AlloCiné
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C'est une gentille comédie romantique, pas meilleure que d'autres mais pas pire non plus. Il faut avouer que le milieu du film est assez pauvre et ennuyeux et ça altère les bonnes idées générales. Parce qu'il y en a ! Je m'attendais à un film plus médiocre mais je n'espérais pas autant de poésie ni à un John Candy en aussi bonne forme !!
Je crois l’avoir vu il y a bien 35 ans dans ma jeunesse et je crois l’avoir bien aimé. Revu ce soir. Bon c’est en fait très très moyen, tout le film repose uniquement sur la beauté complètement hypnotisante de Daryl Hannah. Elle est absolument splendide et on est tous jaloux de Tom Hanks ! Sinon, le film est limite ennuyeux et très banal. Le dernier tiers et tout de même un peu plus énergique et rythmé. Fin nul et sans surprise.
"Splash"(1984)est une romance fantastique et familiale,qui est une sorte de conte de fées.Le film révéla le talent de jeune premier attachant de Tom Hanks,la beauté désarmante de Daryl Hannah,et le goût de Ron Howard pour les histoires simples et optimistes.Il règne dans une atmosphère d'un autre temps,celle des années,où le cinéma était l'échappatoire rêvé,loin du cynisme d'aujourd'hui.Ceci étant,le film se destine plutôt aux enfants et aux filles,car il a du mal à aller plus loin que cette amourette entre un marchand de fruits et légumes à la peur phobique de l'eau et cette candide sirène,qui découvre la cité new-yorkaise.Les dialogues sont plutôt fades,convenus,et les rebondissements prétextes.La mise en scène se démarque quand même dans des scènes sous-marines,divinement filmées dans les eaux claires des Bahamas.Et cette sirène est très réaliste dans son esthétique et ses mouvements.On rigole surtout lorsqu'elle se balade nue près de la statut de la liberté,qu'elle mange intégralement un homard,ou qu'elle fait exploser avec sa voix les vitres d'un grand magasin.Charmant,légèrement suranné,mais il faut être d'humeur.
Audrey L
Pour commencer : si vous avez l'occasion de voir Splash en dehors de la plateforme Disney+, n'hésitez pas, le film y est censuré de façon ridicule et puérile. Des plans coupés au hachoir pour ne pas voir le bas du dos de l'actrice, une touffe de cheveux rajoutés numériquement (n'importe comment) sur les zones qui gênent... On ne voit que ça, et c'est décevant de constater que la censure est favorisée à l'éducation des plus jeunes. Autrement, cette petite comédie romantique avec un (très) jeune Tom Hanks et une actrice non moins charmante (qui n'a pas eu la carrière florissante de son partenaire) est très agréable à suivre, même avec les gags très tartes à la crème de
spoiler:
l'évasion finale
. Les seconds rôles sont bons (le frère entrepreneur comique avec le regretté John Candy) et la tendresse fonctionne à chaque instant mêlée à l'humour de cette sirène qui découvre New-York en faisant des bêtises malgré elle, et qu'on lui pardonne au premier sourire. La résolution finale aurait pu s'étendre, car on s'arrête un peu vite spoiler: sans savoir ce que deviennent les deux amoureux
, mais le mystère laisse imaginer au spectateur sa propre fin. Beaucoup de gags et une belle romance très tendre, plongez sans hésiter.
. Les seconds rôles sont bons (le frère entrepreneur comique avec le regretté John Candy) et la tendresse fonctionne à chaque instant mêlée à l'humour de cette sirène qui découvre New-York en faisant des bêtises malgré elle, et qu'on lui pardonne au premier sourire. La résolution finale aurait pu s'étendre, car on s'arrête un peu vite spoiler: sans savoir ce que deviennent les deux amoureux
, mais le mystère laisse imaginer au spectateur sa propre fin. Beaucoup de gags et une belle romance très tendre, plongez sans hésiter.
