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Un visiteur
2,0
Publiée le 1 novembre 2016
Un film trop commercial avec des belles stars glamours bien propres sur elles, un univers de paillettes et de luxe ou encore un montage bien Kitsch pur 60's pour un film qui finalement n'est ni percutant ni surprenant.
mouais... j'ai toujours trouvé que Steve mac queen avait vraiment l'allure d'un parfait benêt, et Faye Dunaway m'a toujours agacé, donc je pouvais difficilement mettre plus à ce film.
Après je peux comprendre le trip 70's et donc que certaines personnes accrochent à cette production certes au dessus des productions moyennes de l'époque.
Mais personellement je reste sur mon bon vieux remake de John mactiernan, que je trouve bien supérieur.
PS je l'avais lu avant mais c'est vrai que la BO est vraiment pourrie de chez pourrie
S'il y avait eu quelques subtilités dans l'enquête menée par Faye Dunaway, le film aurait pu être bien moins ennuyeux. Mais dés la fin du cambriolage on assiste à un reportage sans aucun intérêt sur de riches américains qui passent leur temps à polluer les plages en buggy, à boucher les trous au golf et à cambrioler des banques La musque est aussi atroce que l'image. A réserver aux spectateurs qui aiment regarder les photos de stars ou les émissions de télé qui les présentent à longueur de temps sur nos antennes vides d'intérêt.
Un film qui a du charme, esthétiquement réussi, porté surtout par les deux acteurs principaux, mais dont le scénario est assez pauvre finalement. La partie d'échec la plus érotique du cinéma sans doute. Le split screen n'est pas une réussite selon moi mais le film n'en abuse pas, heureusement...
Film manquant de rythme par moment, des scènes qui devraient nous envouter, ennuis au final par manque de rythme (la scène du jeu d'éhec par exemple). Reste une mise en scène solide (même si le slipt scream a mal vielli) et de bons acteurs. Dans la soirée, j'ai aussiregardé le remake que je trouve pour ma part supérieur à l'original.
voila un superbe film avec une musique génial de michel legrand, steve mcqueen est un acteur fabuleux, le scénario n'est pas mal non plus, les dialogues et bien je pense que l'actrice principale a les meilleurs dialogues, les personnages secondaire sont bien aussi dommage que le personnage de yaphet kotto n'est pas était travailler un peu plus.
Tout n'est qu'aisance et volupté dans ce film pop, stimulant, ludique et terriblement sensuel, grâce au couple Steve McQueen/Faye Dunaway qui ne laissent rien deviner de leur royale détestation sur le plateau. Ou quand l'intelligence est sexy...
Un holdup original où aucun des protagonistes ne se connaît démarre ce film dans lequel Steve Mc Queen domine l’image avec sa décontraction habituelle. La bande son soignée sublime l’esthétique de la mise en scène et du jeu multi-écrans. Après 55 ans, cette œuvre apporte toujours du plaisir.
Il y a quelques bonnes scènes, mais dans l'ensemble, je ne l'ai pas trouvé terrible, trop lent et une façon de filmée innovante mais peu attrayante. La BO ne m'a plus non plus. Il y a pourtant un intérêt à le voir pour les quelques répliques et rares scènes reprises dans son remake, que j'ai de loin préféré (de John McTiernan avec Pierce Brosnan et Rene Russo).
D’habitude je ne suis pas particulièrement sensible au côté glamour d’un film mais comment résister aux charmes du couple Faye Dunaway Steve McQueen. J’ai rarement vu deux acteurs aussi sublimes et aussi classe a l’écran, ils électrisent chaque scène où ils apparaissent et la tension entre eux est palpable (et pas seulement au cour de la chaude partie d’échec). Steve McQueen réussit même l’exploit de paraître classe en portant un peignoir orange !!! A part ce côté glamour l’affaire Thomas Crown est un jeu de chat et de la souris qui démarre avec une des meilleures scènes de braquage du cinéma. Norman Jewison déjà derrière la caméra du toujours génial Rollerball, donne un film policier vif, dynamique et sexy en diable. Même la musique de Michel Legrand est supportable c’est dire si ce film passe pour un petit miracle.
