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GyzmoCA
176 abonnés
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3,5
Publiée le 6 septembre 2020
Quatrième aventure de l inspecteur de San Francisco , roi du magnum 44, ce film est le premier réalisé par Clint Eastwood dans la série Dirty Harry. Normal après un troisième épisode décevant. On sent que l'on est sur la fin de la série, le ton est plus mélancolique montrant les dernières heures de l’inspecteur dans un monde qu'il ne reconnaît plus . Il garde toujours son ton sec et dur, avec un peu plus d'humour que d'habitude.
L intrigue est plus recherchée que dans les premiers , où les méchants de l histoire étaient des voyous . Là on est face à une femme intelligente qui entreprend une vengeance contre ses violeurs. L inspecteur doit commencer son enquête en défendant les agresseurs .
Plusieurs petites histoires secondaires sont présentes dans ce film. Elle n apporte rien à l’intrigue si ce n’est pour mettre de l action ou des fusillades afin de plaire au plus grand nombre. Dommage .
Sur la dernière demi heure , quand Harry continue son enquête dans un bled paumé à l écart de San Francisco, le scénario se concentre sur l’intrigue principale et le suspense s'en ressent. L'intérêt augmente.
Le film reste correct dans le genre policier thriller des années 80, il n'arrive pas à ce distinguer dans le marasme des productions de divertissement.
Le pied total ! C'est sans nul doute le meilleur de la série avec le premier film. Sondra Locke est magnifique dedans et Clint déchire toujours autant. Un vrai régal !
"Écoute, pouilleux, pour moi tu n'es qu'une merde de chien étalée sur un trottoir et tu sais ce qu'on fait d'une merde de ce genre ? On peut la ramasser soigneusement avec une pelle, on peut laisser le vent et la pluie la balayer ou alors on peut l'écraser. Alors, si tu veux un conseil d'ami, choisis bien l'endroit où on te chiera". Première réplique d'Eastwood dans le film et qui annonce aussi ce que va être ce quatrième volet dans sa première heure : une véritable ode au style Callahan. Il faut le voir pour y croire : pendant une heure, ce n'est que ça : Callahan balance de la punchline à tours de bras, dessoude à lui seul des équipes complètes de crapules et sème le boxon sur son chemin. Sans oublie quelques pointes d'humour, certes pas raffinées pour un sou, mais qui font du bien par où elles passent. L'intrigue n'est, pour ainsi dire, jamais traitée. Mais peu importe. Mais, peu importe, le spectacle est assuré. Passée, on commence à s'intéresser vraiment à l'intrigue. Et là, pour ma part, c'est à partir de ce moment que je décroche un peu. Non pas que ce soit nul. Mais c'est vraiment bateau. Et parfois, ça manque d'un peu de rythme. Autre problème : Sondra Locke. Dans ce rôle de femme vengeresse, elle est aussi crédible que ne le serait Dwayne Johnson en danseur du ballet du Bolchoï. Beaucoup de seconds rôles jouent comme des savates. En fait, le film aurait vraiment gagné à rester sur la durée, ce qu'il était dans sa première heure. Parce que, on peut dire ce qu'on veut, voir Eastwood jouer du flingue comme il le fait, tout en envoyant des vacheries autant que faire se peut, ça n'a pas de prix. C'est toujours un régal. Ce quatrième volet est souvent comme étant le meilleur de la saga. Je ne suis pas d'accord. Mais, je suis d'accord pour dire que c'est incontestablement le plus sombre. Et puis, c'est le genre de films que l'on oserait plus faire de nos jours, car si on éprouve de la compassion pour une femme violée (Callahan s'asseyant, pour une fois, sur ses principes), on ne se prive pas pour cogner et du gonze et de la gonzesse.
Le plus sombre et violent des quatre Inspecteurs Harry sortis jusqu'en 1983. Je comprends l'interdiction aux moins de 12 ans. Mais tout cela n'est pas un reproche, ni pour me déplaire, c'est vraiment l'inspecteur "Harry la poisse" pour lui et ses amis... sauf que lui s'en sort, car il est inarrêtable.
