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    Django
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    148 critiques spectateurs

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    AMCHI
    AMCHI

    5 747 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juillet 2013
    Django interprété par Franco Nero est un classique du western spaghetti qui se regarde sans déplaisir malgré quelques scènes qui peuvent paraître ridicule de nous jour. Le charisme de Franco Nero apporte beaucoup à son personnage.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 132 abonnés 7 479 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juin 2020
    Avec Django (1966), on est clairement dans les prémices de ce qui deviendra le « western spaghetti ». Sergio Corbucci y réalise un brillant western, âpre et sans concession, à travers lequel on découvre un personnage qui sort des sentiers battus.

    On y fait la rencontre d’un vagabond solitaire (jusqu’ici, rien de bien original). Django est un officier nordiste qui traverse le désert et ne passe guère inaperçu puisque ce dernier traîne derrière lui un cercueil (sans que personne ne connaissance ce qu’il renferme). En arrivant dans une petite ville à la frontière mexicaine, il va se retrouver confronter entre deux bandes rivales (d’un côté, un américain raciste et de l’autre, un mexicain révolutionnaire).

    Sergio Corbucci détone d’entrée de jeu, en réalisant un western à la violence sidérale (le film fut d’ailleurs l’un des tout premier western à être interdit aux moins de 18ans dans certains pays). Une ambiance macabre et noire, excessive et baroque, sublimée par la présence d’un magnifique Franco Nero aux yeux bleus azur qui capte notre regard.

    Avec près de 10 films à son actif, c’est pourtant avec celui-là que Franco Nero se fera connaître du grand public, dans ce rôle de cowboy solitaire, dégainant en une fraction de seconde une mitraillette qu’il cachait dans son cercueil.

    Le film alterne habilement le fantastique & l’humour, avec une pointe de politique et une bonne dose de cruauté. Du cinéma Bis pur et dur pour un western crépusculaire violent et captivant.

    A noter que suite au succès du film, de nombreuses fausses suites (ou imitations) virent le jour, mais il n’y a qu’une seule & véritable suite, il s’agit de Django 2 : Le grand retour (1987), toujours interprété par Franco Nero.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Tedy
    Tedy

    246 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 août 2013
    Mise à part la chanson d’ouverture, tout le film est hideux : l’histoire part dans tous les sens, le jeu d’acteur est déplorable, les dialogues sonnent creux, les types meurent avant les coups de feu,...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 septembre 2013
    "Django" (1967) : un agréable western qui assure le divertissement pendant une heure et demie.
    L'histoire de Django est celle d'un homme qui n'est attiré que par la violence et la rage de vaincre.
    Django est interprété par Franco Nero (revu dans "Tristana" (de Bunuel) et "58 minutes pour vivre" notamment), charismatique à souhait, et ce, grâce au doubleur français habituel de Clint Eastwood. Et ça, ça apporte à Franco tout son talent de tueur professionnel énigmatique.
    Ajoutons là-dessus une musique pas désagréable (qui n'atteint cependant pas les sommets de Morricone) et des décors (certes pas très recherchés et ce, du fait d'un budget limité je pense) bien mis en place par Carlo Simi (l'habitué de Leone, sur sa trilogie du dollars entre autres).
    Sergio Corbucci ("Le grand silence", "Le spécialiste) parachève le tout dans une mise en scène efficace et prenante, et s'associe avec son frère Bruno à la production (lui-même réalisateur de certains Hill--Spencer).
    Reprenant la trame de "Pour une poignée de dollars", Sergio place son histoire au cœur de la révolution mexicaine et fait de Django un personnage cupide et impitoyable. Rarement western n'a été si noir à souhait. Copie de Leone, certes, mais pour un résultat final sombre et cynique, tout comme le final de "Django", l'apothéose d'un genre maîtrisé ici à la perfection, surtout dans le personnage. Malheureusement un peu trop lisse à la mise en scène.
    Ce qui est revigorant ? La BO, chanté par Rocky Roberts, simplement inoubliable !
    Spectateurs, laissons-nous envoûter !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ce n'est pas le meilleur western. Pourtant le film nous marque sur certain point: Franco Nero a la classe...
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 septembre 2010
    "Non merci ce n'est pas mon genre" : Django (joué par un très bon Franco Nero) (le héros - anti héros) est un western complètement fou (fusillades surréalistes et beaucoup de violence), qui réinvente les codes du Western et qui nous fait passer un excellent moment. A ne pas rater pour les fans de Western!
    TheManWhoLovesCinema
    TheManWhoLovesCinema

