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Un film d'action honorable pour la première aventure de Harisson Ford sous les traits de l'agent Jack Ryan...un bon divertissement, qui doit beaucoup à son acteur principal !!!
caro18
Un bon suspens et Harrison Ford en pleine forme....
Ce n'est ni un navet, ni un bon film, il est acceptable, rien de plus. Je m'attendais à mieux, dommage, ce film ne restera pas dans les anales.
Abarai
"Jeux de guerre" n'a de l'attrait que par la présence d'Harrison Ford. L'acteur brille et se révèle à la hauteur de son personnage. A côté de cela, on assiste à un polar simple et assez efficace.
Rien d'extraordinaire certes, mais le film se regarde facilement sans broncher.
Rien d'extraordinaire certes, mais le film se regarde facilement sans broncher.
Après "A la poursuite d'Octobre rouge" voici la seconde adaptation au cinéma d'un roman de Tom Clancy. L'histoire est un peu plus simpliste mais très efficace. Le personnage de Jack Ryan colle parfaitement à la peau d'Harrison Ford.
Un film efficace mélange d'action et d’investigations gouvernementales.
Un récit "made in hollywood" spectaculaire mais malheureusement sans surprise .
Jeux de Guerre est un bon divertissement américain avec tous les clichés qui s'en suivent. Malgré cela c'est un film qu'on suit avec certain plaisir et de l'intérêt. Les acteurs nous offrent ici de belles prestations, la BO colle bien au film et le suspens dure jusqu'à la fin malgré un scénario un peu faiblard. Bref on ne s'ennuie pas !
La volonté des studios de vouloir entamer tout une démarche visant à promouvoir en franchise le personnage clef du romancier Tom Clancy, à savoir l’analyste Jack Ryan, fort du succès d’A la poursuite d’octobre rouge, magistral soit dit en passant, aura mené à une collaboration entre un réalisateur quasi novice et une star planétaire. Oui, ne pouvant plus compter sur Alec Baldwin, les producteurs se rabattent sur Harrison Ford, d’abord réticent, puis convaincu de pouvoir amener d’avantage à un personnage qui aura cumulé quelques sorties depuis, et dont on parle encore pour le futur. Du produit brut Tom Clancy métamorphosé en franchise hollywoodienne avec une certaine réussite.
Jeux de guerre ou la redécouverte d’un héros contemporain est l’archétype d’une certaine qualité propre à la fin des années 80 et des années 90, à savoir un techno thriller respectable et abouti, tout en étant relativement simple d’accès, à l’inverse d’un plus récent Syriana, pour ne citer qu’un exemple. En somme, le public est invité ici à réellement faire connaissance d’un personnage dont l’industrie entend tirer profit. L’on nous présente dès lors un Jack Ryan père avant tout, bienfaiteur occidental, anti-héros et tête pensante d’une agence fédérale que le cinéma s’était jusqu’alors employé à salir. Oui, l’individualité du personnage principal et la bienveillance de ses camarades gomme l’aspect patriotique de l’œuvre, son américanisme modéré mais tout de même bien présent.
Jack Ryan, donc, confronté à des séparatistes nord irlandais, une branche dissidente de l’IRA en quête de vengeance envers sa personne. Peu crédible d’emblée, certes, mais à force d’ouvrage, le crédo de Philipp Noyce et ses gars, soit rendre la vie dure à un gaillard honorable, devient emblématique de ce que le monde bien doit représenter face au mal. En somme, si ça paraît dérisoire, l’on nous fait avaler la pilule sans que l’on ne réagisse. Un thriller politique d’une toute bonne qualité, finalement peu crédible même des mains de Tom Clancy, mais offrant de beaux aspects de ce que le personnage d’action type peut perdre au profit d’un héros d’avantage proche de la masse.
Harrison Ford, excellent, rempilera quelques années plus tard dans la peau de Jack Ryan, toujours sous les ordres de Philipp Noyce. L’on soulignera tout de même la superbe BO dont nous gratifie James Horner, une BO très orientée vers l’Irlande, très sombre. Un semi classique des années 90, respectable autant qu’audacieux, inversant quelques modes. 14/20
Jeux de guerre ou la redécouverte d’un héros contemporain est l’archétype d’une certaine qualité propre à la fin des années 80 et des années 90, à savoir un techno thriller respectable et abouti, tout en étant relativement simple d’accès, à l’inverse d’un plus récent Syriana, pour ne citer qu’un exemple. En somme, le public est invité ici à réellement faire connaissance d’un personnage dont l’industrie entend tirer profit. L’on nous présente dès lors un Jack Ryan père avant tout, bienfaiteur occidental, anti-héros et tête pensante d’une agence fédérale que le cinéma s’était jusqu’alors employé à salir. Oui, l’individualité du personnage principal et la bienveillance de ses camarades gomme l’aspect patriotique de l’œuvre, son américanisme modéré mais tout de même bien présent.