Quatrième opus de la série des Harry Callahan, « Sudden impact » montre de façon évidente que les temps ont changé pour Clint Eastwood. Niché au milieu d’un ensemble de films (notamment des comédies) qui n’ont pas emballé la critique et qui ont parfois rendu sceptiques ses fans, il revient dans la peau du célèbre lieutenant pour balancer à la figure de tout le monde son savoir-faire et son envie de raconter de nouvelles choses dans son cinéma. Si le scénario est suffisamment astucieux pour imbriquer ces deux intentions, ce qui frappe ici c’est l’effort déployé pour trouver une unité entre les deux. D’un côté, on a un Clint presque parodique qui demande en murmurant « Vous voulez du Callahan ? Je vais vous en donner, c’est facile » et qui aligne les punchlines et les morceaux de bravoure. De l’autre, on a le sujet de cet opus, noir et poisseux, très éloigné de l’univers des Callahan, avec un tueur au portrait fouillé dont les motivations sont sans cesse justifiées. Plutôt féministe avec une conclusion qui ne cadre pas avec les méthodes de Callahan même si le déroulement de l’intrigue est suffisamment adroit pour donner cette illusion, Eastwood se sert de son personnage fétiche pour aborder un virage. Tout son art réside ici à maintenir un équilibre jamais bancal à une entreprise hautement casse-gueule. Grâce, notamment, à une réalisation au cordeau (même si certains plans sont très proches du pastiche) n’hésitant pas à reprendre des plans à la Don Siegel et à convier un univers parfois à la Hitchcock, il donne une véritable ambition psychologique (voire psychanalytique) à une saga qui ne s’était jamais embarrassée d’un tel effort. Entre polar sombre, humour cinglant ou potache, mythification appuyée de son personnage, action, peinture psychologique, critique d’une société où les puissants protègent par intérêt les crapules, message féministe, Clint Eastwood propose un film riche qui a le pouvoir de toucher un très large public. L’ensemble est donc forcément quelque peu hétérogène mais il faut être quand même sacrément doué pour maîtriser tout ça.
" Le retour de l’inspecteur Harry " quatrième volet de la saga de " L’inspecteur Harry " .
Jennifer Spencer ( Sondra Locke ) , une femme violée dans sa jeunesse à San Paulo par une bande de brutes , décide de retrouver chacun de ses agresseurs et de les tuer les uns après les autres pour se venger . Les Supérieurs de L’inspecteur Harry ( Clint Eastwood ) qui ne supportent plus de le voir ne pas respecter les règles décident alors de l’envoyé très loin de San Francisco à San Paulo pour enquêter sur ses meurtres ...
Après le succès des trois précédents opus ( " L’inspecteur Harry " , " Magnum Force " et " L’inspecteur ne renonce jamais " ) sortit entre 1972 et 1977 les producteurs continuèrent d’exploiter la franchise pour surfer sur ses succès en lançant ce quatrième volet en 1984 . Bon alors que vaut ce quatrième opus de la saga de " L’inspecteur Harry " ? Et ben que cette un bonne épisode . Sûrement l’un des meilleurs films de la saga . L’histoire du film est prenante avec cette femme violée qui va vouloir se faire justice elle même en exécutant tout ceux qui l’on agresser dans sa jeunesse et qui n’on pas été condamnés . L’inspecteur Harry va alors enquêter sur ses meurtres avec toujours ses méthodes brutales et expéditifs ce qui va donner lieu à son lot de violence , de suspense , de tension , d’action et d’humour noir . On retrouve donc comme pour les précédents épisodes tout les ingrédients ( violence , suspense , tension , action , humour noir ) qui ont fait le succès de la saga jusqu’à la qui fonctionne toujours très bien aux travers de quelques séquences mémorables
spoiler: ( les exécutions des violeurs par Jennifer , le combat dans le café , L’attaque de la voiture de Harry qui prend feu , le finale dans le parc d’attractions... )
. L’histoire est prenante car ce coup ci Harry n’a pas affaire à un meurtrier comme les autres vu qu’il s’agit d’une femme qui agit par vengeance après avoir subit des choses atroces . Et on se demande bien comment Harry va réagir quand il va découvrir que cette une femme violée qui a commit tout ses meurtres et qu’elle a exécuté des personnes qui méritaient de mourir qui lui ont fait subir des choses atroces . Va t’il l’arrêter ou être clément ? Telle est la question qu’on se pose tout le long du film . Surtout connaissant la personnalité de Harry qui ne supporte pas que des criminels comme ça soit en liberté à cause des failles du système et qui fait souvent justice lui même a sa façon mais en allant pas non plus jusqu’au meurtre . Cette épisode est sûrement l’épisode le plus sombre de la saga car il contient des séquences assez dur et violente
spoiler: ( les scènes de viols , l’exécution des violeurs par Jennifer ...)