    39 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2013
    Django de Sergio Corbucci de 1966 est un classique du genre et malgré ma piètre culture en ce qui concerne les westerns, je peux l'affirmer. Le Django de Corbucci n'est pas à confondre avec Django Unchained, le nouveau chef-d'oeuvre de Quentin Tarantino. Ce dernier s'est, par ailleurs, légèrement inspiré de ce Django, et oui je dis légèrement car à part le titre, certaines musiques et l’apparition de Franco Nero( le Django de Corbucci ) le film de Tarantino n'a pas vraiment de grandes similitudes.
    Nous y suivons un "cow-boy" solitaire errant près de la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique accompagné d'un cercueil qu'il traîne derrière lui. Dès la scène d'ouverture le personnage est déjà encré, le tout, sur le superbe thème musical de Django composé par Luis Bacalov.
    Considéré comme le western spaghetti le plus violent du genre, Django, à sa sortie, surfait sur la vague de popularité de La Trilogie du Dollars de Sergio Leone avant d'en devenir culte.
    Un western qui n'a pas pris une ride et qui est aussi excellant que la dite Trilogie de notre cher Leone.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    583 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 janvier 2013
    Un sommet de laideur, de vulgarité et de nullité intellectuelle et un contre exemple d’absence absolue de mise en scène, de scénario et de respect du public. La violence, la haine, le sadisme tout y est pour montrer ce qu ‘il est possible de faire lorsque on fait appel aux instincts primitifs des hommes...La maternité protégeant les femmes de ces monstruosités. Tarantino avait 3 ans lorsque ce film est sorti, évidemment il l’a vu très jeune, il lui en est resté quelques flashs que son talent a transformé en art. Je ne le crois pas sincère une seconde quand il fait l’apologie de ce film, il bluffe exactement comme Salvador Dali aimait le faire. D’ailleurs, il ne garde de ce film que le nom qui sonne bien, la chanson fort belle et la présence des masques rouges dont il fait une grosse farce. On comprend mieux aussi pourquoi son Django est un noir et non un beau blond aux yeux bleus, il fallait prendre un parti pris le plus inverse possible. Ce Django là est regardable, à la deuxième vision il déclenche de la nausée . Celui de Tarentino peut se revoir sans cesse: chaque plan se contemple, chaque dialogue se déguste, chaque passage musical est en place. Il est vraiment évident que la meilleure façon de démythifier l’ensemble des spaghettis westerns et de ne plus les visionner, c’est Tarentino qui l’a trouvée.
    Caine78
    Caine78

