Il est plaisant de voir l'inspecteur Harry en si bonne forme. Après le serial killer et les flics trop zélés, le voici en lutte contre des terroristes qui ont eu la mauvaise idée de tuer son collègue. Malgré des supérieurs incompétents et qui cherchent plus des médailles qu'une vraie justice et surtout avec une fliquette dans les pattes, notre Harry s'en sort comme un charme, semant la violence sur son passage. Toujours avec la bonne réplique qui tue et sans jamais renoncer à son Magnum 44. De bonnes scènes d'action dont certaines ont un peu vieillies mais des acteurs solide, un scénario dans la norme (et qui inspirera largement "Rock") mais qui ne développe pas vraiment ses méchants (mais qui flingue joyeusement la politique, l'ambition de ceux qui la font et les médias, complices consentants de ce cirque) et toujours cette violence sèche qui caractérise la saga. J. Fargo fait dans le classique et il n'y a bien que la BO, qui aligne les notes funkies très réussies, et C. Eastwood, toujours très bon, qui s'en sortent hauts la main. D'autres critiques sur
Un très bon troisième volet de l'Inspecteur Harry avec le légendaire Clint Eastwood . Un excellent film policier. Un bon polar noir et sombre à la fois. Un film qui est entré dans la grande légende du cinéma hollywoodien. Une bonne fiction policière des années 70. Clint Eastwood est dans son élément. Albert Powpell est un très bon acteur afro-américain.
Harry Calahan est de retour et a mis un peu d'eau dans son vin. Clint Eastwood toujours impeccable fait cette fois équipe avec la jolie Tyne Daly, très crédible dans le role de son adjointe. La réalisation de James Fargo (assistant d'Eastwood sur le sublime Josey Wales) est assez paresseuse et se contente du minimum en se reposant sur l'excellent jeu des acteurs. Contrairement aux deux premiers opus, on se fout complètement des terroristes qui paraissent bien peu développés. Il est cependant amusant de constater que Rock de Michael Bay s'est grandement inspiré du scénario de The Enforcer à savoir l'entrepot d'armes et d'explosifs volés, la menace de faire sauter la moitié de San Francisco et bien sur Alcatraz. La réalisation est donc classique, les poursuites assez pépères, la violence à peine montrée. Au bout du compte, l'insubordination légendaire de Callahan reste la principale attraction de ce film policier, ainsi que ses relations avec sa nouvelle partenaire. Le troisième épisode de la saga Dirty Harry se laisse voir avec plaisir notamment les scènes entre Eastwood et Daly où la complémentarité des acteurs se voit.
Après "L'inspecteur Harry" et "Magnum force", revoilà Clint Eastwood dans la peau de Callahan. La mise en scène est efficace, les balles et les répliques irrévérencieuses fusent pour le bonheur des fans de ce flic intrépide et sans pitié.
Deux ans après le succès fracassant de "Magnum Force", Clint Eastwood rempile à nouveau le rôle de l'inspecteur le plus dur et le plus extrêmiste des Etats-Unis d'Amérique Harry Callahan. Si le second volet désirait que le public soit conquis par ce personnage, le troisième suit cette même logique et rebrasse tout de même souvent les même thèmes comme les arrestations avec destruction de matériel, les rabaissemennts constants qui lui sont incombés par ses supérieurs et l'obstination de dire que la police est une arme insuffisante pour combattre la criminalité. Malgré cela, le réalisateur du film parvient à capter l'attention du spectateur sans le lasser en introduisant un élément nouveau dans cette franchise à savoir un partenaire féminin pour Harry Callahan. Leur relation est assez habilement développée et ne fait pas passer la jeune femme comme une cruche comme l'on pourrait penser de toute femme s'inscrivant au poste d'inspecteur de police. Par ailleurs, Clint Eastwood interprête à merveille l'homme classique et machiste pensant que la place d'une femme dans la police doit se limiter à poser ses fesses sur la chaise d'un bureau plutôt que de traquer et d'arrêter de dangereux criminels, une opinion qu'il oubliera bien vite lorsque celle-ci lui sauvera la vie un peu plus tard, prouvant ses capacités à se servir d'un revolver. Les malfrats qui sont impliqués dans cet épisode sont des révolutionnaires internes qui désirent user de cette renommée pour enlever le maire de San Francisco et exiger une rançon. Le réalisateur montre également le rapprochement entre les services de police et les politiques, les deux parties s'associant afin de délivrer une belle image de la sécurité et de l'intégration des femmes aux postes policiers les plus prestigieux. Un film certes moins riche, plus court que le précédent mais qui ouvre de nouvelles perspectives et vient apporter en plus de cela une intensité terriblement dramatique. Au final, un long-métrage divertissant et marquant.
Troisième volet de la saga, L'inspecteur ne renonce jamais mérite comme les autres sa franchise Dirty Harry. Pas aussi culte que le premier, ce volet reste une bonne enquête policière bourrée d'humour noir, à froid propre à un Harry sarcastique et solitaire. C'est toujours aussi bon.
Un troisième opus qui manque de relief en comparaison au premier notamment. Le scénario est moins fort et la réalisation de Fargo souffre d'un léger manque d'originalité, mise à part la musique très sympa. Clint Eastwood est toujours génial et ça reste malgré tout un plaisir de le retrouver dans cette série mythique.
L’inspecteur ne renonce jamais est pour moi l’un des film le moins réussi de la saga. Derrière la caméra on retrouve James Fargo qui n’innove pas beaucoup, toujours une belle distribution avec des acteurs comme Clint Eastwood Harry Guardino ou encore Tyne Daly…, un scénario peu efficace et un peu répétitif par rapport aux autres films… Bref c’est un film qui n’apporte rien de plus à la saga, 10 / 20.
Excellent opus de la saga "Dirty Harry". Peut-être moins d'action et surtout moins violent mais gagne en humour. Bonne note pour des dialogues et des répliques cultes. La trame générale est basique mais la collègue féminine apporte une nuance plus douce. Très bon polar.
L'inspecteur retrouve son franc-parler dans ce troisième opus au scénario malheureusement trop simple et au propos que j'ai encore du mal à cerner : s'agit-il d'un pamphlet pour l'intégration des femmes a un certain niveau de la hiérarchie des forces de l'ordre ? Mais c'est peut-être aussi le contraire car, sans vouloir être méchant, la partenaire de l'inspecteur est une véritable cruche, et donc il faut laisser les femmes à la maison pour s'occuper des enfants (comme dirait Harry Callahan). D'ailleurs je n'ai pas compris pourquoi le nom de l'inspecteur avec été changé pour la version française (Callahan/Callagan). Bref, peu importe ce qu'a voulu dire le film (de nos jours les femmes sont parfaitement intégrés), je le trouve beaucoup moins intéressant que le précédent.
Troisième épisode de cette saga de renom, et pour cette fois, on colle dans les pattes de Harry "Le Charognard" une jeune inspectrice naïve et toute innocente que ce dernier va réveiller. J'aime bien la fin dans l'ancienne prison d'Alcatraz et ce bon vieux Harry, en fidèle bourrin, qui termine le boulot avec précision ... au lance-roquettes !! une bonne suite !