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Eselce
1 395 abonnés
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2,5
Publiée le 7 décembre 2015
C'est assez violent, il y a pas mal d'action mais je n'ai pas été convaincu. C'est assez vieillot comme film policier et on se doute toujours de ce qu'il arrive aux amis d'Harry. Plutôt moyen, le jeu d'actrice de sa partenaire. Clint Eastwood crève l'écran à lui seul et son magnum, qu'il n'utilisera pas en dernier recourt... :)
Un peu en dessous des deux premier, c'est pour moi le dernier bon film de l'inspecteur Harry (le suivant est trop sombre et le dernier est plus du tout dans le coup). On reprends les même formules que dans les films précédent, la mésentente avec ses chefs, l'adjoint débutant qui fini par se faire avoir, et la fin traditionnel par des morts, ces genre de western transposé en film policier. L'histoire ici est du même genre que le precedent, mais moins captivante, on dirait même que tout se traine pendant le film, on a même plus envie de suivre l'histoire.
"L'inspecteur ne renonce jamais"(1976) rediff sur France 3 le 23.07.2015 Ce n'est certainement pas le meilleur des films joués dans ce registre par Clint Eastwood mais ça se laisse regarder. La comédienne qui va apprendre le dur métier de Clint n'est guère convaincante, pas plus que le scénario de cette aventure surtout destinée à montrer de la violence, des morts et des hémorragies d'hémoglobine : d'où vraisemblablement son interdiction à l'époque aux moins de 18 ans. Ce film ne doit qu'au grand acteur de n'avoir pas fait naufrage car cette aventure n'est guère crédible ! willycopresto
Très bon retour de l’inspecteur Harry dans ce film qui fait preuve d’une efficacité certaine. Le casting est excellent. Eastwood est pareil à lui-même, il reprend son rôle avec le sérieux qu’on lui connait, non sans chercher à faire évoluer un peu son personnage par rapport à de nouvelles actualités. Evolutions d’ailleurs bienvenues, puisqu’elles donnent de l’épaisseur au personnage. A ses côtés Tyne Daly, quoique peu connue et un peu cabotine offre une inspectrice en herbe touchante, émouvante, drôle parfois, bref, elle forme avec Eastwood un excellent duo que j’ai vraiment apprécié. Les seconds rôles comme de coutume ne manquent pas de piquants, et certains sont tout à fait réussis, c’est en général très perceptible dans la saga des inspecteurs Harry (notamment le très cliché mais très amusant légiste). Le scénario est meilleur que celui du deuxième film. On a du rythme, de l’action, mais le film amène un peu plus d’humour et surtout de sentiments. Le final en la matière est puissant. A mon sens c’est le plus sensible des inspecteur Harry, celui qui touche le plus le spectateur, où l’on sourit, où l’on s’attriste, mais celui où on vibre le plus avec les héros. Après on n’est pas dans l’efficacité brute du premier, et c’est vrai qu’un peu à l’image du 2 le déroulé de l’intrigue reste un peu simple avec un film qui semble davantage s’attarder sur des mises en situation pour son duo que sur une intrigue très construite, mais enfin j’ai apprécié. Sinon on retrouve la recette habituelle des inspecteur Harry et cela malgré le changement de réalisateur. Le milieu urbain de l’époque pour les décors, des couleurs tristes, grises marrons dominantes dans la photographie, une réalisation sobre mais efficace dans l’action, une action violente qui fonctionne bien et qui reste l’identité et le fil conducteur de la saga. Bref, les connaisseurs ne seront pas dérangés, et les autres pourront apprécier un polar urbain violent qui conserve la classe. Porté évidemment toujours par un thème à la hauteur. Je n’ai plus beaucoup de souvenirs du dernier épisode des inspecteur Harry, mais clairement celui-ci est, après le premier, le meilleur de la série, et au moins des quatre premiers. Plus vivants, plus dans l’émotion, plus humain en somme, il développe une facette intéressante autour du personnage d’Harry. Recette d’ailleurs reprise dans l’épisode suivant, mais à mon sens avec un succès moins affirmé. 4.5.
En effet, l’inspecteur ne renonce jamais. Pas même après avoir rendu son étoile au capitaine et lui avoir suggéré de se la carrer à un endroit précis dont je tairai le nom. Des petits voyous menacent de faire exploser le centre ville de San Francisco s’ils n’obtiennent pas la rançon demandée. Bien sur, il y a quelques meurtres par ci par là et comme d’habitude, la police est incapable d’agir ou met trois plombes pour agir. Mais heureusement, l’Inspecteur Harry est là. Tout cela pour dire qu’en ce qui concerne ce film, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. « L’Inspecteur ne renonce jamais » se contente seulement d’exploiter le filon sans forcer davantage. L’intrigue est des plus minimalistes. Comme vous vous en doutez, on devine à l’avance tout ce qui va se passer. L’inspecteur est toujours aussi expéditif, colérique, intrépide, cynique et désagréable avec ses collègues. Comme je l’ai dit, que du vieux. Mais y a quand même quelques trucs à retenir tout de même. Tout d’abord le côté Buddy-movie avec la présence d’un second rôle féminin. Autant vous dire qu’au début de la collaboration, y a des pions bien appuyés qui partent. Quelques traits d’humour noir aussi. Et il y a bien sur Clint Eastwood qui tient tout le film sur ses épaules. Même s’il semble un peu lassé de son personnage, il continue de le jouer comme il faut. En soi, le film n’est pas désagréable à regarder, mais comparé à d’autres polars dans lesquels Clint a joué (les deux premiers volets de la série ou même « La corde raide », pour ne citer que ces exemples), ce film fait partie de la catégorie des polars lambdas.
