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Estonius
3 470 abonnés
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4,0
Publiée le 6 mai 2017
On le compare à Rosemary Baby (1968) c'est moins bien, on le compare à l'Exorciste (1974) à c'est beaucoup mieux. Le film n'est pas sans défaut, il y règne une certaine confusion qui ne se dissipe pas totalement à la fin, de plus le rôle principal masculin est bien fade. Mais sinon c'est asses bluffant avec des images superbes et parfois surprenantes où se mêle horreur et un certain érotisme. L'actrice principale Cristina Raines est très belle. A découvrir.
L'Atmosphère donné au film augment au fur et a mesure pour terminer avec une bonne dose de frissons.Si la sentinelle des maudits viens après Rosemary's baby et l'exorciste,il n'en reste pas moins excellent dans le genre.Plusieurs pistes sont possible durant le film et la fin n'est pas la plus attendue.
Film qui n'atteint certes pas le niveau de "Rosemary's Baby" auquel il fait clairement penser, mais il n'empêche que "La Sentinelle des Maudits" s'avère bien intéressant à suivre. Le prestigieux casting fait un travail impeccable, la mise en scène de Michael Winner propose une bonne dose de mystère et le final s'avère assez terrifiant. Une belle découverte concernant ce film d'épouvante que je désirais visionner depuis déjà pas mal d'années.
La sentinelle des maudits est un film très moyennement intéressant. Le film sonne faux dans sa mise en scène (on a l'impression de regarder un mauvais film d'horreur des années 70) : le jeu d'acteur sonne faux, les dialogues aussi. Beaucoup d'acteurs célèbres (mais pas en tête d'affiche) : Jeff Goldblum, Ava Gardner, Christopher Walken, Eli Wallach. En revanche, Chris Sarandon est une catastrophe, il est impassible durant tout le film, à croire qu'il fait exprès de mal jouer. L'histoire utilise des ficelles classiques du genre : faire croire à la paranoïa du personnage principal, des hallucinations qui font ressortir un passé difficile … c'est Rosemary's Baby en moins bon. La fin est en revanche plus intéressante car elle justifie le titre du film. Mais au final, ça ne passe pas trois pattes à un canard.
Il est probable que si vous n'êtes pas spécialement amateur de cinéma fantastique comme votre serviteur, « La Sentinelle des Maudits » vous paraîtra bien faible au vu des classiques du genre, à commencer par « L'Exorciste » et « Rosemary's Baby ». Cela dit, et malgré un couple Cristina Raines - Chris Sarandon beau mais un peu fade, je me suis vite laissé prendre au jeu de cette histoire qui, à défaut d'être renversante, s'avère en définitive assez cohérente et réservant de vrais beaux moments. A quelques exceptions près, notamment dans les dernières minutes, Michael Winner a d'ailleurs l'intelligence de jouer la carte de la sobriété, laissant ainsi transpirer une angoisse sourde et diffuse, l'œuvre prenant son temps (sans doute un peu trop) pour nous présenter des pistes concrètes quant aux étranges événements se déroulant dans l'immeuble. Le décor est à ce titre bien exploité, participant pleinement à cette impression d'étrangeté régnant du début à la fin, accentué par l'invraisemblable galerie de seconds rôles présente, plus ou moins exploités (n'empêche, Ava Gardner, Arthur Kennedy, Eli Wallach, Christopher Walken, Martin Balsam, José Ferrer, John Carradine, Jeff Goldblum et le toujours génial Burgess Meredith, qui dit mieux ?). Enfin, sans être renversant, le dénouement a le mérite d'éviter le Happy end total, offrant encore un peu plus de crédit à une entreprise qui, sans être majeure, s'avère une curiosité des plus fréquentables : moi, je prends.
Un film méconnu mais vraiment intéressant. La sentinelle des maudits est beaucoup moins réussi que Le locataire ou rosemary's baby car il manque une réelle intensité dramatique et une mise en scène efficace. Par exemple l'intrigue policière est inutile et n'apporte rien au récit. Néanmoins le film propose des scènes vraiment effrayantes (la vision des fantômes) et en cela il rivalise avec les grands films d'épouvante.
