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    Demonlover
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    36 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 juillet 2011
    Je suis venu, j'ai vu, et je n'en crois pas mes yeux...
    Généralement, lorsqu'un film ne plaît pas, on trouve toujours quelque chose à quoi se rattacher ; un petit rien qui nous réconforterait et nous ferait imaginer que l'on n'a pas perdu son temps.
    Pour "Demonlover", il y a bien quelques apparitions salvatrices de Charles Berling, et encore...
    Que s'est-il passé ? Les comédiens ne sont pas attachants, leurs comportements sont juste risibles, la direction d'acteurs est inexistante (la première scène de combat est vraiment drôle car tellement mal jouée...), l'image est un digne d'un film institutionnel ou d'une pâle fiction TV française, la musique est agressive, désagréable, juste là pour faire genre : "Oh lala ! On met un rythme endiablé, et oh lala, on est super in !". Même les extraits manga deviennent saoulants, juste entrecoupés par de basiques inserts (mains sur clavier, regards furtifs)...
    Concernant le scénario, c'est tellement confus, incohérent, que là encore on hallucine. C'est même pas risible, c'est juste pathétique.
    N'est pas Lynch qui veut...

    Ce film a donc été retenu au festival de Cannes, présidé par... Lynch ? Ok... On se fait des politesses visiblement.
    Maqroll
    Maqroll

    158 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    De l’influence de la technologie sur les passions humaines… Olivier Assayas se livre à un périlleux exercice de style avec ce film bilingue qui traite des sites Internet « extrêmes » et du jeu d’influence et de pouvoir qui se déroule pour leur possession. Dans le rôle principal, Connie Nielsen expose avec beaucoup de talent la complexité d’un personnage impitoyable et prête à tout pour parvenir à ses fins, qui révèle in fine une fragilité inattendue. À ses côtés, Charles Berling a beaucoup donné de sa personne pour composer un personnage redoutable mais qui finira lui aussi par être victime de la machinerie infernale. Un film ambigu, souvent aux limites de l’insupportable, à l’intrigue d’une complexité déroutante, filmé avec virtuosité et laissant au final un petit goût amer d’inachevé.
    carter311
    carter311

    10 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 novembre 2010
    On connaît le goût d'Assayas pour le Japon et le premier tiers du film est assez passionnant à nous décrire un monde virtuel vu à travers son côté commercial. Puis, sans atteindre le climax suffisant, le point de rupture où tout aurait été possible par la suite, le film fait l'effet d'un soufflet raté qui retombe dans un récit peu compréhensible où le suspens est tué par son manque de régularité. Dommage.
    benoitparis
    benoitparis

    109 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 septembre 2010
    Un film qui fait penser à des réminiscences de « Videodrome » de Cronenberg ou de « New Rose Hotel » de Ferrara pour les glissements entre réalité et virtuel, à « Lost Highway » pour l’étrangeté, très américaine, du final. Le problème est que des réminiscences, des reproductions, ne font pas une œuvre originale. D’autant que si certaines séquences sont réussies (la fin reproduit bien la fascination qu’on peut ressentir devant un film de Lynch), il y a pas mal de tunnels d’ennui et de faiblesses. L’histoire de manipulations professionnelles et sentimentales n’est guère intéressante en soi, la mise en scène de la contamination réciproques de la production numérique et du réel incarné n’est pas d’une grande subtilité. Un point de vue subjectif pour finir : le haut encadrement entrepreneurial en son luxe et ses œuvres professionnelles et plus ou moins privées, ça me casse vraiment les pieds. Du cliché par nature…
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 janvier 2010
    D'ores et déjà périmé, je ne crois pas que ce film ait un jour rejoint Videodrome dans sa manière de traiter un sujet plus que sensiblement resemblant. La seule chose sauvable reste la bande son de Sonic youth...
    Caine78
    Caine78

    6 703 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 septembre 2009
    Ah ça pour l'avoir dans le c.., je l'ai, et bien profond! La vulgarité n'est habituellement pas trop mon fort, mais je ne peux hélas faire autrement pour vous exprimer le sentiment de dégoût et de mépris que j'ai eu après le visionnage de cet immonde "Demonlover". Loin de nous plonger dans un univers insolite et séduisant (comme sait par exemple si bien le faire Lynch, qui n'est pourtant pas mon réalisateur de prédilection), Assayas nous offre au contraire deux heures d'ennui rance (et quand j'écris ennui, le mot est encore faible), plongés qui plus est dans une esthétique de clip nauséeuse et qui finit par nous dégouter assez rapidement. On essaye alors de se rabattre sur un propos qui eût pu être riche de rélfexions s'il avait été un tant soit peu traité correctement, mais là encore, nous n'aurons droit qu'à des situations grotesques et à des personnages ressemblant plus à des zombies qu'autre chose, perdus dans des incohérences scénaristiques au final tellement nombreuses et grossières que l'on n'y fait à force même plus attention. Mais le pire, c'est bien qu'Assayas se la raconte, tant la prétention de l'oeuvre n'a d'égal que son propos flou, creux et avouons-le sans intérêt aucun. Bref, hormis la présence de la toujours sublime Gina Gershon, il n'y a rien, absolument rien à tirer de positif de cette immonde chose sans queue ni tête (surtout sans tête), et dont la principale réussite aura finalement été de prendre le spectateur pour un con, car de ce point de vue, nul doute que ce film est un chef d'oeuvre intemporel. Scandaleux.
    max6m
    max6m

