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Votre avis sur La Grande évasion ?
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Yetcha
Un classique des films de guerre. Cela faisait pas mal d'années que je ne l'avais pas revu et.... il faut avouer qu'il a pris un petit coup de vieux. Hé oui, même les plus grands peuvent prendre un coup de vieux. C'est plutôt lent, les décors sont tout propres, l'ambiance du camp paraît tout de même un peu trop calme... Mais bon, au-delà de tout ça, la brochette d'acteurs est hallucinante, certaines scènes sont mythiques, la construction des tunnels est la partie la plus géniale du film et les instants d'évasion sont moins accrocheurs et se résument trop à l'exécution ou l'arrestation des prisonniers. Un grand film mais qui a perdu un peu de sa superbe après plus d'un demi-siècle.
Ce film est intemporel, il traverse et traversera les générations. On s'identifie très facilement à ces personnages qui montrent une énorme solidarité entr'eux. Le réalisateur a réussi à créer une tension d'enfermement dans son œuvre et le casting avec les deux stars qui sont Steeve Mc Queen et Charles Bronson amène une plus-value à l’œuvre. La musique qui peut se fredonner et qui reste en tête est parfaite et conduit à scènes humoristiques avec le retour infini du début à la fin du film de Hills au frigo. Bon film avec cette impressionnante solidarité dans ce camps pour le prix d'une liberté palpable mais sans cesse fuyante. A voir absolument.
La magie Steve McQueen: premier film que je vois avec cet acteur, et j'avais déjà l'impression de retrouver une vieille connaissance. Il faut dire que le film est construit comme ça: McQueen promène son gant de baseball et son look d'américain moyen chez les nazis, dans ce qui est par ailleurs un film d'évasion aussi classique qu'efficace, souvent drôle, parfois haletant, aux personnages attachants et aux longueurs finalement peu nombreuses pour un film de près de trois heures. Ça ne se prend pas au sérieux, mais le résultat est loin d'être anecdotique et vise toujours juste, y compris dans un registre où on ne l'attendait pas: la nuance.
Classique sans faille avec un casting de haut vol, et des scènes cultes (bien que très crues vu le contexte !) s'enchaînant tout au long du film. Je reste pétrifiée et sans voix à chaque fois lorsqu'arrive le générique de fin. Un film qui par son scénario ingénieux et bien dosé en suspense arrive à me garder en haleine à chaque visionnage.
Grand classique du cinéma américain. On comprend pourquoi. Le suspense, l’héroïsme, l'humour, y est savamment distillé avec un ton décontracté, cliché de l'Amérique. Steve McQueen est sûrement dans l'un de ses meilleurs rôles, à la fois impertinent, insolent, séduisant et attachant. Pour le reste, le début, assez répétitif, et en dent de scie, a beaucoup vieilli. L'intrigue met du temps à émerger. Les Allemands passent pour des abrutis et donne une allure très peu crédible à l'histoire. Mais la deuxième partie vaut le coup d’œil. La grande évasion commencée, on ne s'ennuie plus une seconde. Moment d'anthologie, comme la fameuse course poursuite à moto. On prend fait et cause pour les personnages, passant avec eux de l'enthousiasme pour la liberté, à la résignation.
Figure incontournable du genre cinématographique des films d'évasion, à la mode depuis 1937 et La Grande Illusion, La Grande Evasion en est également l'une des dernières réalisations.
Trente ans après les événements réels du film, John Sturges adapte donc au cinéma le récit autobiographique de l'ancien pilote de chasse australien Paul Brickhill, évadé du camp de prisonniers Stalag Luft III, situé en Pologne et contrôlé par la Luftwaffe. Des aviateurs britanniques, canadiens, australiens, polonais et américains y sont retenus prisonniers dans des conditions de détention confortable, ce qui ne les empêche pas d'organiser une vaste opération d'évasion pour offrir la liberté à 250 captifs. Mais bien que finement mené, le plan ne se déroule pas comme prévu...
Pour l'époque, cette réalisation dispose d'un budget conséquent de 4 millions de dollars, principalement consacré à faire venir de grandes stars internationales. D'ailleurs, l'affiche du film fait rêver et réunit notamment Steve McQueen, Charles Bronson et James Coburn pour la première fois depuis leur apparition célèbre dans les Sept Mercenaires (1960). Et cet investissement a fini par payer puisque les recettes du film sont mirobolantes pour l'époque, avec plus de cinq millions de dollars de bénéfice. Toutefois, ce succès populaire ne se retrouve pas auprès des critiques du milieu puisque la seule distinction obtenue est le lauréat de meilleur acteur pour Steve McQueen dans le cadre du Festival du film de Moscou, même si le public russe a été choqué de la place accordée aux prisonniers soviétiques dans l'oeuvre de Sturges, une réaction compréhensible en comparaison du traitement accordé aux prisonniers américains et anglais.
Néanmoins, ce film de guerre injustement écarté par les critiques profite de cascades à moto parfaitement maîtrisées, en partie grâce à l'acteur principal Steve McQueen, dont il s'agit ici de la première apparition au devant de la scène et qui lui ouvre la voie de nombreux autres rôles principaux dans les années qui suivent. D'ailleurs, cette mise en avant a attisé la jalousie du Lion Bronson, insatisfait d'être relégué à un rôle secondaire. Parmi les autres membres du casting, on retrouve James Garner, lauréat du Golden Globe de la révélation masculine cinq ans plus tôt ; Richard Attenborough, que l'on connait mieux pour son rôle d'Hammond dans Jurassic Park mais qui réalise ici l'une de ses prestations les plus connues ; et James Coburn, encore méconnu du grand public.
Trente ans après les événements réels du film, John Sturges adapte donc au cinéma le récit autobiographique de l'ancien pilote de chasse australien Paul Brickhill, évadé du camp de prisonniers Stalag Luft III, situé en Pologne et contrôlé par la Luftwaffe. Des aviateurs britanniques, canadiens, australiens, polonais et américains y sont retenus prisonniers dans des conditions de détention confortable, ce qui ne les empêche pas d'organiser une vaste opération d'évasion pour offrir la liberté à 250 captifs. Mais bien que finement mené, le plan ne se déroule pas comme prévu...
Pour l'époque, cette réalisation dispose d'un budget conséquent de 4 millions de dollars, principalement consacré à faire venir de grandes stars internationales. D'ailleurs, l'affiche du film fait rêver et réunit notamment Steve McQueen, Charles Bronson et James Coburn pour la première fois depuis leur apparition célèbre dans les Sept Mercenaires (1960). Et cet investissement a fini par payer puisque les recettes du film sont mirobolantes pour l'époque, avec plus de cinq millions de dollars de bénéfice. Toutefois, ce succès populaire ne se retrouve pas auprès des critiques du milieu puisque la seule distinction obtenue est le lauréat de meilleur acteur pour Steve McQueen dans le cadre du Festival du film de Moscou, même si le public russe a été choqué de la place accordée aux prisonniers soviétiques dans l'oeuvre de Sturges, une réaction compréhensible en comparaison du traitement accordé aux prisonniers américains et anglais.
Néanmoins, ce film de guerre injustement écarté par les critiques profite de cascades à moto parfaitement maîtrisées, en partie grâce à l'acteur principal Steve McQueen, dont il s'agit ici de la première apparition au devant de la scène et qui lui ouvre la voie de nombreux autres rôles principaux dans les années qui suivent. D'ailleurs, cette mise en avant a attisé la jalousie du Lion Bronson, insatisfait d'être relégué à un rôle secondaire. Parmi les autres membres du casting, on retrouve James Garner, lauréat du Golden Globe de la révélation masculine cinq ans plus tôt ; Richard Attenborough, que l'on connait mieux pour son rôle d'Hammond dans Jurassic Park mais qui réalise ici l'une de ses prestations les plus connues ; et James Coburn, encore méconnu du grand public.
En 1943, des aviateurs multi-récidivistes en évasion, se retrouvent dans un camp de prisonniers de la Luftwaffe. Ceux-ci étant officiers, ils bénéficient de conditions de vie confortables, mais malgré cela, ils échafaudent un projet d’évasion de grande ampleur. La qualité du casting est impressionnante avec notamment Steve McQueen, Charles Bronson, James Coburn, Richard Attenborough, Donald Pleasence et James Donald. On notera la musique entraînante et cocardière comme c’était le cas dans beaucoup de films de guerre de cette époque. Le film dure 3 heures mais on ne s'ennuie pas vraiment car les préparatifs, l’évasion et la fuite vers les pays alliés tiennent en haleine, même si le film aurait pu durer facilement 30min de moins. La réalisation est un peu « tape à l’oeil », les personnages parfois un peu caricaturaux mais ça ne nuit pas vraiment à l’ensemble. Un bon film qui a assez bien vieilli. A noter que le scénario s’inspire de faits réels et qu’il est dédié aux 50 officiers qui ont payé de leur vie cette évasion.
Un chef d'oeuvre du film de guerre et l'un des grands classiques du cinéma signé par le cinéaste John Sturges !! "La grande évasion" est un film qui a été diffusé de multiples fois à la télévision mais on ne se lasse pas, je dois ètre au 5ème visionnage et le mélange suspense, comédie et drame marche toujours bien. Dans un camp de prison en Allemagne durant la seconde guerre mondiale, des Anglais et des Américains, dont certains ont fait quelques tentatives de s'échapper de prison dont Hibbs qui est souvent enfermé au cachot 2 semaines avec une balle et un gang de baseball. L'arrivée d'un haut gradé Anglais va changer la donne en ayant l'idée de faire évader tout les prisonniers n creusant un tunnel sous terre. Au travail en discrétion sans que les Allemands s'en aperçoivent !! Tiré d'une histoire vraie avec à peu prés les mèmes circonstances, on se prend de sympathie pour les nombreux personnages prisonniers avec l'espérance que les plans marchent et qu'ils soient sain et sauve . "La grande évasion" est un long métrage qui nous agrippe à notre canapé mais qui est aussi spectaculaire dans l'action avec la captivante musique d'Elmer Bernstein. La troupe de comédiens est excellente avec, pour citer les plus célèbres, Steve Mc Queen, Richard Attenborough, James Garner, Charles Bronson, James Coburn, Donald Pleasance ou Roddy Mc Dowall. Un monument du genre.