. Il tranche vraiment avec l’ambiance du film précédent qui était beaucoup plus légère . Tout ceux qui avait été déçu par le ton un peu trop léger et humoristique de l’opus précédent vont être content de retrouver un épisode beaucoup plus sombre et violent qui est plus dans l’esprit des premiers volets . C’est Clint Eastwood lui même qui c’est charger de la réalisation de ce quatrième volet et on peut dire qu’on y gagne vraiment car il a réalisé ce film de main de maître en insufflant à cette épisode une superbe ambiance sombre , froide notamment en jouant avec les effets d’ombre et de lumière ce qui accentue le suspense et la tension et qui nous offrent de superbes plans comme
spoiler: la scène sur le manège ou encore l’arrivée de Harry au parc d’attraction face aux violeurs avec son magnum à la main où l’on ne voit que son ombre dans la pénombre . Vraiment stylée cette scène
. Le casting est super avec Clint Eastwood qui est toujours au top dans son rôle de l’inspecteur Harry qu’il lui va toujours comme un gant et qu’il interprète toujours à merveille avec toujours ses méthodes aussi brutales et expéditifs pour arrêter les criminels . Il a toujours son humour qui lui va à ravir avec ses répliques toujours aussi cinglantes et drôle que ce soit quand il envoit bouler ses supérieurs qui ne sont pas d’accord avec ses méthodes ou quand il arrête des délinquants ou autres criminels qui ne veulent pas coopérer dont certaines sont devenue cultes ( " Tu me fera plaisir " ) . Pour sa nouvelle mission il va donc enquêter ce coup ci sur une série de meurtres perpétré par une femme violée qui a décidé de se venger très bien interpréter par l’actrice Sondra Locke . Elle incarne parfaitement cette femme violée détruite psychologiquement par ce qu’elle a subit et qui est en quête de vengeance .
Pour résumer " Le retour de l’inspecteur Harry " est un quatrième opus réussit de la saga de " L’inspecteur Harry " prenant du début à la fin qui rencontra d’ailleurs un gros succès à sa sortie ( le plus gros succès commercial de la franchise ) .
Justice Pour Tous Le quatrième épisode, réalisé par Clint Eastwood lui-même (ce qui en fait le seul “Inspecteur Harry” à être réalisé par Eastwood lui-même), raconte l'histoire d'une victime de viol collectif qui décide de se venger des violeurs dix ans après l'attaque. Une fois encore, le film rappelle que dans une société civilisée, les droits des victimes priment sur les privilèges des agresseurs. Surtout lorsque des crimes aussi pervers, atroces et violemment gratuits sont commis contre des enfants et/ou des femmes !! Quatrième chef-d’œuvre d’affilée ; peu de sagas cinématographiques atteignent un tel niveau de perfection. Félicitations à M. Eastwood et à toutes les équipes impliquées dans la réalisation de la Saga de l’Inspecteur Harry.
Encore une fois Harry revient et c est réussi. Cette histoire de vengeance est très bien mené et en plus c est Clint Eastwood lui même qui réalise. Un bon moment de suspens avec des répliques devenues cultes .
