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Eselce
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4 238 critiques
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4,0
Publiée le 6 avril 2016
Un tunnel pour 250 hommes. Ce qui est impressionnant et le nombre de tentative d'évasion. Ce que j'ai aimé est que le film ne s'arrête pas à l'évasion, il va plus loin : Exécution, reprises, retour au camp, succès et ingénieux plans pour que l'évasion réussisse. Steeve McQueen est génial dans ce film (Encore un ! :))
Énorme succès à l’époque la grande évasion est un film assez typique de son temps avec son énorme casting, son histoire fleuve et son image prévue pour le grand écran. Comment a t’il vieilli? Plutôt bien en fait. Mise à part quelques longueurs et rebondissements annexes qui auraient pu en effet être laissés de côté (sans pour autant que le film ne soit jamais ennuyeux), le reste fonctionne aujourd’hui parfaitement. Les personnages sont très bien écrits et interprétés et donc on s’implique à leur côté. La tension et le suspens fonctionnent toujours et côté action Steve McQueen à moto ça le fait toujours autant. On peut écouter aussi un des thèmes musicaux les plus connus du cinéma. Bref beaucoup de choses qui font film qui reste excellent.
On découvre que ce film est découpés en deux parties avec la première partie essentiellement centré sur le plan de l'évasion, l'ingéniosité mise en place par ces prisonniers et la construction de ce tunnel tout en évitant de se faire repérer ajoutant à cela un petite dose d'humour et la deuxième partie qui est concentré plus sur l'évasion, la Gestapo qui essaye de retrouver les évadés, suivis du destins tragiques pour beaucoup d'entre eux.
Une histoire très prenante avec du suspens, un scénario parfaitement construit. Des personnages attachants, une musique entrainante et qui colle bien, tout est bien rythmé. Un grand classique à voir et à revoir
Adapté de faits réels et du roman de Paul Brickhill, le cinéaste John Sturges (Règlement de comptes à O.K. Corral - 1957 & Les Sept mercenaires - 1961) nous replonge en plein coeur de la seconde Guerre Mondiale, dans un camps spécialement crée pour des prisonniers pas comme les autres (se sont tous des as l'évasion). Le film, d'une durée de 165 minutes, consacre une très grande partie de son temps à la préparation minutieuse de l'évasion (un plan minutieux où chacun des prisonniers trouvent un rôle important au sein de cette organisation plus que secrète où ils doivent creuser des tunnels sous le nez des allemands). Un scénario solide, des personnages passionnants, une intrigue et une mise en scène haletante, alors que l'on pensait que le film se terminerai à la sortie du camps, le film prend une toute autre ampleur lorsqu'il vire en chasse à l'homme, un véritable survival entre l'Allemagne et la Suisse, où quelques prisonniers tentent leur dernière chance en rejoignant la frontière. La Grande évasion (1963) est un film passionnant de bout en bout, en grande partie grâce à son casting où l'on retrouve entre autre Steve McQueen, Charles Bronson, Donald Pleasence & James Coburn.
La Grande évasion : Pour beaucoup, un grand classique du genre évasion. Et ça ce comprend, rien que le casting, vous aller comprendre : Steve McQueen, Charles Bronson, Richard Attenborough, Donald Pleasence… Et franchement, ils jouent tous bien, ils ont un certains charismes et ils rendent certains personnages attachants car il y en a qui sorte du lot, grâce a certains situation assez amusante, comme McQueen qui va souvent en isoloir… Mais est ce que un casting ça fait tout. Et parlons en de ce coté humour de certains situation, ça détend l’atmosphère mais je trouve que ça colle pas trop au thème du film car c’est assez sérieux, il y a beaucoup de risque, c’est la guerre… De plus, il y a une musique sifflé que on entend souvent et ça des le générique, on dirait la musque de la 7 compagne et encore une fois, je trouve que ça colle pas, elle est mise pendant des scènes assez dramatique ou action. Après, l’histoire est très bien travaillé, basé sur des faits réels, on suit bien tout les étapes du plans, avec les risques et les imprévus qu’il peut avoir et c’est assez génial et ingénieux de voir comme ils vont s’évades et il y a beaucoup de détail de cela. Mais, faut dire que le film dure 2H45 et on sent les longueurs car le rythme est ne bondi jamais, même pendant les scènes d’actions, celle de la moto qui est ultra connu. Donc voila, ça reste un classique du genre avec un scénario qui privilégie l’authenticité et la coté humain et psychologique des personnages, donc scénario en béton tout comme le casting.
« La grande évasion » est resté un film mythique et la course folle de Steve Mac Queen sur sa moto le long des barbelés de la frontière suisse est encore dans les mémoires à l’époque de sa sortie en 1962 ou dans les dix ans qui ont suivi celle-ci. Aujourd’hui l’exaltation manichéenne du patriotisme et de l’héroïsme collectif qu’il génère peut paraître un peu naïf ou manipulateur après la purge imposée par les, Peckinpah (« Croix de fer », Cimino (« Voyage au bout de l’enfer »), Coppola (« Apocalypse now ») ou De Palma (« Outrages ») dans les années 1970 et 80 qui ont éclairé d’un jour nouveau le comportement de l’homme à la guerre. En 1962, le dernier conflit mondial était encore trop présent dans les mémoires pour que puisse transpirer la moindre introspection alors que les plaies étaient à peine cicatrisées et que chacun pensait à la reconstruction d’abord et à la consommation ensuite. Le grand Stanley Kubrick avait bien essayé de bousculer les consciences en 1957 avec son brûlot incendiaire sur le comportement de l’Etat-Major de l’armée française pendant la Grande Guerre avec « Les sentiers de la gloire » mais la censure l’avait bien vite rappelé à l’ordre. Plutôt qu’un témoignage objectif sur la vie dans les camps de prisonniers, il est préférable de voir « La grande évasion » comme un film d’aventures prenant comme contexte un fait historique réellement avéré, basé sur le récit de Paul Brickhill. Le choix de John Sturges pour réaliser le film, grand spécialiste du western, est sans doute la meilleure illustration de la vocation du film voulue par la United Artists dans la lignée des « Sept mercenaires » immense succès sorti deux ans auparavant et déjà réalisé par Sturges avec certains acteurs (Mc Queen, Coburn, Bronson) déjà présents au générique. A partir de ce postulat initial, John Sturges en professionnel aguerri peut montrer tout son savoir-faire, faisant alterner astucieusement l’aventure collective de ces officiers de tous bords obsédés par l’évasion pour repartir au combat et le comportement individuel du héros solitaire personnifier par Steve Mac Queen qui depuis « Les sept mercenaires » est la star qu’il faut pousser en avant. On se passionne pour la mécanique de précision montée par le commandant Roger Bartlett (Richard Attenborough) pour creuser simultanément trois tunnels même si on est souvent surpris par la bienveillance passive des gardes allemands. Les allers et retours de Steve Mac Queen au « frigo » rythme de manière cocasse la vie du camp et la forte tête finira par rejoindre la formidable entreprise tentée par Roger Bartlett. La bonne humeur qui se dégage tout au long des préparatifs nous fait perdre conscience des réels enjeux qui se trame derrière cette tentative mais Sturges dans un final remarquable nous ramène brutalement à la triste réalité de ce qu’est réellement une guerre. Inutile de préciser que « La grande évasion » est un film d’hommes, aucune femme n’apparaissant sur l’écran au long des trois heures que dure le film.
