Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Comment prendre de la distance avec un sujet si proche de soi ? Le film n'apporte pas de réponse concluante. Car toute la réflexion que génère le projet est passionnante. Il y a la manière de filmer et de livrer une intimité. Et l'abolition des frontières entre fiction et documentaire (...).
Cine Libre
par Jean-Max Méjean
(...) elle réussit ainsi un coup de maître : lorsque le film se termine, nous sommes presque tristes de les quitter, de laisser Manon dans ce train qui l'éloigne de Greg (on entend même ses sanglots off), car la séparation est difficilement supportable à vivre ou à voir et, dans ce cas, elle est présente deux fois : vécue et montrée.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
Le génie de la cinéaste est de se mettre exactement où il faut et de ne garder que l'essentiel, le quotidien, le banal d'un amour extraordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Emile Breton
Par-là le film parle tout autant de celle qui filmait que de ceux qu'elle regardait vivre. C'est bien ce qu'il a de poignant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Marie-Noelle Tranchant
(Claire Simon) nous a au charme, et trouve la juste distance, légère et jamais indiscrète, pour observer cet amour adolescent, simple et sérieux, tranquillement niché dans l'été quotidien.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Plus que son histoire, c'est le dispositif singulier de la cinéaste qui fait l'intérêt de ce film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Olivier De Bruyn
Les personnages ont beau être "réels", ils se mettent fréquemment en scène sous l'oeil de la caméra (DV), et cette représentation-là vaut mieux que nombre de reportages télé consacrées à cette tranche d'âge.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
800 km... devient alors une ode à l'invention, à l'utopie amoureuse. On n'est pas sérieux quand on a 17 ans, oui, mais le temps d'un été, le temps d'un film, on aura au moins réussi à construire un territoire pour l'amour et un autre pour le cinéma (et pour Maman).
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
(...) la cinéaste voudrait comprendre. Son film-symptôme montre qu'elle n'y parvient pas. L'amour de Manon et Grégory a des raisons que Claire Simon ignore.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On sent que ce qui occupe la cinéaste, c'est aussi bien la distance qui sépare leur rêve de la réalité que celle qu'il lui faut trouver entre sa caméra et les protagonistes. C'est sur ce dernier point que le film achoppe, le regard de la cinéaste étant sans doute trop occupé à maintenir à distance celui de la mère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Il y a trop d'affects pour qu'il puisse en sortir des bribes de vérité documentaire, dont la première caractéristique est la spontanéité. Pourtant, l'angle ne semble perturber personne : apparemment pris au jeu, les jeunes se livrent.
La critique complète est disponible sur le site MCinéma.com
Télérama
par Isabelle Fajardo
Même si 800 Kilomètres de différence ne possède pas le souffle héroique d'un Coûte que coûte, on est fasciné d'arpenter ainsi le théâtre des sentiments adolescents.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Comment prendre de la distance avec un sujet si proche de soi ? Le film n'apporte pas de réponse concluante. Car toute la réflexion que génère le projet est passionnante. Il y a la manière de filmer et de livrer une intimité. Et l'abolition des frontières entre fiction et documentaire (...).
Cine Libre
(...) elle réussit ainsi un coup de maître : lorsque le film se termine, nous sommes presque tristes de les quitter, de laisser Manon dans ce train qui l'éloigne de Greg (on entend même ses sanglots off), car la séparation est difficilement supportable à vivre ou à voir et, dans ce cas, elle est présente deux fois : vécue et montrée.
Fluctuat.net
Le génie de la cinéaste est de se mettre exactement où il faut et de ne garder que l'essentiel, le quotidien, le banal d'un amour extraordinaire.
L'Express
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L'Humanité
Par-là le film parle tout autant de celle qui filmait que de ceux qu'elle regardait vivre. C'est bien ce qu'il a de poignant.
Le Figaroscope
(Claire Simon) nous a au charme, et trouve la juste distance, légère et jamais indiscrète, pour observer cet amour adolescent, simple et sérieux, tranquillement niché dans l'été quotidien.
Les Inrockuptibles
Plus que son histoire, c'est le dispositif singulier de la cinéaste qui fait l'intérêt de ce film.
Première
Les personnages ont beau être "réels", ils se mettent fréquemment en scène sous l'oeil de la caméra (DV), et cette représentation-là vaut mieux que nombre de reportages télé consacrées à cette tranche d'âge.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
800 km... devient alors une ode à l'invention, à l'utopie amoureuse. On n'est pas sérieux quand on a 17 ans, oui, mais le temps d'un été, le temps d'un film, on aura au moins réussi à construire un territoire pour l'amour et un autre pour le cinéma (et pour Maman).
Chronic'art.com
(...) la cinéaste voudrait comprendre. Son film-symptôme montre qu'elle n'y parvient pas. L'amour de Manon et Grégory a des raisons que Claire Simon ignore.
Le Monde
On sent que ce qui occupe la cinéaste, c'est aussi bien la distance qui sépare leur rêve de la réalité que celle qu'il lui faut trouver entre sa caméra et les protagonistes. C'est sur ce dernier point que le film achoppe, le regard de la cinéaste étant sans doute trop occupé à maintenir à distance celui de la mère.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Il y a trop d'affects pour qu'il puisse en sortir des bribes de vérité documentaire, dont la première caractéristique est la spontanéité. Pourtant, l'angle ne semble perturber personne : apparemment pris au jeu, les jeunes se livrent.
Télérama
Même si 800 Kilomètres de différence ne possède pas le souffle héroique d'un Coûte que coûte, on est fasciné d'arpenter ainsi le théâtre des sentiments adolescents.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr