Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Gilles Chevalier accumule les scènes paroxystiques, il entrecroise les tonalités avec un aplomb sympathique à défaut d'être toujours convaincant. Son film finit par ressembler à ses personnages, claudicants et héroïques au terme d'un effort surhumain et un peu absurde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Si l'idée-prétexte de la course intrigue, et l'angle semi-documentaire en réhausse l'intérêt, le résultat final reste décevant. Le réalisateur manie mal ses bribes d'histoires téléphonées, multipliant de longs plans censément signifiants mais pratiquement lents.
Pointant avec justesse le côté dérisoire du sport (...) Chevalier se montre moins inspiré côté fiction, avec des portraits où la chaleur le dispute à un pathétique un peu appuyé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Gilles Chevalier, dont c'est le premier long métrage de fiction, filme la pauvreté qui pousse au dépassement de soi, s'attarde sur la performance physique et s'égare dans une fumeuse histoire d'inceste. On perd le fil.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Gilles Chevalier accumule les scènes paroxystiques, il entrecroise les tonalités avec un aplomb sympathique à défaut d'être toujours convaincant. Son film finit par ressembler à ses personnages, claudicants et héroïques au terme d'un effort surhumain et un peu absurde.
MCinéma.com
Si l'idée-prétexte de la course intrigue, et l'angle semi-documentaire en réhausse l'intérêt, le résultat final reste décevant. Le réalisateur manie mal ses bribes d'histoires téléphonées, multipliant de longs plans censément signifiants mais pratiquement lents.
Première
Pointant avec justesse le côté dérisoire du sport (...) Chevalier se montre moins inspiré côté fiction, avec des portraits où la chaleur le dispute à un pathétique un peu appuyé.
L'Obs
Gilles Chevalier, dont c'est le premier long métrage de fiction, filme la pauvreté qui pousse au dépassement de soi, s'attarde sur la performance physique et s'égare dans une fumeuse histoire d'inceste. On perd le fil.