RealPrime
Ron Howard, Tom Hanks, le futur duo d'inséparable du grand écran s'offre son premier récit alliant romance, fantastique & familiale ou pour la quasi première fois, une sirène s'invite au récit. Et oui, Disney n'est pas le seul studio à avoir une sirène découvrant ébahie le monde des humains, Daryl Hannah ne parle quasiment pas jusqu'à mi-parcours mais son seul regard, seul charactère suffit à captiver l'attention tant ces 2 éléments sont d'une sincérité pure. Hanks se là joue facile, tranquille sans aucune prétention car là n'est pas le bût. Un duo insolite génialement pensé qu'Howard dirige efficacement ou l'humour règne avec bon enfance et fait évoluer ce petit monde aussi tranquillement que possible. John Candy ou l'insupportable frère, co-dirigeant de l'entreprise grossiste qui aussi macho que sexiste avec son petit frère, se voit faire la leçon obligatoire face à ce dernier (Hanks) n'acceptant plus (temporairement) de revoir sa belle. Il faut dire que refuser la compagnie d'une sirène est assez costaud compte tenue de "rarissime rareté" de pouvoir en côtoyer une. Un récit sur la morale du célibat, les conséquences psychologique de découvrir la vie amoureuse, encore plus dans ce cas là, cette comédie familiale réussie son boulot, avec en ligne de bonus, Eugene Levy ("American Pie"...) obséder de la révélation publique et de sa découverte, s'attirant certaines foudres et certains commentaires bien houleux, sa participation reste sympathique. Un bon film à voir et revoir sans forcer ou le duo est resté culte, Tom Hanks signe un rôle culte pour ses "débuts" qui marque dès lors son ascension Hollywoodienne.
C'est charmant et inachevé.
Le film s’essouffle progressivement, malgré un début disneyien et un casting parfait.
Splash aurait mérité une fin moins guignolesque.
Le film s’essouffle progressivement, malgré un début disneyien et un casting parfait.
Splash aurait mérité une fin moins guignolesque.
C'est léger et sans prise de tête.
Film parfait pour un dimanche après midi dans le canapé!
Tom Hanks est drôle et Daryl Hannak magnifique!
Film parfait pour un dimanche après midi dans le canapé!
Tom Hanks est drôle et Daryl Hannak magnifique!
Très peu sont les film qui prennent pour thème la mythologie des sirènes. Splash est un film de fantasy, d'amour et d'humour avec un scénario qui n'a certes, rien d'original, mais l'histoire se laisse regarder si aisément qu'en plus d’être une romance, ce film devient un pur divertissement. J'ajouterais aussi que j'ai rarement vu une sirène (visuellement et techniquement) aussi réussie à l'écran (même des séries comme H20 n'arrive pas à une telle réussite). A ne pas négliger les magnifiques interprétations des deux acteurs, qui sont juste incroyables. Les décors marins et New-Yorkais sont éblouissant. Splash, c'est une comédie romantique aussi divertissante que réussie.
Bonne comédie, qui déterminera la carrière, non seulement de Ron Howard, mais aussi de Tom Hanks et de Daryl Hannah. Le scénario est bon, même si on connaît d'avance la fin, avec de petites aventures par-ci par-là, des quiproquos, des gags qui font sourire... Une bonne comédie familiale, et culte avec ca.
Dans ce conte moderne, on découvre Tom Hanks dans l’un de ses premiers rôles à l’écran. Il fait preuve ici d’un talent indéniable pour la comédie. Ses réparties sont souvent drôles. Le film comprend quelques belles prises de vues sous-marines de Daryl Hannah dotée d'une queue de poisson. Notamment, la scène où elle s’installe dans une épave au fond de l'océan pour regarder une vieille carte de New York. L’histoire un peu mièvre s’en sort grâce à des passages amusants (la sirène devant les télés dans un magasin, ses gaffes et son émerveillement en découvrant le monde des hommes, la scène du homard dans le restaurant, le méchant scientifique parfaitement ridicule tout le long du film, Tom Hanks dans l’eau devant des scientifiques perplexes : poisson ou humain ? etc.). Le réalisateur nous gratifie également de quelques surprises comme la sirène prenant un bain ou son cri strident qui fait exploser les télévisions. L’acteur John Candy est très drôle (sa partie de squash une cigarette au bec au bord de l'apoplexie ou encore déguisé en scientifique suédois dont il connaît quelques mots tirés de films pornographiques...). Comme souvent chez Ron Howard, il y a quelques longueurs le temps de tout mettre en place. Ce film est réservé aux spectateurs qui ont gardé une part d’innocence en eux.