Voilà un film de bonne réputation, dirigé par le metteur en scène de La chaleur de la nuit, qui nous avait séduit dans les années 60, . Malheureusement, on sent lourdement le poids des années. On a vu depuis beaucoup mieux pour faire un braquage, soit en sophistication technique, soit en violence spectaculaire. Le montage en écrans découpés fait aussi daté, et si l'on reconnait très vite la musique de Legrand, elle n'est pas restée pour autant dans les mémoires. Reste un beau face-à-face, prévisible entre Macqueen et la belle Dunaway et la conclusion que l'argent qui ne suffit pas à rendre heureux. Cet argent qui comme le sel, qui donne du gout aux aliments, mais boire de l'eau salée n'a jamais étanché la soif. Le spectareur, lui, reste sur sa faim. DVD1 vo - janvier 2019
Globalement déçu par ce film. Je m'attendais surement à mieux et avec plus de rythme ; il a peut-être (trop) vieilli également. Malgré tout l'esthétique classique me plaît et la classe de Steve McQueen, ainsi que la beauté brute de Faye Dunaway assurent l'homogénéité de l'ensemble. Le tout est sublimé par l'agréable bande originale de Michel Legrand que je découvre seulement avec ce film, et notamment sa très jolie chanson du générique "Les moulins de mon cœur" (the windmills of your minds en version originale). L'utilisation assez novatrice (au cinéma) de la technique de "l'écran-splitté" annonce le style très seventies sachant que le film est sorti en 1968. Le principal défaut du long-métrage en fait, est qu'on a souvent l'impression de regarder un long spot publicitaire et que le scénario semble avoir été mis de côté. Par rapport au contexte de l'époque, je trouve par contre, remarquablement bien exécuté de suggérer la sexualité et le désir entre nos deux personnages tout en restant très pudique,spoiler: à l'image de cette scène de partie d'échecs sensuelle . Enfin moi qui suis un grand fan de Steve McQueen, je reste interloqué de savoir que c'est le rôle qu'il aurait préféré durant toute sa carrière alors que ce n'est, d'après moi, pas sa meilleure interprétation, loin de là.
De bonnes choses et des moins bonnes, c'est d'abord un film d'acteurs et si McQueen ne se fatigue pas de trop, Faye Dunaway parvient à illuminer le film mais seulement dans certaines scènes, dont la fabuleuse partie d'échecs. L'aspect thriller est très inégal, car si le casse est excellent, l'enquête de Dunaway apparait peu crédible et entachée de séquences peu claires. Cela reste néanmoins un assez bon film qu'il convient toutefois de ne pas surestimer, mais qui vaut bien mieux que son remake avec Brosnan. Quant à la bande son, elle est excellente, n'en déplaise aux esprits chagrins
Innovant pour son époque, avec des effets de mise en scène inédits, le film a vu sa modernité de surface se retourner contre lui et son orgie de split screens est devenue complètement indigeste. Sa modernité est ailleurs : dans un sens du rythme impressionnant pour l’époque (le montage de Hal Ashby, réalisateur de Harold et Maude, est particulièrement efficace, malheureusement plombé par des effets visuels ultra kitsch), dans une tension sexuelle assez osée (jusqu’à un baiser torride, qui détenait alors le titre du plus long baiser de cinéma) et dans le charisme de Steve McQueen et Faye Dunaway. Le vrai plaisir du film, qui aurait pu rester très anecdotique sans eux, c’est bien cette rencontre entre deux charismes, ce choc des icônes, qui changent de tenue à chaque scène et réussissent à mettre de l’érotisme dans une partie d’échecs (incroyable scène !). Rien que pour eux, et pour une histoire plutôt agréable à suivre, quand même, le film vaut largement le détour, malgré ses aspects les plus datés.
Riche chef d’entreprise, Thomas Crown ne vit plus que pour le jeu, la conquête et la sensation forte, en affaires, en sport ou en femmes. Cet état d’esprit lui fait organiser les méticuleux rouages bien huilés d’un braquage de banque. Police, banque et assurances engagent une enquêtrice non moins dépourvue d’état d’âme, tourbillonnant désormais autour du suspect dont l’étau semble se resserrer chaque jour un peu plus. Froideur contre séduction, calcul contre intuition, les deux protagonistes s’affrontent pourtant sur bien des terrains communs : mystification, sensualité, appât du gain, manipulation, promettant au vainqueur la plus belle couronne de l’immoralité civile. Ce duel tacticien de 1968, que je n’avais toujours pas vu, permet de mesurer l’anachronisme, le décalage et la péremption presque amusante de ce qui était censé impressionner le public à l’époque. Peut-on imaginer aujourd’hui des banques sans surveillance, des systèmes sans électronique, des passagers aériens sans fouille de bagages ou de corps, ce flot d’indices grossiers aveuglant pourtant la Police, tant de lenteurs et de désynchronisation naitre de l’absence de téléphone, la liste est longue de ce qui fait plutôt sourire de nos jours. L’intérêt se reporte donc sur le plaisir de revoir Steve Mac Queen et Faye Dunaway au mieux de leur forme, dans cette agréable partie d’échecs entre deux intelligences froides pleines de non-dits, de pièges, de frissons et ce mariage salé-sucré entre attirance et antagonisme.