Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le premier film inédit en salle, du grand Thaïlandais : un documentaire brut mais portant en germe les fictions à venir.
Critikat.com
par Marie Gueden
Dès ce premier film, Weerasethakul nous donne à appréhender comment le cinéma est cet objet flottant, mystérieux, oscillant entre le documentaire et la fiction, intermédiaire comme l’est le mitan de la journée, et apparaissant précisément dans ce mitan.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Fable bizarre, naturellement, où, comme dans les derniers films du cinéaste, la fiction naît de simples suggestions. Weerasethakul n’hésite jamais à fabuler dans un contexte purement documentaire. De sorte qu’on a à la fois un panorama de la vie thaïlandaise ordinaire (commerces, écoles, transports), et une rêverie poético-fantastique typique de ce magicien du réel.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Sous la forme hybride du documentaire rehaussé par les charmes de la légende populaire et de la fiction la plus enfantine, le film multiplie les embardées formelles, tout à sa joie de pouvoir pleinement faire confiance à l'art qui le gouverne.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C'est (...) le mouvement global du film qui compte, la manière dont il imbrique des réalités très différentes, le patchwork poétique qui le constitue, les associations mentales qui relient tant les plans que les niveaux de narration.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Dans son premier film inédit, Weerasethakul propose à ses compatriotes de raconter un récit et de le mettre en images. Ce début prometteur brouille déjà les frontières entre fiction et documentaire, rêve et réalité.
Libération
par Clément Ghys
Ce qui étonne le plus, c’est la douceur avec laquelle le cinéaste filme les visages - ainsi que l’impression d’étrangeté face à son univers, qui se déploie en des contrées éloignées, mais n’en paraît pourtant pas moins proche en tous points.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
Le dispositif est ludique, l'avancée du conte - si décousi soit-il - donne une cohérence à l'itinéraire, et un superbe noir et blanc nous plonge dans la réalité sociale d'un pays en crise.
Télérama
par Louis Guichard
De ce voyage en Thaïlande profonde, sur fond de croyances animistes, on retient la malice subtile. Et la douceur exceptionnelle du regard que le cinéaste pose sur tous ceux qu'il filme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Weerasethakul convoque l’oralité comme personnage premier d’un conte peu ordinaire, où il est aisé de se laisser perdre, tant la forme et le fond s’épousent avec une exquise complémentarité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
TF1 News
par Romain Le Vern
Tourné en 16mm, ce conte expérimental en noir et blanc, plein de décrochages et d'errements, autorise Joe à être on ne peut plus fidèle à cette insolente incongruité qui donne tout le sel de l'underground, oxygénant l'air vicié du cinéma d'auteur. Les créatures d'ailleurs et les fantômes mélancoliques, eux, arriveront plus tard. Attendant minuit pour passer le pont.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
L'Obs
par La Rédaction
Des intervenants chantent, d’autres parlent en signes, et, pour être franc, on n’en a rien à talquer. C’est du Weerasethakul concentré : aussi passionnant que de regarder le gazon pousser. Et encore.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
Le premier film inédit en salle, du grand Thaïlandais : un documentaire brut mais portant en germe les fictions à venir.
Critikat.com
Dès ce premier film, Weerasethakul nous donne à appréhender comment le cinéma est cet objet flottant, mystérieux, oscillant entre le documentaire et la fiction, intermédiaire comme l’est le mitan de la journée, et apparaissant précisément dans ce mitan.
L'Humanité
Fable bizarre, naturellement, où, comme dans les derniers films du cinéaste, la fiction naît de simples suggestions. Weerasethakul n’hésite jamais à fabuler dans un contexte purement documentaire. De sorte qu’on a à la fois un panorama de la vie thaïlandaise ordinaire (commerces, écoles, transports), et une rêverie poético-fantastique typique de ce magicien du réel.
La Septième Obsession
Sous la forme hybride du documentaire rehaussé par les charmes de la légende populaire et de la fiction la plus enfantine, le film multiplie les embardées formelles, tout à sa joie de pouvoir pleinement faire confiance à l'art qui le gouverne.
Le Monde
C'est (...) le mouvement global du film qui compte, la manière dont il imbrique des réalités très différentes, le patchwork poétique qui le constitue, les associations mentales qui relient tant les plans que les niveaux de narration.
Les Fiches du Cinéma
Dans son premier film inédit, Weerasethakul propose à ses compatriotes de raconter un récit et de le mettre en images. Ce début prometteur brouille déjà les frontières entre fiction et documentaire, rêve et réalité.
Libération
Ce qui étonne le plus, c’est la douceur avec laquelle le cinéaste filme les visages - ainsi que l’impression d’étrangeté face à son univers, qui se déploie en des contrées éloignées, mais n’en paraît pourtant pas moins proche en tous points.
Positif
Le dispositif est ludique, l'avancée du conte - si décousi soit-il - donne une cohérence à l'itinéraire, et un superbe noir et blanc nous plonge dans la réalité sociale d'un pays en crise.
Télérama
De ce voyage en Thaïlande profonde, sur fond de croyances animistes, on retient la malice subtile. Et la douceur exceptionnelle du regard que le cinéaste pose sur tous ceux qu'il filme.
aVoir-aLire.com
Weerasethakul convoque l’oralité comme personnage premier d’un conte peu ordinaire, où il est aisé de se laisser perdre, tant la forme et le fond s’épousent avec une exquise complémentarité.
TF1 News
Tourné en 16mm, ce conte expérimental en noir et blanc, plein de décrochages et d'errements, autorise Joe à être on ne peut plus fidèle à cette insolente incongruité qui donne tout le sel de l'underground, oxygénant l'air vicié du cinéma d'auteur. Les créatures d'ailleurs et les fantômes mélancoliques, eux, arriveront plus tard. Attendant minuit pour passer le pont.
L'Obs
Des intervenants chantent, d’autres parlent en signes, et, pour être franc, on n’en a rien à talquer. C’est du Weerasethakul concentré : aussi passionnant que de regarder le gazon pousser. Et encore.