    72 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 juin 2009
    C’est ça la nouvelle génération de "grands" cinéastes français? C’est une blague j’espère! Car Demonlover est un film vraiment mauvais et il serait invraisemblable d’y déceler la moindre trace d’un quelconque talent. Assayas est un ancien critique des Cahiers (on sait que ça ouvre des portes et assure une bonne couverture critique) mais ce n’est pas parce qu’on a vu plein de films, et qu’on a même eu un avis dessus, qu’on peut se proclamer cinéaste pour autant! Surtout si c’est pour mal pomper ce qu’on a vu (ici Cronenberg époque Vidéodrome et le Lynch de Lost Highway) et en proposer une sorte de mauvaise adaptation pour la télévision. Car c’est ça Demonlover : une esthétique faussement futuriste, entre le film d’entreprise (si si, je vous assure!) et la mauvaise fiction TV, portée par une mise en scène vomitive succombant à la mode Orangina : secouer, sinon la vacuité, elle reste en bas. Entre caméra collée aux personnages (pour cacher l’absence de décors?), décadrage, et caméra à l’épaule, on finit par ne plus rien voir du tout! Et le scénario? Presque caricatural tellement il est ridicule, avec des rebondissements bidons à répétition et des personnages jouant tous double ou triple jeu (y a-t’il un seul employé de cette entreprise qui travaille bien pour elle?). Le tout au service d’une fausse réflexion totalement vaine. La dernière séquence nous gêne presque tant on est mal à l'aise devant l'humiliation que s'inflige le cinéaste. On est stupéfait par tant de suffisance mais, rassurez-vous, on finit par en éclater de rire lorsqu'on visionne le docu bonus sur Sonic Youth, l’ex grand groupe de noisy, avant qu’il ne finisse par s'embourgeoiser en se reposant sur ses lauriers. Assayas pousse sa prétention et son caprice jusqu’au bout, en leur demandant de faire la BO de son film. Non pas en composant quelques morceaux inédits, mais en tournant 2 potards et en branchant (ça suffit) des guitares, entre 2 cigarettes, histoire qu’ils apparaissent quand même au générique…
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 juin 2009
    Un bien étrange film que voila... le scénario manque de clarté mais l'ensemble forme quand même une masse cohérente d'images étranges et fascinantes...
    Dresse le constat du côté obscur de l'industrie (surtout celle du porno) et démontre la soudaine descente aux enfers d'une espionne double.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 juin 2009
    Long, ennuyeux, incompréhensible et mal écrit.
    Sur un bon sujet : la bataille des compagnies pour des mangas hard, aucun suspens, aucune explication. On ne comprend absolument pas le rôle des personnages.
    Dommage car le sujet intéressant à inspirer de meilleurs film comme "Tésis" ou pour la fin "hostel" qui sont autrement mieux réalisé et écrit. Les acteurs ne sont pas en cause car ils jouent juste. Mais le reste : quel calvaire.
    Vive le cinéma Français!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 janvier 2009
    Un thriller français à l'image glaciale et l'histoire glaçante. La réalisation est d'une puissance brute, sans concessions, et les acteurs sont excellents. Le film fait froid dans le dos, tant le réalisme se mêle au savoir faire, sur ces sujets glauques de pornographie et de trafics humains via la sphère virtuelle et mondiale de la websphère. Ici, nous ne sommes pas dans le divertissement mais à la croisée du cinéma de genre et du film d'auteur, comme il est de bon ton d'en produire parmi les jeunes (et talentueux) réalisateurs français de l'école "intellectuelle". (Voir le Feux Rouges de Kahn et le Sentinelle de Desplechin). Une réussite, c'est indéniable, mais peu aimable, ce n'est rien de le dire. C'est pourquoi je dirais plutôt qu'il s'agit d'un traumatisme.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    205 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2008
    "Demonlover" commence magnifiquement, dans l'atmosphère raréfiée et empoisonnée des luttes intestines d'un fantasme d'entreprise grenouillant autour des mangas, du net, bref d'une modernité de pointe qu'Assayas présente non sans fascination comme une vaste entreprise criminelle. Pendant la moitié du film, grâce à la superbe intelligence de sa mise en scène, Assayas tient son pari... Jusqu'à ce que tout se délite dramatiquement au fil d'un scénario qui ne sait plus quoi dire, et confond inconsistance et fascination. A force de loucher vers des sommets trop inaccessibles (Cronenberg et Lynch comme modèles, je dirais), Assayas bâcle son film, sacrifiant ses personnages comme ses acteurs, et révélant in fine un analyse assez réactionnaire de la modernité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 mai 2008
    Assaya filme l'âge digital dans ce cyberthriller visionnaire. Son cinéma sonde le tissu du monde contemporain, rend compte de ses contradictions et propose une lecture attentive de l'emprise de l'argent.
    Selon le réalisateur, "on est tous habité par l'humain, ai se,s positif du terme, et aussi par des choses qui ont à voir avec le négatif et la destruction". C'est ce renoncement à l'humain qu'incarnent les figures masquées qui peuplent le film.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    297 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mars 2008
    Définitivement un très bon film - & par ailleurs au propos tellement + intéressant que par exemple un insipide & pseudo-classique " Eyes Wide Shut "... - sur ces gens profitant du confort d’être " derrière les manettes " pour tout dire et/ou tout faire, sinon bien sûr être payés pour : A ne pas rater !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 décembre 2007
    Un film fascinant, extrêment bien réalisé d'un point de vue visuel (plans très recherchés, couleurs et lumières étranges...). La musique est du même tonneau, bizarre et envoutante. Le film décrit une descente aux enfers dans l'imaginaire, une course vers le nihilisme. Personnages désincarnés, inhumains, à l'image de Diane qui semble détachée de la vie elle-même. Un film totalement destructeur et destructuré. On pense à David Lynch ou à David Cronenberg (vidéodrome). Il s'agit en tout cas d'une tentative réussie pour exprimer l'air du temps.
    Starwealther
    Starwealther

    75 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 décembre 2007
    Un gros navet! J'ai rien compris
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