Spalsh a terriblement vieilli. Des scènettes plus anecdotiques les unes que les autres se suivent sans parvenir à accrocher réellement l’attention. L’élément comique, incarné par John Candy, est absolument insupportable. On peut aisément oublier ce film de Ron Howard.
Fêtons le cinéma
Splash est un film éminemment médiocre dont la censure récente, effectuée par Disney lors de l’entrée dudit film sur sa plateforme, peine à divulguer le regard racoleur porté sur la femme-sirène dont le statut équivaut à celui ces marchandises transportées dans des cageots et que l’on commerce « en gros ». Ron Howard, réalisateur inégal, signe ici l’une de ses pires réalisations, ne parvenant jamais à greffer de la féérie ou de la romance à un corps avant tout vulgaire ; aussi son long métrage prend-il l’aspect d’un monstre chimérique formé de différents organes qui ne s’agrègent pas ensemble, ou mal. Nous nous demandons sans cesse dans quelle direction va le scénario, et ce n’est pas la mise en scène, vraiment repoussante et dépourvue d’inspiration, qui rehaussera notre intérêt. Il y a surcharge de tout et présence de rien. Un paradoxe qui s’étire pourtant sur près de deux heures, entre deux scènes de sexe dont la pudibonderie frôle le ridicule – et s’avère balbutiante, cachant ou non la nudité de Madison – et agressions pseudo-comiques d’un John Candy en roue libre. Même Tom Hanks échoue à composer un personnage attachant : privé de caractérisation, engagé dans un film sans queue ni tête, il recycle ces poses de jeune premier acquises au cours de ses débuts de carrière, pour un résultat anecdotique. En somme, Splash ça fait plouf.
Il y a tout de l'amour envert une sirène le secret inavouable. les difficultés de comprendre un monde (humain) dont elle ne fait pas partie avec la scène incroyable ou elle dit son prénom en langue de sirène et que toutes les télévision se casse
Efficace, frais et charmant. Ron Howard revisite le mythe de la petite sirène et le transpose en 80 à New York. Le film est plein de gags et d'entrain. La sublime et sculpturale Daryl Hannah porte tout le film.
Ce film aurait, pu être parfait s'il n'avait pas été parasité pas les blagues salaces et inutiles de l’aîné des frêres Bauer.qui pourraient heurter la sensibilité des touts petits (moins de dix ans).
Tom Hanks et Eugene Levy sont drôles à souhait. Un des plus grands rôles de la sous-estimée Daryl Hannah. Elle y est plus que parfaite. Elle crève l'écran. Une vraie révélation.
A quand un remake avec un scénario plus familiale et des effets spéciaux.
Ce film aurait, pu être parfait s'il n'avait pas été parasité pas les blagues salaces et inutiles de l’aîné des frêres Bauer.qui pourraient heurter la sensibilité des touts petits (moins de dix ans).
Tom Hanks et Eugene Levy sont drôles à souhait. Un des plus grands rôles de la sous-estimée Daryl Hannah. Elle y est plus que parfaite. Elle crève l'écran. Une vraie révélation.
A quand un remake avec un scénario plus familiale et des effets spéciaux.
« Splash », un classique des années 80, a indéniablement un charme nostalgique, surtout grâce à la performance de Tom Hanks et Daryl Hannah, dont la chimie à l'écran est indéniable. Ce qui m'a particulièrement plu, c'est que « Splash » ne cherche pas à se prendre trop au sérieux; il reste une comédie romantique légère qui se contente d'être un divertissement sans prétention. La musique ajoute une touche de magie à la romance, et John Candy, dans son rôle de frère exubérant, vole souvent la vedette avec ses répliques hilarantes et son énergie débordante. Cependant, malgré ces aspects positifs, le film montre ses limites. Le scénario est prévisible, suivant une structure typique des comédies romantiques, sans grands rebondissements ou surprises. Certains moments sont un peu trop farfelus, ce qui peut faire sourire mais aussi déranger par leur exagération. De plus, en regardant le film aujourd'hui, il est clair qu'il n'a pas totalement bien vieilli; certains éléments semblent datés, et l'humour, bien qu'encore efficace par moments, ne résonne plus de la même manière qu'à l'époque de sa sortie. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
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