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Dynastar21
36 abonnés
438 critiques
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3,0
Publiée le 24 mai 2020
Globalement déçu par ce film. Je m'attendais surement à mieux et avec plus de rythme ; il a peut-être (trop) vieilli également. Malgré tout l'esthétique classique me plaît et la classe de Steve McQueen, ainsi que la beauté brute de Faye Dunaway assurent l'homogénéité de l'ensemble. Le tout est sublimé par l'agréable bande originale de Michel Legrand que je découvre seulement avec ce film, et notamment sa très jolie chanson du générique "Les moulins de mon cœur" (the windmills of your minds en version originale). L'utilisation assez novatrice (au cinéma) de la technique de "l'écran-splitté" annonce le style très seventies sachant que le film est sorti en 1968. Le principal défaut du long-métrage en fait, est qu'on a souvent l'impression de regarder un long spot publicitaire et que le scénario semble avoir été mis de côté. Par rapport au contexte de l'époque, je trouve par contre, remarquablement bien exécuté de suggérer la sexualité et le désir entre nos deux personnages tout en restant très pudique,spoiler: à l'image de cette scène de partie d'échecs sensuelle . Enfin moi qui suis un grand fan de Steve McQueen, je reste interloqué de savoir que c'est le rôle qu'il aurait préféré durant toute sa carrière alors que ce n'est, d'après moi, pas sa meilleure interprétation, loin de là.
Version élégante et pleine de malice du jeu du chat et de la souris, l'Affaire Thomas Crown a grandement contribué à mythifier les figures de Faye Dunaway et Steve McQueen, tous deux impeccables dans ce jeu de séduction sur fond d'intrigue policière, le tout agrémenté de sous-entendus sacrément piquants pour l'époque. L'emploi du split-screen, pratique encore neuve à l'époque, accuse un peu les effets du temps, mais pour le reste, si le sujet policier est plutôt sommaire, la mise en scène est pétrie de clinquant et de précision, la musique envoûtante et les acteurs sont parfaits. Un film toujours aussi savoureux avec cinquante ans de recul.
Bonjour et oui il s agit ici de ma premiere critique de films sur ALLOCINE il faut bien commencer un jour donc l affaire thomas crown est selon moi le plus beau le plus romantique film du cinema americain le pendant en quelque sorte d un homme et une femme mc queen et dunaway sont magiques la musique idem meme si la forme prime ici sur le fond mais quelle inventivité.
Avis personnel. Il s'agit là d'un film de belle facture avec des comédiens qui connaissent leur métier. L'histoire est claire, précise, bien montée et avec ce qu'il faut de suspense, le tout bien mis en valeur par une mise en scène rigoureuse... mais manquant de souffle pour moi. Mélange de policier et de romance, celle-ci vaut surtout par le jeu du chat et de la souris auquel se livrent les deux héros, avec beaucoup de finesse parfois, de dits et de non-dits exprimés seulement par les attitudes et les regards. Dommage pour moi: la seconde partie souffre de trop de longueurs trop pénibles à supporter. Une fin à laquelle je ne m'attendais pas termine toutefois le film sur une très bonne note.
Ce film a très mal vieilli. Le titre nous laisse supposer une intrigue importante ou une histoire qu'il va falloir déméler, or il n'en est rien. La jeune femme devine rapidement qui est le coupable, juste sur une impression et leur relation après est mal interprètée par ces acteurs froids. De plus, le réalisateur semble n'avoir rien à dire : le film est assez court (1h24) et ponctuée de remplissages (scènes de polo ou en véhicule sur la plage). Le remake de 1999 avec Pierce Brosnan est vraiment meilleur et moins ennuyeux.
De bonnes choses et des moins bonnes, c'est d'abord un film d'acteurs et si McQueen ne se fatigue pas de trop, Faye Dunaway parvient à illuminer le film mais seulement dans certaines scènes, dont la fabuleuse partie d'échecs. L'aspect thriller est très inégal, car si le casse est excellent, l'enquête de Dunaway apparait peu crédible et entachée de séquences peu claires. Cela reste néanmoins un assez bon film qu'il convient toutefois de ne pas surestimer, mais qui vaut bien mieux que son remake avec Brosnan. Quant à la bande son, elle est excellente, n'en déplaise aux esprits chagrins
Ce film a un gros problème qui, aujourd'hui, lui est fatal. Ce problème c'est que le duo Steve McQueen/Faye Dunaway est en réalité l'arbre qui cache la forêt. En effet, cette "Affaire Thomas Crown" est incroyablement vide et n'a, subséquemment, absolument rien à nous proposer. Pourtant, bien que porté par un rythme faiblard, le début laissait présager un honnête petit polar. Mais tout éclate en vol dès que Faye Dunaway se pointe. A partir de là, on envoie tout paître. L'intrigue, plus rien à secouer. La seule chose qui compte désormais, c'est le duo glamour et son jeu de séduction franchement gonflant. D'ailleurs, ce duo ne fonctionne pas du tout. McQueen donnant l'impression de s'ennuyer comme un rat mort et Dunaway, pourtant remarquable actrice, est complètement à côté de ses godasses. Et ça n'est pas cette partie d'échecs ou cette scène du biser accompagnée d'une musique effroyable (désolé Mr. Legrand) qui vont changer la donne. Circulez, y a rien à voir !
