Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Entre allers-retours et suspension perpétuelle, anonymat et pure mythologie, le récit simple et bouleversant de ces suicidés de la mer renoue avec les plus beaux jours du néoréalisme.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le premier film de Vincenzo Marra s'engage ainsi sur la voie du néoréalisme, d'abord pour pointer l'évidence : la modernité est toujours là, le réel ne s'use pas, le mélodrame pas davantage.
C'est la cruelle beauté de Tornando a casa que de montrer à la fois la solidarité qui peut se nouer entre les exclus des deux rives et le tragique dénuement qui les conduit à s'entre-dévorer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Nul doute, de cette singulière descente au coeur de la perte, le réalisateur italien a su extraire une expression de la vie rare et incroyablement palpable.
Le résultat est enthousiasmant, retour de flamme néoréaliste (type La terre tremble de Visconti) ou, plus près de nous, une sorte de Ken Loach méditerranéen, sans pathos, noueux et salé, à la fois concret et traversé par l'universel (...)
N'est-ce pas le morceau de bravoure viscontien de la pêche au thon qui semble la référence la plus évidente à cette aventure ? Ce serait beaucoup réduire Tornando a casa qui, autant que réaliste, est la métaphore subtile et émouvante de deux mondes du voyage qui se croisent (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
En marge de Respiro ou Nos meilleures années, le cinéma transalpin sait aussi se réinventer au plus près d'une vérité humaine brute, sans fioriture scénaristique. Tornando a casa, premier long métrage de Vincenzo Marra, est un film des confins.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Entre allers-retours et suspension perpétuelle, anonymat et pure mythologie, le récit simple et bouleversant de ces suicidés de la mer renoue avec les plus beaux jours du néoréalisme.
Aden
Un monde réversible, voilà ce que filme Vincenzo Marra, dans ce très pudique premier long métrage (...)
Cahiers du Cinéma
Le premier film de Vincenzo Marra s'engage ainsi sur la voie du néoréalisme, d'abord pour pointer l'évidence : la modernité est toujours là, le réel ne s'use pas, le mélodrame pas davantage.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
C'est la cruelle beauté de Tornando a casa que de montrer à la fois la solidarité qui peut se nouer entre les exclus des deux rives et le tragique dénuement qui les conduit à s'entre-dévorer.
Les Inrockuptibles
Nul doute, de cette singulière descente au coeur de la perte, le réalisateur italien a su extraire une expression de la vie rare et incroyablement palpable.
Libération
Le résultat est enthousiasmant, retour de flamme néoréaliste (type La terre tremble de Visconti) ou, plus près de nous, une sorte de Ken Loach méditerranéen, sans pathos, noueux et salé, à la fois concret et traversé par l'universel (...)
Positif
N'est-ce pas le morceau de bravoure viscontien de la pêche au thon qui semble la référence la plus évidente à cette aventure ? Ce serait beaucoup réduire Tornando a casa qui, autant que réaliste, est la métaphore subtile et émouvante de deux mondes du voyage qui se croisent (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Loin de tout folklore transalpin, Tornando a casa est un film âpre, et beau (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Premier film de Vincenzo Marra, Tornando a Casa est une fiction plus vraie que nature sur le désarroi de pêcheurs italiens.
Première
Le film s'empare de la vie de ces personnages dont on ne parle jamais à la manière d'un documentaire, sans apitoiement, comme un oeil témoin.
Télérama
En marge de Respiro ou Nos meilleures années, le cinéma transalpin sait aussi se réinventer au plus près d'une vérité humaine brute, sans fioriture scénaristique. Tornando a casa, premier long métrage de Vincenzo Marra, est un film des confins.
MCinéma.com
Les acteurs non professionnels ont bien du mal à faire vivre cette intrigue maigrelette, parsemée de rebondissements maladroits.