Ce ''grand film'' qui a attiré en 1963 plus de 8 millions de spectateurs français demeure toujours un beau spectacle sans craindre une déception. En faire un chef d'oeuvre même de genre est une autre histoire car il comporte de nombreux défauts. Parmi ceux ci son coté ''américain'' bien trop excessif car si les lieux et les décors ont été parfaitement conformes à la réalité passée, l'interprétation du comportement des prisonniers est du pur spectacle hollywoodien et, si c'est tant mieux pour notre plaisir ce serait une erreur de prendre cela comme vérité. Cette dramatique histoire n'avait que 20 ans lors du tournage, ce qui rend son contexte douloureux et qu'il devient difficile de pardonner à Sturges ses complaisances. La pire de toutes étant l'assassinat de trois gradés allemands par des membres de la résistance avec la complicité des tenanciers du bistrot. On ne doit pas tourner un film sur un fait historique sans penser aux survivants. Coté cinéma le creusement des tunnels et la façon de les filmer reste un modèle. Il en est de même pour le suspense même si le scénario est connu, il était d'ailleurs inutile d'en rajouter avec la claustrophobie de ''tunnel king''. La mise en scène est bien réussie avec des cotés aérées bien venus qui compensent les intérieurs étouffants, les personnages sont suffisamment approfondis et c'est ''Big X'' qui a le rôle essentiel comme il se doit. Steve McQueen (the ''cooler king'') se remarque d'une façon étonnante; c'est essentiellement du à sa personnalité assez insupportable dans la vraie vie mais qui lui permet de crever l'écran dans ses rôles.
En 1963, John Sturges réalise l'un de ses films les plus célèbres, "La Grande Évasion" pour lequel il est également producteur. Film d'époque sur fond d'histoire vraie où durant la Seconde Guerre mondiale creusent un tunnel pour faire évader deux cents cinquante prisonniers. Pour le mettre en scène, le cinéaste convoque une distribution éclatante avec Steve McQueen, Charles Bronson ou Donald Pleasence. La singularité de chaque personnage permet à Sturges de réussir son plan, léguant même à son film une ambiance bon enfant bienvenue. Certes des longueurs sont présentes mais le plaisir est au rendez-vous et la symbolique du tunnel est désormais entré dans la culture universelle. Une valeur sûre.
Modèle inégalé du film d’évasion, The great escape bénéficie d’un casting exceptionnel, quoique 100% masculin. Il contribua à faire de Steve McQueen une véritable star, lui qui sut imposer son style unique et cool et sa course-poursuite à moto, dans une séquence devenue mythique. Passionnant de bout en bout, précis, millimétré et très habilement construit, ce long-métrage tiré d’une incroyable (et tragique) histoire vraie ne souffre d’aucun temps mort, malgré ses presque trois heures. Un statut d’œuvre culte amplement mérité.
Ce véritable chef-d’œuvre du cinéma d’aventure et d’évasion nous propulse dans la Seconde Guerre Mondiale au beau milieu d’un tout nouveau stalag allemand parquant les officiers alliés, un camp étroitement surveillé dont personne ne ressort et qui sera pourtant en proie à une évasion massive de la part d’officiers devenus de véritables experts en la matière... Tout comme pour "Les Sept Mercenaires", John Sturges réunit un groupe de monstres sacrés du septième art, Charles Bronson, Richard Attenborough, James Garner ou encore Steve McQueen, certainement dans l’un de ses meilleurs rôles, viennent donc se partager l’affiche. Avec un casting aussi impressionnant le plus grand danger était que certains tirent la couverture à eux mais il n’en est rien grâce à la direction d’acteurs exemplaire de Sturges et la psychologie des personnages de cette histoire vraie (mais refondue pour le cinéma). Un scénario parfaitement bien ficelé se concentrant donc autant sur ses personnages via des scènes comiques et dramatiques que sur le divertissement grâce à l’élaboration de l’évasion et la course-poursuite haletante qui s’en suit. Avec près de 3 heures au compteur, "La Grande Evasion" est le genre de classique qui ne prend pas une ride et dont l’ennui est toujours exempt. A découvrir absolument ou à revisionner sans attendre.
