à expliciter.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
On ne demanderait qu'à s'y intéresser, au demeurant. Mais ce ne semble pas être le problème du metteur en scène. On reste donc devant son film comme face à une porte close. Sans clé pour l'ouvrir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Sous une forme déconcertante, ce film sri-lankais dresse le portrait attendri d'une société malade.
Cahiers du Cinéma
On n'avait pas vu, depuis l'Antigone des Straub, une telle force d'opposition et de refus dans le seul fait de se tenir debout, d'imposer sa présence comme dernier rempart.
Cine Libre
Après toutes ces précautions oratoires, allez voir This is my moon en connaissance de cause. En cinéphile qui ne veut rien laisser passer de ce qui se fait en matière de cinéma actuel. Film austère à la musique lancinante, déclinant un thème nostalgique à la manière d'un Ennio Morricone shooté au sitar et aux tablas et autres sonorités languides, il aligne des plans américains fixes, sans peu de champ-contrechamps, à la manière statique d'un Sergio Leone.
Le Monde
Là où souvent le cinéma "émergent" s'arrête au conflit entre modernité et tradition, Handagama s'avance jusqu'aux secrets intimes qui se cachent derrière ces codes, pour arriver jusqu'au malaise, développant un contrepoint troublant au message pacifiste parfaitement clair qui constitue le thème le plus évident de This Is My Moon.
Libération
Si l'on ne comprend pas toutes ces subtilités, on voit du moins, cent minutes durant, s'inventer un cinéma qui ose des images taboues sous nos latitudes, fouille des contrastes de rythmes et de genres que l'on interdirait dans nos écoles, le comique et la contemplation, le gag et le regard.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Humanité
Maints critiques n'ont pas manqué de s'extasier sur cet étrange objet. Difficile cependant de partager leur emballement pour ce rébus synthétique, auquel manque le sens de la durée.
MCinéma.com
Asoka Handagama est aussi metteur en scène de théâtre et il ne s'est peut-être pas affranchi de cette influence qui étouffe un peu son film. Reste une ambition rare, qu'on aura envie de soutenir.
Zurban
Interprétation et angles de prises de vues sont teintés de théâtralité, tandis que le scénario privilégie les ellipses et un humour flirtant avec l'absurde. En résulte un film étrange, aux accents féministes et anti-religieux. Dommage qu'il soit difficile d'en percer le mystère.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Difficile pour un public occidental de se laisser captiver par les moeurs particulières de ces autochtones, que la mise en scène, primitive et statique, n'aide pas à expliciter.
Télérama
On ne demanderait qu'à s'y intéresser, au demeurant. Mais ce ne semble pas être le problème du metteur en scène. On reste donc devant son film comme face à une porte close. Sans clé pour l'ouvrir.