    6 654 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2013
    Ayant vaguement inspiré le western de Quentin Tarantino (à part le titre, les deux films n'ont pas grand-chose en commun!), « Django » ne démérite pas, à défaut d'être totalement abouti. D'abord, c'est un western spaghetti : du coup, comme dans 99% des cas, on n'a pas des moyens illimités et cela se ressent. De plus, Sergio Corbucci n'a pas la maestria de Sergio Leone derrière la caméra, se lâchant pas mal niveau gros plans et zooms à gogo loin d'être indispensables. Oui, mais c'est peut-être aussi cela qui fait son charme : percutant, y allant franco et ne faisant pas dans la demi-mesure niveau violence, le résultat, un peu chaotique, n'en est pas moins savoureux et même parfois assez réjouissant. Renvoyant dos à dos américains et mexicains, le réalisateur se montre souvent d'un cynisme absolu, n'ayant aucune foi dans la parole des hommes et leur conscience, préférant au contraire massacrer à tout va pour assouvir leur autorité et leur soif de pouvoir. Ce discours brutal est particulièrement bien développé tout au long du récit, le scénario ne tombant jamais dans une sorte de consensualité qui aurait fait tâche, Django s'avérant surtout « moins pourri » que les autres, à l'image de son passé douloureux. Ajoutez à cela la mythique chanson de Luis Bacalov et un final aussi improbable que réjouissant, et vous obtiendrez un résultat très crû, brutal, moyennement joué (surtout par Loredana Nusciak) mais percutant : appréciable.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 047 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 avril 2011
    Un western Spaghetti dans sa définition presque, héros mal rasé, crade… Ville pleine de boue… C'est pas très joyeux.
    J'ai beaucoup aimé le début du film, la musique, ce Django se baladant avec son cercueil derrière lui, c'est vraiment prenant, il y a une bonne idée. Mais à partir du moment où il ouvre son cercueil et après la scène qui s'en suit, j'avoue que le film ressemble à des trucs qu'on a déjà tous vu 100 fois, sans que forcément la mise en scène suive. Alors il y a quelques scènes sympa dans ce qu'on pourrait appeler la seconde partie, mais franchement si ça reste regardable, j'ai trouvé ça très décevant. Mais le final vient rattrapé tout ça, brutal et violent, c'est vraiment jouissif. À noter que je n'ai pas pu le voir autrement qu'en VF, et que c'est assez ridicule.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 078 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 décembre 2014
    Avant de voir "Django", j'avais plus peur qu'autre chose. Je me disais clairement qu'il serait difficile de parvenir à atteindre l'oeuvre de Tarantino. Mais je résonnais mal, car qui pourrait se venter d'avoir réussi à faire un western aussi bon que celui de QT? Pour l'instant, personne outre Sergio Leone, l'inouchable, celui que l'on ne peut pas dénigrer. Et après avoir entendu des remarques négatives de mon entourage à propos de ce "Django", j'étais réellement dans l'appréhension de visionner ce métrage. Mais j'avais tord. L'on me disait que ce film était un ersatz des Leone : c'est faux, il n'y ressemble en rien, si ce n'est dans son héros et sa musique. Django fait Clint Eastwood, certes, et sa bande-sonore rappelle parfois celle d' "Il était une fois dans l'Ouest", mais comment ne pas s'inspirer de la base du cinéma? Ce n'est pas du pompage à proprement parlé, non, c'est plutôt de l'inspiration pour faire quelque chose de bon. Alors oui, on ne tient pas un chef-d'oeuvre, mais voilà clairement un bon film. Quelques fois, il peut s'avérer plutôt faible, mais ce qui suit rachète constamment les quelques éléments qui restent un peu à la traine. Mais globalement, je n'ai pas été déçu puisque je ne m'attendais à rien de spécial et, bien au contraire, je vous dirai même que cette oeuvre a constitué une bonne surprise. C'est en gros un western a regarder pour ne pas se prendre la tête, mais à regarder imparativement ( et j'insiste! ) en VO sous-titré. La VF est tout simplement minable, catastrophique, ridicule, euphorisante, hilarante, tellement que j'ai failli l'arrêter une fois passé la scène d'introduction. Mais j'ai repensé à ce magnifique plan où Django tire son cerceuil, le traine avec peine, nous dressant le tableau d'un personnage torturé et fascinant, et je suis resté pour la suite. Là est le principal intérêt du film : son héros. Logique, le film porte son nom. Django est franchement très intéressant, et bénéficie d'une écriture et de bonnes idées de personnalité qui forcent le respect ( notamment lorsque l'on ne sait pas ce qu'il cache dans son cerceuil ). Alors oui, on ne tient pas là un chef-d'oeuvre, mais pour un film italien de l'époque ( attention, je ne critique pas ce cinéma, ce n'est que le ressenti que j'ai après avoir vu certains films de cette époque ci ), c'est quand même du très bon. Je crois qu'on peut le dire, ce gars est sacrément badass! Et puis il n'y a pas que l'écriture, il y a aussi l'acteur! Franco Nero ( pour ceux qui ne l'auraient jamais remarqué, il apparait également dans le remake de Tarantino, lors de la rencontre entre Foxx et Dicaprio, scène où l'on discerne sans peine le génie de Tarantino, presque personne n'ayant saisi la géniale référence ) était le choix parfait pour ce rôle. Alors certes qu'il ne se foule pas la cheville pour nous fournir une interprétation exceptionnelle, mais sa gueule et son minimum de talent font le reste. Vraiment, rien à redire sur ce point de vue là. Les autres acteurs se débrouillent eux aussi, bien qu'ils ne soient pas les meilleurs seconds rôles de leur décennie. L'idée de base de "Django" est plutôt bonne : un homme seul errent, et met fin aux agissements de deux groupes d'opposants ( mexicains contre cowboys ) qui n'ont rien de bien attachants. Et là vient un vrai point fort du film : il est très violent pour son époque. Et je plaisante pas! Non mais vous voyez les scènes daction... C'est une tuerie! Pas le film, Django. Il bute tout le monde tout du long, et l'on prend son pied comme jamais! Les morts s'entassent, les balles se perdent, et notre gentil pote est satisfait. La mise en scène, quand à elle, est plutôt bonne, bien qu'un poil classique, mais, à n'en pas douter, il y a un réel travail d'esthétisme de l'oeuvre. Outre des décors et des costumes soignés, certains plans de caméra sont d'une beauté litérralement artistique. Vous n'aurez qu'à voir celui final, tout simplement somptueux, ou pour en revenir à ce que nous avons précédemment vu, celui d'ouverture du film spoiler: , où notre héros traine son meilleur ami : le cercueil.
    Les dialogues sont parfois malheureusement ratés, loin d'être renforcés par des doublages immondes. Par contre, la BO est juste magnifique! Je me souviens encore de ce thème principal repris pour le remake, tout simplement inoubliable. "Django... Django...". Des choix musicaux parfaits et qui rendent vraiment, formant l'un des points forts les plus imposants d'une oeuvre qui n'en manque pas. Certaines scènes sont d'anthologie, comme celle de l'attaque du fort, ou encore le combat dans le bar, qui est très bon et vraiment mouvementé. Par contre, celle de l'oreille est un poil ridicule, quand même, même si elle m'a étrangement rappelé celle de "Reservoir Dogs". Même si les clichés persistent, voilà un film avec une âme, un film intéressant et divertissant. Il n'est pas parfait, certes, et a quand même vieilli, mais franchement, je m'attendais à bien pire. Une vraie bonne surprise que je vous recommande si vous appréciez le genre.
    jeromej
    jeromej