Jack Ryan, donc, confronté à des séparatistes nord irlandais, une branche dissidente de l’IRA en quête de vengeance envers sa personne. Peu crédible d’emblée, certes, mais à force d’ouvrage, le crédo de Philipp Noyce et ses gars, soit rendre la vie dure à un gaillard honorable, devient emblématique de ce que le monde bien doit représenter face au mal. En somme, si ça paraît dérisoire, l’on nous fait avaler la pilule sans que l’on ne réagisse. Un thriller politique d’une toute bonne qualité, finalement peu crédible même des mains de Tom Clancy, mais offrant de beaux aspects de ce que le personnage d’action type peut perdre au profit d’un héros d’avantage proche de la masse.
Harrison Ford, excellent, rempilera quelques années plus tard dans la peau de Jack Ryan, toujours sous les ordres de Philipp Noyce. L’on soulignera tout de même la superbe BO dont nous gratifie James Horner, une BO très orientée vers l’Irlande, très sombre. Un semi classique des années 90, respectable autant qu’audacieux, inversant quelques modes. 14/20
2 ou 3 étoiles, peu importe, mais ce film table sur un divertissement de qualité optimum.
Basé sur le personnage de Jack Ryan créé par Tom Clancy pour ses livres, Harrison Ford reprend le flambeau d'Alec Baldwin et son "Octobre rouge" pour nous offrir ce "Patriot games".
Après la fin de la Guerre du Golfe et l'avant 11 septembre, Philip Noyce concocte un film légèrement truffé d'invraisemblances. Le scénario précise qu'il s'agit de terroristes irlandais ayant des rapports avec l'IRA et s'entraînant dans des camps ''islamistes'' khadafistes. En gros, on ne sait jamais de quel ennemi il s'agit. C'est pour ainsi dire une phase de transition dans les films américains des 90's présentant des ennemis à la fois efficace mais difficilement repérable (ce ne sont ni des communistes, ni des terroristes islamistes).
Sur une trame convenue, le suspense s'étale crescendo et Harrison Ford nous fait rentrer de plein fouet dans ses tourments familiaux. Le face-à-face Ford/Bean tient toutes ses promesses malgré un Sean Bean ("Goldeneye", "Le seigneur des anneaux", "Ronin" (de John Frankenheimer)) légèrement effacé mais efficacement charismatique. La présence de seconds couteaux ne nous échappe pas, et c'est toujours avec un malin plaisir qu'on les retrouve aujourd'hui : Samuel L. Jackson, Richard Harris (fabuleux dans "Impitoyable" tout autant que dans ses autres films : "Les oies sauvages" (avec Roger Moore), "Gladiator", ...), James Earl Jones ("Conan le barbare", "Jardins de pierre" de Coppola, ...), Anne Archer (revue dans "Short cuts" et "L'enfer du devoir" notamment) et Thora Birch ("American beauty").
Même si l'atmosphère générale nous fait rechigner un peu (avec l'ensemble montage/son/réalisation/photo), on ne tarde pas à tomber dans le panneau pour se donner à fond dans les explosions et les courses-poursuites menées tambour battant sur un rythme d'enfer, le tout emmené par une composition de James Horner (en 1992, il avait déjà mis en musique Annaud ("Le nom de la rose"), Ron Howard ("Cocoon", "Willow"), Walter Hill ("48 heures", "Double détente", ...) ... !!!) en très grande forme.
Pour terminer, "Jeux de guerre" est un classique incontournable des 90's que seuls les aficionados de thrillers se doivent de posséder, Philip Noyce réalisant ici l'un de ses meilleurs films (on retiendra "Sliver" avec Sharon Stone, "Bone collector", et le tout récent "Salt", ces deux derniers avec Mrs Jolie).
Harrison pour un jour, Ford pour toujours (ça, c'est pour les inconditionnels) !
Basé sur le personnage de Jack Ryan créé par Tom Clancy pour ses livres, Harrison Ford reprend le flambeau d'Alec Baldwin et son "Octobre rouge" pour nous offrir ce "Patriot games".
Après la fin de la Guerre du Golfe et l'avant 11 septembre, Philip Noyce concocte un film légèrement truffé d'invraisemblances. Le scénario précise qu'il s'agit de terroristes irlandais ayant des rapports avec l'IRA et s'entraînant dans des camps ''islamistes'' khadafistes. En gros, on ne sait jamais de quel ennemi il s'agit. C'est pour ainsi dire une phase de transition dans les films américains des 90's présentant des ennemis à la fois efficace mais difficilement repérable (ce ne sont ni des communistes, ni des terroristes islamistes).
Sur une trame convenue, le suspense s'étale crescendo et Harrison Ford nous fait rentrer de plein fouet dans ses tourments familiaux. Le face-à-face Ford/Bean tient toutes ses promesses malgré un Sean Bean ("Goldeneye", "Le seigneur des anneaux", "Ronin" (de John Frankenheimer)) légèrement effacé mais efficacement charismatique. La présence de seconds couteaux ne nous échappe pas, et c'est toujours avec un malin plaisir qu'on les retrouve aujourd'hui : Samuel L. Jackson, Richard Harris (fabuleux dans "Impitoyable" tout autant que dans ses autres films : "Les oies sauvages" (avec Roger Moore), "Gladiator", ...), James Earl Jones ("Conan le barbare", "Jardins de pierre" de Coppola, ...), Anne Archer (revue dans "Short cuts" et "L'enfer du devoir" notamment) et Thora Birch ("American beauty").