Ce quatrième et avant dernier épisode de la saga Dirty Harry, le seul mis en scène par Clint Eastwood lui-même à partir d'un scénario initialement écrit par Charles B. Pierce pour Sondra Locke et remanié par Joseph Stinton afin d'y inclure le personnage d'Harry, ne déroge en rien aux règles édictées par Don Siegel dès 1971. L'inspecteur Callahan agit toujours selon son bon vouloir en fonction de l'idée très particulière qu'il se fait d'une justice équitable mais aussi sommaire et expéditive, évitant selon ses dires de dépenser inutilement les deniers de l'Etat en frais de procès superflus. Le scénario prend le temps à travers plusieurs scènes explicites de rappeler au spectateur le caractère entier de Callahan qui a fait jusqu'alors son succès et sa réputation. "L'inspecteur ne renonce jamais" (James Fargo en 1976) remontant à sept ans, le réalisateur/producteur avisé qu'est Eastwood a sans doute jugé utile de solidement replanter le décor. La démonstration est certes explicite mais tout de même brossée à gros traits. L'inspecteur bougon a tellement mis le feu dans son secteur que l'on comprend aisément l'envie de sa hiérarchie de l'envoyer se ressourcer quelques temps en province où un crime plutôt inhabituel s'est produit. A peine la présence de Jennifer Spencer (Sondra Locke, la compagne d'Eastwood à la ville,) une artiste locale va t'elle commencer à humaniser un Callahan à cran qu'aussitôt les ploucs locaux vont faire des leurs pour l'agacer à nouveau. La suite plutôt cousue de fil blanc et sans guère de nuances reste digeste grâce au charisme d'Eastwood toujours aussi opérant et aux "tronches" impayables des méchants mais l'on doit reconnaitre avec le recul que hormis le premier opus réalisé par le grand Don Siegel, le personnage de Callahan n'est pas celui où le talent de l'acteur s'exprime le mieux que ce soit devant ou derrière la caméra.
Suite à un sondage concernant les héros que le public aimerait voir revenir à l’écran (publié à l’occasion de la sortie de Jamais plus jamais), il est apparu évident que les spectateurs voulaient en masse retrouver Harry Callahan au cinéma. C’est ainsi grâce à un sondage que l’on doit le retour de Clint Eastwood dans son rôle fétiche. Mais cette fois, il ne se contente pas d’interpréter le film mais également de le réaliser. Avec Eastwood derrière la caméra, il n’est donc pas étonnant d’assister à l’aventure où l'ambiguïté est la plus importante. En effet, cet épisode (qui est une réécriture d’un scénario ne contenant pas à la base l’inspecteur Harry et qui était uniquement adressé à Sondra Locke) possède une morale très trouble où la frontière entre le bien et le mal n’est plus clairement définie.spoiler: Ainsi, pour la seule fois de ses aventures cinématographiques, Harry Callahan (tout comme le spectateur) éprouvera de la compréhension pour la responsable de la série de meurtres sur lesquels il enquête (elle se venge du viol resté impuni qu’un groupe a fait subir à elle et sa sœur, devenue suite à cela totalement mutique) et ira même jusqu’à la relâcher.De même, il crée une narration un peu différente en laissant une plus grande place à à la psychologie de ce personnage de vengeresse (qui marque la dernière apparition de Sondra Locke dans le cinéma d’Eastwood) en nous faisant rentrer dans ses pensées par l’intermédiaire de flashbacks.