    55 abonnés 159 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 octobre 2013
    Un western fort sympathique à regarder, qui lorgne quand même beaucoup sur les plates bandes du grand Sergio Léone, et qui, grâce à son ambiance crasseuse et ses personnages Badasses, réussit à nous faire passer un bon moment. ça reste quand même de la série B, et ce, à cause d'une réalisation approximative et un manque de moyen assez flagrant. Certains passages se voulant sérieux en seraient presque marrants. Pour les amateurs de western.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    141 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2013
    Avant la sortie de Django Unchained, je m'étais dit "Tiens, et si je voyais le fameux Django de Corbucci avant?". Juste histoire de me la raconter en disant très fièrement que j'ai capté toutes les références que Tarantino a joyeusement disséminé tout au long de son nouveau film (et ça n'a pas loupé d'ailleurs, j'étais trop fier!). Bon il y avait ça mais il y avait aussi le fait que malgré la bonne soixantaine de westerns que j'ai dû voir de ma courte vie, j'ai quand même vu très peu de westerns spaghetti hors Leone. Juste Mon nom est personne et Le vent apporta la violence. Sergio Corbucci m'intéressait depuis un moment mais je n'avais pas encore franchi le pas, c'était l'occasion de le faire. Et autant dire d'entrée de jeu que Django, premier du nom, m'a énormément plu!

    Ca commence vraiment fort avec l'entrée en scène d'un personnage comme j'aimerais en voir plus souvent au cinéma. Django, homme solitaire poussiéreux traînant derrière lui un cercueil dans la boue. B-A-D-A-S-S! Franco Nero que je découvrais d'ailleurs ici a une classe monstrueuse, son charisme apporte énormément au film. Il incarne un personnage à la morale bien personnelle débarquant dans une ville tiraillée par un conflit entre une bande de sudistes racistes et une milice mexicaine.
    Comme chez Leone, on retrouve ce côté crade que ce soit au niveau des décors et des personnages, mais Django pousse cet aspect-là encore plus loin. Le film atteint un haut niveau de violence graphique teintée d'une dose d'absurde et de réalisme sordide et cru. Ce cocktail explosif rend ce film tout bonnement jouissif. Puis ça tue un peu les codes du western classique. Pas de chevauchées fantastiques, le héros arrive à pied avec son cercueil et une vulnérabilité de façade qui s'effacera très vite dans un océan de violence parfois baroque.

    Je regrette cependant que le film baisse parfois en intensité. Quelques passages auraient peut-être mérité un meilleur soin, je pense à l'attaque d'un fort qui est assez banale ou encore à la scène d'évasion qui manque un peu de piquant. Mais le scénario reste malgré tout bien pensé, sans concessions ni scènes superflues. Il y a bien quelques temps faibles mais ceux-ci n'empêchent pas de rendre la narration cohérente. Django m'a donné envie de poursuivre la filmographie de Corbucci et de continuer à voir des westerns spaghetti en général. Crade et jouissif, le film fait preuve d'une technique un peu bancale mais qui tire quand même vers le bon. Les personnages et le scénario sont réjouissants avec en prime une scène finale magnifique qui n'est heureusement pas isolée dans un western qui multiplie les fulgurances. Du très bon western en somme, je n'en demandais pas plus.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 510 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2023
    En 1966, Sergio Corbucci livre un classique du western-spaghetti dans lequel tous les clichés du genre abondent : un homme solitaire (Franco Nero) à la gâchette facile, une histoire de vengeance et des méchants sans vergogne. Le scénario permet d’enchaîner les scène violentes et les tueries tout en maintenant une certaine tension. Evidemment, si l’on compare ce film au célèbre « Le bon, la brute et le truand » sorti la même année, ce drame musclé ne peut égaler la subtilité de celui de Sergio Leone. Néanmoins, le thème de l’anti-héros ambigu qui s’avère presque aussi salaud que les autres révèle chez le spectateur un plaisir sadique peu avouable. Bref, du western sans poésie mais très efficace.
    pietro bucca
    pietro bucca

    66 abonnés 1 225 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2015
    Django est un western plutot bon, peut-etre un ton en dessous des fameux "dollars", mais tres bien tout de meme. Un classic du genre.
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