Hé oui, comme le dit le titre l'inspecteur ne renonce jamais, il a cette fois ci une femme à ses côtés, comme dans tous les épisodes de la saga l'intrigue est captivant et dans l'ensemble c'est bien écrit, que ce soit le scénario qui est assez efficace, les dialogues ou les personnages. Clint Eastwood a encore quelques punchlines bien pensées et jouissives et surtout il est en forme, toujours parfait dans ce genre de rôle. Une bonne suite, qui arrive à être différente des deux précédent opus et donc à ne pas lasser.
La troisième aventure du redoutable inspecteur Harry . Un scénario bien ficelé , des rebondissements , une bonne réalisation de James Fargo dont c'est le premier film et une interprétation toujours excellente de Clint Eastwood . Un bon moment de Cinéma .
Troisième épisode des aventures du plus "badass" de tous les flics, L’Inspecteur Ne Renonce Jamais voit notre héros aux prises avec un groupe révolutionnaire. Le scénario n'a rien de transcendant mais sa médiocrité s'efface devant la puissance tutélaire d'Harry Calahan, cette fois ci flanqué d'une femme comme partenaire, qui se montre plus en verve que jamais. En effet, les répliques cultes s'enchainent sans aucun respect des convenances (il y est notamment question de suppositoire à 7 branches, de poupée gonflable et de rondelle). Un cran au dessous des deux premiers car moins profond et subversif, L’Inspecteur Ne Renonce Jamais reste un bon film policier qui prolonge le plaisir de cette saga emblématique.
3ème volet des aventures de « Dirty Harry » et 3ème réalisateur aux commandes. James Fargo dirige un Clint Eastwood aux prises avec un groupuscule d'anciens du Viêt-Nam dont on ne sait pas trop s'ils sont anarchistes ou illuminés religieux. Bon, on s'en fout un peu car ces énergumènes menacent de faire péter la bonne vieille ville de San Francisco et vont surtout énerver Harry en dessoudant l'un de ses collègues préférés (grosse erreur). Bien entendu, on commence à tirer sur des ficelles énormes scénaristiquement parlant, la trame principale et le développement étant grosso modo similaires aux volets précédents. On note également une action un peu plus paresseuse, même si la fusillade de fin rattrape bien, compensée par un peu plus d'humour dans les tirades d'Harry. Bien que l'on s'enfonce légèrement dans la banalité, l'ensemble reste somme toute correct. Par contre, la fin est légèrement grotesque, voire bâclée (spoiler: ce coup de bazooka dans le mirador, sur un méchant pétrifié alors qu'il est censé être un gros dur, et surtout sans toucher le maire qui est 2m en dessous ... mouais...). Une suite correcte, sans plus.
En voilà une belle bouse ! J'avais pourtant revu avec un plaisir coupable les 2 premiers opus de la saga Dirty Harry avant de regarder ce film. On a beau ne pas adhérer à l'idéologie un poil facho, il faut avouer que l'interprétation de Clint Eastwood fait passer la pilule et les invraisemblances flagrantes. Mais, là, les mots me manquent ! L'idée d'associer l'inspecteur Callahan à une coéquipière était plutôt intéressante sur le papier, mais c'est filmé avec les pieds, et, surtout, le scénario et les dialogues sont d'une indigence rare, voire franchement ridicules. C'est très mauvais. Spectateur curieux, passe ton chemin !
Le scénario de ce troisième épisode de la saga "Dirty Harry" n'est pas folichon et sa mise en scène est franchement plate. L'idée de faire collaborer le macho Callahan avec une jeune inspectrice est originale mais la prestation de l'actrice Tyne Daly est sans relief. Reste le plaisir de voir Clint Eastwood dans un rôle qui lui colle à la peau.
On repasse dans les films moyens comme dans toute les suites un moment celà s'essoufle , on repasse avec les film avec plein de musiques année 1970 , on s'essaie à de l'humour mais bon un peu lourd , un peu le machisme général pour faire voir qu 'une femme qui joue très mal n'a pas sa place dans la police , moi je dirai pratiquement une série B , heureusement que celà fait partie d'une série car je ne garderai pas dans ma collection , à voir les 2 derniers pour savoir si la suite s'enlisse ou se reprenne
3eme épisode des aventures du célèbre inspecteur Harry Callahan ou Callaghan selon les doubleurs, celui-ci est réalisé James Fargo l'assistant de Clint Eastwood sur Josey Wales hors-là-loi. C'était même Eastwood qui devait le réaliser au départ avant de lui laisser la place trop occupé justement par Josey Wales. encore un sujet fort pour l'inspecteur Harry. Après Scorpio dans le 1er volet, un gang de policiers fascistes dans le second, il devra lutter contre des révolutionnaires. Plus précisément des vétérans du Vietnam qui se sont réunis sous la bannière "la force de frappe du peuple" et qui tuent des policiers, volent des armes militaires et kidnappent le maire de San Francisco. La violence est bel et bien présente. Personne ne se fera de cadeau. Ainsi on a l'habituelle scène du hold-up, qui ne sert à rien dans l'histoire, mais qui permet de voir l'inspecteur Harry faire le ménage avec son Magnum 44 et défoncer une boutique avec une voiture de police. La touche comique est assurée par ses relations toujours aussi ombrageuses avec sa hierarchie. Ce qui nous donnera droit comme toujours à quelques répliques bien senties : "collez vous l'étoile dans le c**, je peux faire une déclaration McKay ? Votre bouche est trop près de votre rondelle". Mais aussi par une collègue féminine qu'il aura du mal à accepter en raison de son amateurisme. Tout du moins au début. L'Inspecteur ne renonce jamais est considéré comme le dernier vrai bon Inspecteur Harry. Si l'on excepte quelques longueurs et piétinements dans l'enquête, c'est un divertissement policier tout à fait acceptable.