Eastwood s’amuse à brouiller les pistes tout au long du film. Ainsi, si dans les précédents films, c’était Harry qui courait après les criminels, c’est lui qui est désormais pourchassé aussispoiler: : il a causé la crise cardiaque (plus besoin de.44 Magnum, des menaces suffisent) d’un chef mafieux et les hommes de celui-ci cherchent à le venger . Harry semble ainsi pouvoir mourir à tout instantspoiler: (il est même présenté, après avoir été laissé pour mort comme une espèce d’ange de la vengeance dans un plan en contre-jour, réutilisant la thématique de L’Homme des hautes plaines et que l’on retrouvera peu après dans Pale Rider, Le Cavalier solitaire) . C’est aussi en se référant aux précédents épisodes qu’Eastwood brouille les pistes.spoiler: Il s’amuse à présenter le personnage interprété par Albert Popwell comme un homme voulant tuer Harry alors qu’il est en fait un ami de l’inspecteur : le réalisateur se joue du spectateur se souvenant que Popwell a joué des criminels (à chaque fois, des rôles différents) dans les précédents volets. De même, il s’amuse à créer le trouble chez le spectateur en donnant le nom de Briggs (comme le lieutenant se révélant être un traître dans Magnum Force) et non plus de McKay au capitaine joué par Bradford Dillman. Malgré une esthétique différente (nous sommes passés des années 70 aux années 80), une atmosphère plus psychologique et trouble et un Clint Eastwood plus marqué par les années, le film n’oublie pas pour autant les scènes d’actionspoiler: offrant même une des plus célèbres avec celle du braquage de la cafétéria avec les célèbres répliques "Smith, Wesson and me" ("Smith, Wesson et moi" en V.F.) et surtout "Go ahead ! Make my day !" ("Vas-y ! Allez ! Fais-moi plaisir !") . Pour ce qui est de l’ambiance musicale, suite au décès de Jerry Fielding, Lalo Schifrin est de retour à la baguette et offre une bande originale accentuant l’atmosphère trouble de l’ensemble et, à l’image de beaucoup de film des années 80, possédant une chanson (qui peut un faire penser à un James Bond) à la fin. Grâce à tous ces éléments, Le Retour de l’inspecteur Harry (plus connu sous son titre original : Sudden Impact) se révèle être une des meilleurs aventures du célèbre policier de San Francisco (ici expatrié suite aux multiples dégâts causées par sa justice expéditive). Dès l’année suivante, Eastwood persistera dans la veine du polar trouble avec l’excellent film officiellement non réalisé par lui : La Corde raide.
Curieusement cette enquête de l’inspecteur Harry qui a été qualifié d’inspecteur réac est un des films les plus réussis de la franchise et en même temps un de ceux les plus moralement douteux. Ceci grâce à un Clint Eastwood fondu dans le rôle, un rythme bien maitrisé quand d’autres films de la série semblaient naviguer à vue. Dommage cependant que les voyous soient pour certains trop caricaturaux et rendent le film trop binaire. Mais cela reste un divertissement correct avec un personnage d’assassin intéressant et un Dirty Harry qui retrouve de la vigueur.
ce film la est plus violent voir plus sanglant oui oui c'est possible dans la saga Harry. Les supérieur de Harry sont vraiment bête de empêcher Harr d'utiliser sa méthode. quesce que sa peux faire du moment que c'est efficace ? Ce film très bien réaliser par clint Eastwood. Et pour une fois Harry ce trouve opposer à une femme et sa c'est cool
"Le retour de l’inspecteur Harry" est l'occasion pour Clint Eastwood d'endosser pour la quatrième fois le costume de l'inspecteur Harry, un quatrième opus particulier puisqu'il est réalisé par Clint Eastwood lui meme. De cette saga je n'ai vu que le premier film qui m'avait beaucoup déçu mais je dois dire que ce n'est rien à coté de la catastrophe qu'est ce film. Une nouvelle fois le scénario brille par son absence totale de cohérence. Le film abuse de facilités scénaristiques pour tenter de poursuivre son intrigue et manque cruellement de réalisme. Au delà de ça le film est mou et meme les séquences d'action ne sont pas convaincantes tant elle manque de rythme et d'inventivité. Mais ce qui rend ce film vraiment insupportable, c'est l'idéologie réac à vomir qu'il transmet. C'es le niveau zéro de réflexion, une idéologie simpliste qui ne s'embarrasse d'aucune nuance. Je me demande comment un auteur tel que Clint Eastwood capable d’être aussi fin et juste dans "Million dollar baby" ou "Gran Torino", peut livrer un film aussi mauvais et abject, j'avoue que ça me dépasse.