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Cette sorte de mélange de Dolce Vita et de Vitelloni à la mode grunge, extrêmement plaisante par son atmosphère désinvolte et sa cocasserie, est tout à fait au diapason de la récente vague néo-néoréaliste qui a récemment fait de l'Argentine voisine la contrée la plus inventive du continent sud-américain.
Les gags saugrenus (...) sont (...) la partie la plus visible d'un film dont le charme et la réussite résident ailleurs : dans la mise en lumière douce (25 watts) de l'inadéquation fondamentale entre le scénario psychosocial et la gloire impromptue de ces corps libres qui lui résistent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Il y a une sorte d'élégance dans cette loufoquerie douce-amère (...) Une telle "inutilité" fait souffler un vent de liberté dans un cinéma mondial souvent trop efficace et maniéré.
(...) Leche (...) ressasse ses cours d'italien ("io sono, tu sei..." : "je suis tu es...") et soulève mine de rien la question identitaire, donnant ainsi à cette première réalisation une puissance qu'il convient de saluer.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Sans renier leurs influences, les jeunes cinéastes (...) ne figent jamais en pose postmoderne leur idée de départ : rendre par des moyens cinématographiques le désoeuvrement adolescent qu'ils ont eux-même vécu.
Ici, pas de description rigoureuse et stylée, d'hystérie ou d'implorants cris d'amour, mais la mise en place d'un espace flottant plein de déchets où, derrière la cool attitude, se cachent parcimonieusement malaises et cris du coeur. Déjà pas mal, mais le film n'aura rien d'autre à offrir.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ce premier film (...) ressemble à une accumulation de poussière sur du vide. Mais dous la désinvolture, on sent pointer comme un lien de parenté avec une internationale débraillée à laquelle se rattachent Jarmusch, Linklater (Slacker), Kevin Smith (Clerks) et jusqu'à Alex de la Iglesia (Le jour de la bête), nommément cité.
La critique complète est disponible sur le site Première
On sourit parfois, au début, mais l'ennui finit par gagner le spectateur. Leche, Javi et Seba sont passés maîtres dans l'art de perdre leur temps, ils ne sont pas loin de nous faire perdre le nôtre, même en étant très indulgents pour une première oeuvre.
On connaît (...) ce cinéma en noir et blanc, minimaliste et assez stylé. La surprise, du coup, fait défaut. Mais, entre la fantaisie mélancolique des Vitelloni de Fellini et la camaraderie chère à Jim Jarmusch, voilà un petit film qui a un beau voisinage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Cette sorte de mélange de Dolce Vita et de Vitelloni à la mode grunge, extrêmement plaisante par son atmosphère désinvolte et sa cocasserie, est tout à fait au diapason de la récente vague néo-néoréaliste qui a récemment fait de l'Argentine voisine la contrée la plus inventive du continent sud-américain.
Le Monde
Les gags saugrenus (...) sont (...) la partie la plus visible d'un film dont le charme et la réussite résident ailleurs : dans la mise en lumière douce (25 watts) de l'inadéquation fondamentale entre le scénario psychosocial et la gloire impromptue de ces corps libres qui lui résistent.
Les Inrockuptibles
Il y a une sorte d'élégance dans cette loufoquerie douce-amère (...) Une telle "inutilité" fait souffler un vent de liberté dans un cinéma mondial souvent trop efficace et maniéré.
Positif
(...) Leche (...) ressasse ses cours d'italien ("io sono, tu sei..." : "je suis tu es...") et soulève mine de rien la question identitaire, donnant ainsi à cette première réalisation une puissance qu'il convient de saluer.
TéléCinéObs
(...) un premier film sans prétention vraiment sympathique.
Cahiers du Cinéma
Sans renier leurs influences, les jeunes cinéastes (...) ne figent jamais en pose postmoderne leur idée de départ : rendre par des moyens cinématographiques le désoeuvrement adolescent qu'ils ont eux-même vécu.
Chronic'art.com
Ici, pas de description rigoureuse et stylée, d'hystérie ou d'implorants cris d'amour, mais la mise en place d'un espace flottant plein de déchets où, derrière la cool attitude, se cachent parcimonieusement malaises et cris du coeur. Déjà pas mal, mais le film n'aura rien d'autre à offrir.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
Ce premier film (...) ressemble à une accumulation de poussière sur du vide. Mais dous la désinvolture, on sent pointer comme un lien de parenté avec une internationale débraillée à laquelle se rattachent Jarmusch, Linklater (Slacker), Kevin Smith (Clerks) et jusqu'à Alex de la Iglesia (Le jour de la bête), nommément cité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
On sourit parfois, au début, mais l'ennui finit par gagner le spectateur. Leche, Javi et Seba sont passés maîtres dans l'art de perdre leur temps, ils ne sont pas loin de nous faire perdre le nôtre, même en étant très indulgents pour une première oeuvre.
Télérama
On connaît (...) ce cinéma en noir et blanc, minimaliste et assez stylé. La surprise, du coup, fait défaut. Mais, entre la fantaisie mélancolique des Vitelloni de Fellini et la camaraderie chère à Jim Jarmusch, voilà un petit film qui a un beau voisinage.