Des prisonniers d'un camp allemand durant la seconde guerre mondiale tentent de s'évader en construisant un tunnel sous-terrain sans se faire remarquer des nazis, autant dire que l'ambiance est plutot électrique et prenante. Le suspens est à son comble lorsque l'évasion devient effective, et toute la dernière partie du film montre certains de ces évadés du camp tentant de fuir l'Allemagne, une autre prison à sa façon. Avec une pléiade de grands acteurs dont Steeve McQueen et Charles Bronson, on est dans un grand et long film témoignant du courage de certains individus durant la guerre, préférant risquer leur vie plutot que de la vivre enchainée.
Un peu long a mettre en place, le film fini par être tres divertissant. Les allemands font office de figurants et le ton est délibérément leger... Mais il y a un bon suspense et un dénouement et une fin assez inattendue.
un bon film d'action aventure et guerre mais ce qui est bien ce que pour un film qui se passe du temps de la guerre sa va il n'y a pas trop de scène de geurre car j'avais peur que sa gâche un peu l'histoire du film . des acteur grandiose et un scénario très bon un grand grand film !
Un casting légendaire pour porter ce magnifique film de guerre qui
spoiler:
ne finit pas bien - pas pour tout le monde en tout cas : quelques-uns réussissent, d'autres reviennent au point de départ, d'autres meurent sous les balles nazies (la scène de la mittrailleuse...).
La Grande Évasion, ou la réussite totale d'un film de guerre qui se prend au sérieux tout en restant léger la plupart du temps.
Il paraît que c'est inspiré de faits réels et si c'est bel et bien le cas, cette farce interminable de 2h52 (!) ne leur rend pas hommage, ni aux faits, ni aux hommes.
Cela commence par exemple avec cette musique guillerette qui ne nous lâchera plus jusqu'à la fin, une musique qui aurait plus sa place dans une foire foraine, puis le décor est posé et le ton est donné, celui de la légèreté... car la Grande Evasion tient davantage de la comédie lourdaude -à l'insu de son ignorance sans doute- que d'une quelconque reconstitution historique fût-elle plus ou moins romancée.
Mais à dire vrai, le film ne fait pas mentir le diction : plus le nombre de stars est élevé, plus le film en question est mauvais, écrasé sous son propre poids. La goguenardise de McQueen et de ses comparses est insupportable et se retrouve à peine contre-balancée par la raideur de la mise en scène qui met encore plus en défaut le caractère guindé des Allemands et des rares autres personnages qui ne ricanent pas sous cape perpétuellement.
Enfin, la longueur inexcusable de cette évasion tue dans l'oeuf toute tentative de rythme ou de tension (inexistante de toute façon) à laquelle on aurait pu s'attendre ou que l'on espérait bien naïvement. La Grande catastrophe est donc au-delà de toute rédemption cinématographique passée, présente ou à venir, et à enterrer dans son propre tunnel.
Cela commence par exemple avec cette musique guillerette qui ne nous lâchera plus jusqu'à la fin, une musique qui aurait plus sa place dans une foire foraine, puis le décor est posé et le ton est donné, celui de la légèreté... car la Grande Evasion tient davantage de la comédie lourdaude -à l'insu de son ignorance sans doute- que d'une quelconque reconstitution historique fût-elle plus ou moins romancée.
Mais à dire vrai, le film ne fait pas mentir le diction : plus le nombre de stars est élevé, plus le film en question est mauvais, écrasé sous son propre poids. La goguenardise de McQueen et de ses comparses est insupportable et se retrouve à peine contre-balancée par la raideur de la mise en scène qui met encore plus en défaut le caractère guindé des Allemands et des rares autres personnages qui ne ricanent pas sous cape perpétuellement.
Enfin, la longueur inexcusable de cette évasion tue dans l'oeuf toute tentative de rythme ou de tension (inexistante de toute façon) à laquelle on aurait pu s'attendre ou que l'on espérait bien naïvement. La Grande catastrophe est donc au-delà de toute rédemption cinématographique passée, présente ou à venir, et à enterrer dans son propre tunnel.
Ne s'intéressant ni à un point de vue sur la guerre, ni à la dénonciation de la barbarie nazie (à l'exception d'un court passage sur l'exécution sommaire de fugitifs repris par la Gestapo), le film est un pur, mais génial divertissement sur fond de suspense (l'évasion aboutira-t-elle ? combien d'évadés échapperont à la recapture ?), très bien mené en dépit de quelques grosses invraisemblances (la facilité avec laquelle deux évadés s'introduisent sur une base aérienne et vole un avion allemand). Parmi les morceaux de bravoure dévolus aux différentes têtes d'affiche, la plus notable est la tentative d'évasion à moto de Steve McQueen.
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