Michael Winner est un excellent réalisateur, notamment du chef-d'oeuvre méconnu "Le Corrupteur", souvent sous-estimé pour cause d'une filmographie trop souvent consacrée à glorifier les action heroes des années 70. Avec ce pas de côté horrifique, il apporte sa patte à un genre qui se prête particulièrement bien à sa mise en scène insidieuse qui pervertit progressivement le cadre et finit par dérouter les spectateurs les plus blasés. Sans être totalement convaincant, et sans doute trop ancré dans son époque, le film réserve quelques images marquantes et mérite le détour!
Un film honteusement oublié, qui se hisse sans forcer à la hauteur d'un Rosemary's Baby. Sous couvert d'une intrigue classique d'emménagement dans un appartement, une jeune femme va prendre conscience que ses voisins sont très étranges, et surtout, que certains n'habitent pas dans les appartements, certains étant inoccupés depuis de longues années. Un pitch de départ formidable, qui nous emmènera là où on se s'attendait pas. Le casting est tout simplement impeccable (et pour cause, un casting brillant est au rendez-vous), et l'idéologie catholique n'est pas malmenée comme on pouvait s'y attendre. Ce n'est pas l'Exorciste, mais ça réserve quelques moments de belle trouille qui devraient imprimer la rétine pendant quelques temps. Une véritable bénédiction.
Thriller souscrivant à la théorie de la justice immanente (ceux qui n'ont rien auront tout & vice-versa); "La sentinelle.." entraîne le spectateur dans son trip fantastique inquiétant teinté de yin et de yang - et/ou de catholicisme - rempli de scènes explicites, cependant l'intrigue multipliant les apartés scientifiques vers les 3/4 sans raison aucune éloigne la proximité du spectateur sinon son simple intérêt, tout en diminuant l'intensité dramatique. chef d'oeuvre inédit.
Surfant sur le succès de Rosemary's baby et de L'Exorciste Michael Winner plutôt habitué au film musclé réalise avec avec La Sentinelle des maudits un bon film d'épouvante typique des années 70 et bénéficiant d'un casting impressionnant. L'ambiance mystérieuse et inquiétante de La Sentinelle des maudits marche parfaitement pour finir avec un final flippant et terrifiant.
Michael Winner est un très bon réalisateur et quelques un de ses films sont cultes (un justicier dans la ville, scorpio, le flingueur) mais ce film est une catastrophe ! la réalisation est pénible, les acteurs perdus et la fin ... ratée ! certainement une commande de l'époque dans la continuité des films comme Damien, l'exorciste, etc ...
Je n'aime pas trop les films de maisons hantees mais je dois avouer que celui là possede un charme indéniable. Une jeune mannequin cherche l'appartement de ses reves.Elle le trouve au sud de manhattan et commence a eprouver des malaises ainsi que d'avoir des visions.Ses voisins sont pour le moins curieux et inquietants. Elle mene son enquete pour decouvrir l'horrible verité. Meme si les effets speciaux ont bien vielli,l'ensemble reste accrocheur avec une atmosphere erotico-angoissante. Une trouvaille interessante.
Un film d'epouvante / surnaturel vintage venu des Etats Unis, le casting est impossible à s'offrir avec un argent de poche de format normal : Chris Sarandon, John Carradine, Ava Gardner, Christopher Walken, Eli Wallach, Tom Berenger, Jeff Goldblum, sur une seule affiche ca envoie quand même gentiment la purée même si certains étaient encore à l'aube de leur carrière et / ou ne font qu'une petite apparition. Le résultat maintenant : un film de possession sympa sur un immeuble envahi par les forces du mal. Je dois dire que quelques scènes sont bien vues et ont retenues mes pupilles sur l'écran, mais globalement j'ai trouvé le film assez moyen (tranche haute de la moyenne quand meme). 3 / 5