Pas réellement convaincu par l’histoire, qui ne décolle jamais vraiment, le rythme n’aide pas qui plus est, l’intérêt étant bien plus centré sur le jeu que se livrent McQueen et Dunaway, qui démarre avec cette tension sexuelle assez intense lors de la scène des échecs puis continue jusqu’à la résolution du film qui annoncera son vainqueur, de quoi rester sur une bonne impression. Mais je trouve que tout ça manque de percussion et d’intensité, malgré une bande originale entrainante de Michel Legrand.
Sorti en 1968, ce faux polar intelligent et racé fit gagner au compositeur français Michel Legrand son premier Oscar – si l’on a retenu la célèbre chanson du générique The windmills of your mind / Les moulins de mon cœur, c’est l’ensemble de la bande originale qui est superbe. Porté par un duo d’une élégance rare, Steve McQueen et Faye Dunaway, ce film connu pour son utilisation du split-screen surprend par l’espièglerie d’un scénario qui prend le prétexte d’un braquage – par ailleurs remarquablement mis en scène – pour nous embarquer dans une œuvre où priment l’atmosphère et un certain érotisme diffus. Très agréable.
Voilà un film de bonne réputation, dirigé par le metteur en scène de La chaleur de la nuit, qui nous avait séduit dans les années 60, . Malheureusement, on sent lourdement le poids des années. On a vu depuis beaucoup mieux pour faire un braquage, soit en sophistication technique, soit en violence spectaculaire. Le montage en écrans découpés fait aussi daté, et si l'on reconnait très vite la musique de Legrand, elle n'est pas restée pour autant dans les mémoires. Reste un beau face-à-face, prévisible entre Macqueen et la belle Dunaway et la conclusion que l'argent qui ne suffit pas à rendre heureux. Cet argent qui comme le sel, qui donne du gout aux aliments, mais boire de l'eau salée n'a jamais étanché la soif. Le spectareur, lui, reste sur sa faim. DVD1 vo - janvier 2019
On a ici l’invention de l’enquête policière sensuelle (voire sexuelle). Jewison avait déjà inventé la fameuse scène d’interrogatoire d’ « instinct basique » sauf qu’ici c’est une partie d’échec. Une vraie partie chaude et même torride pour les sens du spectateur.... Le film a un charme fou, le couple est glamour à souhait et la partie démaillage de l’enquête utilise cette séduction très habilement jusqu’au final tour a fait malicieux !!!!!
« L'affaire Thomas Crown » est un très grand classique, qui a particulièrement bien vieilli et qui se révèle fort agréable à redécouvrir, même 50 ans après sa sortie. Il faut dire que la mise en scène de Norman Jewison (« Huricane Carter », « Dans la chaleur de la nuit » etc...) est un modèle du genre et que la qualité de l'intrigue interdit le moindre ennui au spectateur. On suit donc avec passion les étonnantes péripéties de ce Thomas Crown, milliardaire et gentleman cambrioleur, inlassablement poursuivi par une bien jolie enquêtrice dépêchée par les assurances. Le couple qu'ils forment est d'ailleurs particulièrement glamour, d'autant qu'il est interprété par deux des plus grandes stars de l'époque, Steve McQueen et Faye Dunaway (excusez du peu!). Ces deux acteurs mythiques démontrent que leur réputation n'est pas du tout usurpée en délivrant une splendide prestation, pleine de charme et de délicatesse. C'est donc à une très belle œuvre Hollywoodienne, au sens positif du terme, que je vous invite aujourd'hui. Elle reste d'ailleurs très au dessus de son remake, réalisé en 1999 par John McTiernan et qui paraît bien fade en comparaison. Et puis il y a la sublime bande originale, signé Michel Legrand, qui est un bonheur pour les oreilles et qui vaudra un Oscar, tout à fait légitime, à son auteur. Un film magnifique, que je conseille sans modération !
LE film à voir, revoir , et revoir .... Pour moi c'est LE chef d'oeuvre de Steve McQueen et Faye Duneway. Il faut se procurer le DVD, car le film mérite d'être vu non seulement en VO donc Anglais, mais aussi en français, en Italien et même en japonais : dans toutes ces langues il a été parfaitement bien doublé, et c'est un pur régal !!!
C'est une oeuvre majeure d'humour, de jeu d'acteur, de classe. Le scénario parfait.
Et puis la musique de Michel Legrand est aussi un pur bijou qui emballe le film comme un paquet cadeau qu'on n'ose pas ouvrir tellement il est beau.
On déconnecte. On lâche prise . On rêve .... Mmmmmm !!!! :)
Même si l'histoire du gentleman cambrioleur est toujours intéressante, il faut reconnaître que le film a vieilli. Tant dans son rythme que dans son montage. Reste malgré tout, une BO géniale, la plus belle scène d'échec du cinéma et un jeu du chat et de la souris assez savoureux.