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Frédéric M.
184 abonnés
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2,5
Publiée le 16 octobre 2020
Le film se veut finalement captivant grace à l'immersion dans le quotidien d'une vie indienne. On n'épargne pas quelques clichés et l'histoire demeure en bonne partie prévisible. Les acteurs sonnent justes, et la reconstitution du cadre bien maitrisée. Intéressant
Un western dit "inversé" dans le sens où il s'intéressait plus à nous faire découvrir la vie et les coutumes du peuple Amérindien. Un concept en soi révolutionnaire dans les 70's et qui demeure encore aujourd'hui assez intéressante. Enfin, il aurait pour ça nous offrir un film au scénario un peu moins conventionnel et se reposant trop sur une trame dénuée de surprises. Encore maintenant, le film est réputé pour la scène montrant la fameuse danse du soleil, rituel initiatique qui provoque un sentiment diffus. La mise en scène est assez réussie, avec des plans majestueux de cette belle nature mais j'ai peiné à m'intéresser aux personnages, même si l'accent est largement mis sur la vie de tous les jours. Sauf que R. Harris ne peut s'empêcher d'en faire des caisses et l'ennui pointe finalement le bout de son nez. Un film qui ne recule pas devant une bonne dose de sauvagerie mais qui s'avère parfois un brin confus et qui ne peut s'empêcher de faire avancer son récit à un rythme un poil trop inégal, avec des ellipses trop brutales. Pas dénué d'intérêt mais un poil décevant et manquant parfois d'intérêt à force de trop coller aux conventions d'un récit balisé. D'autres critiques sur
Un film qui avait eu à son époque une bonne critique égale à celle qu'allait recevoir plus tard danse avec les loups . Le film a quand même mal vieilli notament les faux acteurs indiens avec des perruques grotesques. Même si il y a eu une véritable tribut indienne qui a fait de la figuration, les acteurs principaux sont rarement indiens: la mère de main jaune (Judith Anderson) ou sa soeur( Corinna Tsopei qui est grecque, miss univers 1964) et qq autres . Une autre chose critiquable est que ce blanc qui vit chez les indiens et qui veut devenir un guerrier, n'a pas l'air intéressé d'apprendre la langue. Le film reste cependant un incontournable si ont s'intéresse aux coutumes indiennes et à l'histoire du cinéma du genre western.
Un Western original venant d'un studio indépendant réalisé par Elliot Silverstein qui parle d'un chasseur Britannique qui se fait enlevé par des Indiens et c'est là que ça devient interressant puisqu'il est d'abord prisonnier qui tente un temps de s'enfuir puis adhère à cette communauté et passe des épreuves rituelles pour se marier. Ce film est une réussite là ou Jan Kounen avait échoué en 2004 avec "Blueberry l'expérience secrète" par exemple, les rituelles sont un peu dur à visionner mais c'est crédible (du moins mon point de vue). Il y a aussi très peu de dialogues Anglais à part ce qui sort de la bouche du héros et un guide Indien. La mise en scène vieillit bien et on peux voir des superbes paysages. Richard Harris incarne "Un homme nommé cheval", l'apprenti Indien, avec un jeu d'acteur comme un animal dans sa gestuelle et sa silhouette. La jeune Indienne qu'il épouse est très jolie. Un film peut ètre méconnu qui mérite attention.
Un film assez unique sur la vie sociale et spirituelle des sioux, mettant en avant les rites et les coutumes de ce peuple indien . Richard Harris y campe un lord anglais, capturé et puis peu à peu intégré à ce mode communautaire, constituant la trame principale de cette œuvre réalisée par Elliot Silverstein . A découvrir pour les amoureux du genre .
Quel dommage que la mise en scène soit par moment si mauvaise ( zooms intempestifs, mauvais raccords, cadrages approximatifs et n’importe quoi sur les rêves) car ce film unique contient de bien belles é dans les années 1820 , il a le grand mérite, malgré de nombreux détails sans fondements historiques, de nous faire revivre la vie dans un village Sioux en guerre avec ses voisins Shoshones. C’est presque un documentaire fiction politiquement engagé et le voir me parait indispensable pour tous les amateurs de westerns. Richard Harris y est remarquable avec Jean Gascon si connu des canadiens et qui laissera son image à la postérité grâce à son rôle d’interpréte fou. Le choix de ne pas avoir sous titré les dialogues indiens est une bonne idée. Par contre, on comprend mal qu'après plus de 12 mois passés ensemble ‘John’ ne soit pas capable de mieux s’adapter à la langue et même de dire quelques phrases. La cérémonie de la ‘’danse du soleil’’ dont parle James Stewart dans ‘’les deux cavaliers’’ est parfaitement réussie à cela prêt qu’elle s’adressait à des adolescents bien plus légers. Le rituel de la ceinture d’ours est assez flou et aurait mérité de s’y attarder davantage. Quoi qu’il en soit, merci à Silverstein pour son travail de reconstitution et son scénario agréable qui évite l'ennui..