Même si l'atmosphère générale nous fait rechigner un peu (avec l'ensemble montage/son/réalisation/photo), on ne tarde pas à tomber dans le panneau pour se donner à fond dans les explosions et les courses-poursuites menées tambour battant sur un rythme d'enfer, le tout emmené par une composition de James Horner (en 1992, il avait déjà mis en musique Annaud ("Le nom de la rose"), Ron Howard ("Cocoon", "Willow"), Walter Hill ("48 heures", "Double détente", ...) ... !!!) en très grande forme.
Pour terminer, "Jeux de guerre" est un classique incontournable des 90's que seuls les aficionados de thrillers se doivent de posséder, Philip Noyce réalisant ici l'un de ses meilleurs films (on retiendra "Sliver" avec Sharon Stone, "Bone collector", et le tout récent "Salt", ces deux derniers avec Mrs Jolie).
Harrison pour un jour, Ford pour toujours (ça, c'est pour les inconditionnels) !
un divertissement plus que correcte sous fond de crise international, du grand classique pour le cinéma Américain !!!
Harrison Ford reprend parfaitement le rôle de Jack Ryan, tenu par le très bon Alec Baldwin dans le précèdent opus, dans ce thriller exemplaire, qui mêle tension extrême et actions spectaculaires.
Second opus des aventures de Jack Ryan qui prend la suite laissé par "L'Octobre rouge", "Jeux de guerre" se révèle divertissant et efficace malgré une simplicité scénaristique magistrale.
On y retrouve bien entendu Harrison Ford une nouvelle fois symbole d'une Amérique forte à la tête cette fois-ci de sa famille qu'il se doit de protéger de terroristes irlandais. Comme de coutume, l'acteur révélé par Georges Lucas s'implique dans son rôle et parvient à toucher la corde sensible du spectateur grâce à son air charmeur et convivial légendaire. Opposé à un archétype du méchant sans réflexion joué par Sean Bean, Ford fait oublier la conventionnalité du script par l'immersion qu'il offre au public. La réalisation de Philip Noyce quant à elle n'a rien d'extraordinaire mais reste correcte et parvient même à créer des moments de véritable tension très savoureux.
En quelques mots, "Jeux de guerre" conjugue bien l'action au thriller dans une production tout public passe partout qui rempli amplement ses objectifs.
On y retrouve bien entendu Harrison Ford une nouvelle fois symbole d'une Amérique forte à la tête cette fois-ci de sa famille qu'il se doit de protéger de terroristes irlandais. Comme de coutume, l'acteur révélé par Georges Lucas s'implique dans son rôle et parvient à toucher la corde sensible du spectateur grâce à son air charmeur et convivial légendaire. Opposé à un archétype du méchant sans réflexion joué par Sean Bean, Ford fait oublier la conventionnalité du script par l'immersion qu'il offre au public. La réalisation de Philip Noyce quant à elle n'a rien d'extraordinaire mais reste correcte et parvient même à créer des moments de véritable tension très savoureux.
En quelques mots, "Jeux de guerre" conjugue bien l'action au thriller dans une production tout public passe partout qui rempli amplement ses objectifs.
🎬 RENGER 📼
Seconde adaptation d’un des nombreux romans de la saga Jack Ryan, écrite par Tom Clancy. Après avoir été incarné par Alec Baldwin dans A la poursuite d'Octobre rouge (1990) et bien avant Ben Affleck dans La Somme de toutes les peurs (2002), ce fut Harrison Ford avec Jeux de guerre (1992) & Danger immédiat (1994). Dans le film (extrêmement conventionnel) de Phillip Noyce, ne vous attendez à rien d’autre qu’un banal polar sans réel rebondissement. Quelques invraisemblances (dès le début du film, avec Harrison Ford qui déjoue un attentat tout en sauvant la vie de son épouse et de sa fille, fallait oser !), le scénario en lui-même n’a absolument rien d’original, on est face à une histoire de vengeance, entre un terroriste qui a perdu son frère et un agent de la C.I.A (responsable de la mort de ce dernier). Bien évidemment le méchant de l’histoire s’en prendra à la famille du héros, femme et enfant seront traqué, bref on connaît déjà la fin du film avant même de l’avoir vu, mais cela ne nous empêche pas de passer un bon moment devant ce frêle divertissement, ne cherchez pas l’originalité, contentez-vous d’un casting sympathique avec Harrison Ford, Sean Bean & Samuel L. Jackson (le temps de quelques apparitions).
Les thriller des années 90 vieillissent plus ou moins bien. Comparé aux productions modernes à la Jason Bourne, c'est un peu mou du genou. Difficile de transposer en film d'action un roman où l'essentiel de l'action se passe dans des bureaux...le risque c'est de tellement simplifier la partie bureau qu'elle finit par ne plus avoir de sens et de surdévelopper les parties actions qui ne le justifient pas.
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