Quel titre ! Quelle grande évasion ! On ne va rien spoiler, mais ce long film nous tient en haleine de plus en plus au fur et à mesure qu'arrive l'heure fatidique. Sa longueur permet de s'attacher ou découvrir des personnalités parmi les deux cents cinquante complotistes, chaque prisonniers est parfaitement joué par un casting propre. Après deux heures en prison, l'évasion est sympathique, ce qui suit est pas mal non plus. Terrible histoire vraie.
Une des plus grandes pompes à fric du cinéma américain des années soixante. La MGM avait réuni tous les ingrédients pour faire de ce film un succès planétaire : elle y est parvenue et rien qu'en FRance on a enregistré plus de 8 millions d'entrées en salles ! Presque trois heures de spectacle pour les aficionados US qui comme on le sait achètent les pellicules au kilo,et en Cinémascope, deux scénaristes hors pair qui ne se sont pas trop fatigués du point de vue imagination (c'est une histoire vraie) et des stars de l'écran. Ces derniers ont tous beau faire : c'est Steve McQueen qui remportera tous les suffrages et la vedette de cette superproduction à la sauce fast-food ! Cette aventure est aujourd'hui quinquagénaire (2016) mais gageons que comme "la grande vadrouille", ce n'est pas sa dernière projection. A voir, sauf si comme moi vous finissez par le connaître par coeur ! willycopresto
Ce classique de bientôt 50ans d'âge est sans doute moins impressionnant qu'à son épôque. Il n'en demeure pas moins que cette passionnante histoire d'évasion, inspirée de faits réels, captive toujours. Malgré quelques longueurs, les scènes de préparations de la fameuse évasion se suive avec intérêt. La mise en scène de John Sturges fait montre d'un certain savoir-faire. Le casting est très solide avec beaucoup de stars de l'épôque. Les personnages sont nombreux et ont à peu près une égale importance. Avec son personnage, Steve McQueen parvient néanmoins à voler la vedette à son monde notamment dans le final avec cette fameuse poursuite en moto et cette célèbre cascade devenue culte. Un grand film de cette épôque, dans la lignée du « pont de la rivière kwai » ou « des 7 mercenaires » qu'il faut avoir vu.
Très très bon ce film ! Depuis le temps qu'on me le conseille, je n'ai absolument pas été déçu par La Grande Evasion, aussi culte qu'on le dit. Même si le scénario ne casse pas des briques (attention jeu de mot inside), la façon avec laquelle il est traité est géniale. Le film regorge d'humour, on en a à la pelle (oui je sais...), mais surtout d'une multitude de personnage excellents avec qui on passe presque 3 heures sans jamais s'ennuyer. Le personnage de Steve McQueen (acteur que j'ai découvert en même temps que le film) est un pur bijou d'humour, grâce bien sûr à son interprète qui nous fait marrer avec sa dégaine, ses répliques, son gant de baseball, son grand sourire qui cache une certaine insolence et son irrépressible envie de s'évader. Même si le film joue beaucoup sur l'humour, il n'en demeure pas moins un excellent récit à propos de la Seconde Guerre Mondiale et surtout de l'évasion en elle-même, puisqu'une très grande partie du film se concentre presque exclusivement sur le creusement de tunnels sous terre. Pas évident de passionner un spectateur avec ça, mais John Sturges y parvient à merveille. La dernière partie du film (après l'évasion) a été inattendue pour moi qui croyais qu'il stopperait juste après l'évasion par le tunnel. Le film est beaucoup centré sur l'évasion du camp, si bien qu'on en oublierait presque la fuite du pays. La fin du film est encore une fois teintée d'humour ("Good luck ! - Thank you :D"), et ne nous laisse pas sur notre faim. Et pour conclure, que dire de la musique cultissime à souhaits ? J'ai adoré.
Bonjour Un plaisir de revoir se grand film ou les faits sont réel et quelle histoire pour cette évasion pendant la 2eme guerre mondiale Un casting de rêve pour u grand film d aventure humaine A voir absolument.... ou a revoir pour le plaisir ( 3 h )