Un film inattendu, puisque c'est une sorte de périple d'entomologiste (rêvé ou non, mais ça fait vrai) sur la vie des Sioux bien avant le très beau "Danse avec les loups". J'essaierai de le revoir rapidement sur DVD, mais à l'époque, ce film m'avait fait forte impression, ne serait ce que par la scène hallucinée de l'initiation du cheval vers le guerrier indien libre dans un territoire sauvage. Tout ce dont plus personne ne bénéficie, je sais, il y a de nouveaux avantages, mais si la reprise économique ne fait plus travailler que des petits chinois, certains réacs ou anarchistes ne manqueront pas d'essuyer des larmes de nostalgie sur ce film engagé et assez fort sinon original dans l'Amérique des seventies.
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3,5
Publiée le 6 juillet 2016
Avant tout une interprètation forte de Richard Harris qui fait preuve ici de courage dans une histoire d'initiation ècologique particulièrement cruelle pour un public biberonnè aux westerns avec John Wayne! En 1821, Lord Morgan, un aristocrate anglais en expèdition de chasse dans le territoire sauvage du Dakota, est capturè et rèduit en esclavage par des Sioux, les Yellow Hand! il reçoit le nom de « Shunkawakan » qui signifie « cheval » . Sa bravoure au combat lui vaut d'être adoptè comme membre de la tribu! Cinq ans durant, « l'homme nommè cheval » fut un Yellow Hand et s'èpanouit au sein de leur vie tribale et spirituelle! La bande son est constituèe de musiques traditionnelles et ce fut l'un des premiers westerns qui donna une image rèaliste d'une communautè indienne, loin des sauvages habituellement dècrits! A savoir que ce film culte a fait l'objet de deux bonnes suites, l'une en 1976 avec "The Return of a Man called Horse", et l'autre en 1982, avec "The Triumphs of a Man called Horse". Un essentiel du genre...
Film intéressant car on découvre le quotidien de la vie du Sioux (vie à la dure). Traditions et société indienne, réalisation avec de beaux plans de paysages (et plusieurs scènes psychédéliques enfin inspirée). Tout sonne vrai et pour cause (les personnages sont de vrais Sioux). La fin avec l'attaque de la tribu ennemie est très réussies.
je ne suis pas fan de western, et celui-ci ne ne me fait pas changer d'avis. même si les costume et les décors sont fabuleux, je me suis ennuyer. l'histoire est sans intérêt, et certaines scènes sont irréaliste. franchement le film est sauvé et vaut la peine uniquement pour la beauté des décors de l'époque. à voir si on aime les westerns. pas mon style. 10/20.
Si le début du film laisse franchement à désirer, de par sa lenteur et sa naïveté, le reste n'en reste pas moins de très bonne qualité. Filmé presque comme un documentaire, il présente de fort beaux paysages, des images tout à fait dépaysantes, et surtout une point de vue inhabituel de l'indien, qui ici, même s'il n'a pas tout à fait le beau rôle, n'est plus traité de la manière qu'il l'était lors de l'âge flamboyant du western. C'est vrai que le choix d'utiliser de réels indiens en tant qu'acteurs n'était pas forcément une bonne idée, car ils donnent au film un ton presque faux par moment, et que Richard Harris n'a pas l'air à l'aise dans son rôle, mais bon, c'est au final un film assez unique, et qui possède une Bo magistrale, à couper le souffle.
Précurseur d'un genre et début d'une série de long métrage montrant autre chose que des cow-boy qui se tirent dessus. On est ici en présence d'un western New-age du côté des indiens et vu de l'intérieur, par l'intermédiaire d'un prisonnier anglais. UN scénario très fleur bleu et qui vieilli mal mais reste un des classiques du genre.
Beau western, Un homme nommé cheval fût l'un des premiers à s'inscrire dans un contexte humaniste ou les indiens ne sont plus d'anonymes silhouettes à descendre . Pourtant réalisé par un inconnu, le film surprend par la modernité de sa réalisation et part le côté crue de certaines scènes ( Harris soulevé par des crochets) s'offrant même une bataille finale plutôt impressionnante. Richard Harris fut aussi un des éléments majeurs du succès du film en n'hésitant pas à s'impliquer et physiquement et émotionnellement dans ce rôle de lord Anglais devenu sioux.
Zzz. Quel ennuie. Bon, le film est un peu un Danse avec les Loups des 70', mais contrairement à celui de Costner qui dure 3 fois plus longtemps, je me suis bien fait chier devant "Un Homme nommé cheval". Il y a par contre des bonnes idées de mise en scène et une belle performance de Richard Harris. Mitigé. Très Mitigé.