Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
(...) on n'avait pas rencontré depuis très longtemps un cinéaste filmant avec autant de grâce et d'intensité les étreintes charnelles, les formes pleines et le grain de la peau des jeunes filles (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Aden
par Philippe Piazzo
Dans ce beau film sur l'amour, sur l'idée qu'on s'en fait et sur l'absence, JeanPaul Civeyrac (...) privilégie les corps et leur mouvement. (...) Cinéaste du sacré, le cinéaste livre là une envoûtante incantation sur le couple.
Cahiers du Cinéma
par Marie-Anne Guerin
(...) Civeyrac fait preuve d'une déference renouvelée envers le découpage du réel et du romanesque. (...) Sa force d'invention, son style, sont noués à sa façon de considérer le jeu comme une matière précieuse et d'accorder une attention inédite aux acteurs leur offrant, suprême artifice, de prendre le champ à bras le corps.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Si certains reprocheront à Civeyrac ses tics maniéristes, d'autres ne manqueront certainement pas d'être bouleversés par l'audacieux jusqu'au-boutisme mélancolique du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La conscience malheureuse est, en ce bas monde, promise à ceux qui ne peuvent renoncer à leur idéal : voilà la leçon, douloureuse et hautaine, rarement portée à ce degré de clairvoyance au cinéma, à laquelle nous invite Fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
Fantômes est sans doute son film le plus symphonique, chorégraphié, même si c'est aussi un film qui stigmatise un petit côté vieux garçon/Nouvelle Vague, par sa vision des amours et de la bande (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
Autour d'une figure récurrente, le corps à corps, le film devient alors pur jeu, chorégraphie, peinture, et laisse voir son vrai territoire, confidentiel mais habité.
Zurban
par Eric Quéméré
Loin des jeunes premiers de cinéma, ses interprètes aux visages si singuliers donnent ici chair à un univers qui aurait pu n'être que cérébral. Au lieu de quoi le film baigne tout entier dans une poésie noire et sensuelle...
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Jean-Philippe Guerand
(...) un film déconcertant, souvent exaspérant mais toujours surprenant.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(...) si on apprécie la qualité de la réalisation (le cadre, les jeux de lumière, la grâce à filmer les corps, les contacts, les étreintes, le poids de la bande son), on éprouve aussi de la lassitude devant la profusion de personnages et le peu d'intérêt ressenti pour un grand nombre d'entre eux.
Première
par Jean-Baptiste Drouet
Jean-Paul Civeyrac (...) qualifie ce film à la trame narrative volontairement destructurée de "partouze métaphysique". C'est un peu inexact: le très jeune casting, souvent à poil, cause plus dans le vide plus qu'il ne jouit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
(...) on n'avait pas rencontré depuis très longtemps un cinéaste filmant avec autant de grâce et d'intensité les étreintes charnelles, les formes pleines et le grain de la peau des jeunes filles (...).
Aden
Dans ce beau film sur l'amour, sur l'idée qu'on s'en fait et sur l'absence, JeanPaul Civeyrac (...) privilégie les corps et leur mouvement. (...) Cinéaste du sacré, le cinéaste livre là une envoûtante incantation sur le couple.
Cahiers du Cinéma
(...) Civeyrac fait preuve d'une déference renouvelée envers le découpage du réel et du romanesque. (...) Sa force d'invention, son style, sont noués à sa façon de considérer le jeu comme une matière précieuse et d'accorder une attention inédite aux acteurs leur offrant, suprême artifice, de prendre le champ à bras le corps.
Chronic'art.com
Si certains reprocheront à Civeyrac ses tics maniéristes, d'autres ne manqueront certainement pas d'être bouleversés par l'audacieux jusqu'au-boutisme mélancolique du cinéaste.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
La conscience malheureuse est, en ce bas monde, promise à ceux qui ne peuvent renoncer à leur idéal : voilà la leçon, douloureuse et hautaine, rarement portée à ce degré de clairvoyance au cinéma, à laquelle nous invite Fantômes.
Libération
Fantômes est sans doute son film le plus symphonique, chorégraphié, même si c'est aussi un film qui stigmatise un petit côté vieux garçon/Nouvelle Vague, par sa vision des amours et de la bande (...).
Télérama
Autour d'une figure récurrente, le corps à corps, le film devient alors pur jeu, chorégraphie, peinture, et laisse voir son vrai territoire, confidentiel mais habité.
Zurban
Loin des jeunes premiers de cinéma, ses interprètes aux visages si singuliers donnent ici chair à un univers qui aurait pu n'être que cérébral. Au lieu de quoi le film baigne tout entier dans une poésie noire et sensuelle...
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) un film déconcertant, souvent exaspérant mais toujours surprenant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
(...) si on apprécie la qualité de la réalisation (le cadre, les jeux de lumière, la grâce à filmer les corps, les contacts, les étreintes, le poids de la bande son), on éprouve aussi de la lassitude devant la profusion de personnages et le peu d'intérêt ressenti pour un grand nombre d'entre eux.
Première
Jean-Paul Civeyrac (...) qualifie ce film à la trame narrative volontairement destructurée de "partouze métaphysique". C'est un peu inexact: le très jeune casting, souvent à poil, cause plus dans le vide plus qu'il ne jouit.