Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au seuil de l'âge digital, Demonlover est un conte magnifique et prémonitoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Après le classicisme des DESTINEES SENTIMENTALES, Olivier Assayas revient avec DEMONLOVER, un film d'une grande maîtrise technique, intrigant et fascinant. Une plongée froide mais jamais désincarnée au coeur de la cyberculture à travers une structure narrative éclatée.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Le scénario foisonnant avec ses retournements, ses bifurcations et ses coups fourrés en rafales porte la marque d'un amateur éclairé du cinéma de genre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Demonlover est un objet nourri du meilleur cinéma d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par M. G.
Demonlover porte en lui à la fois une sévère critique et son alternative. Sous ses atours de cinéma de genre célébré par le commerce, voilà du cinéma que l'on voit en levant la tête. Le fait est suffisamment rare dans le tout-venant inflationniste du cinéma français pour le souligner.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
La forme est un peu glaciale, mais cohérente avec le propos.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Plutôt que de laisser de glace, Demonlover fait froid dans le dos.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Edouard Waintrop
Sans oublier la musique de Sonic Youth, absolument adaptée à ce monde où tout fuit. Tout y était ! Ou presque. On donnerait cher pour un logiciel qui puisse calmer la prise de vues, fixer le cadre, et permettre de s'immerger totalement dans Demonlover.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
A sa façon, Assayas signe un film militant en nous mettant en garde contre les belles chimères que nous ne cessons de caresser par écrans d'ordinateurs interposés.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Connie Nielsen et Charles Berling apportent à l'histoire la force que lui vole parfois son côté très esthétisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppemrann
Brillant d'abord, puis pris dans une sorte de spirale vertigineuse où le scénario semble se... pixelliser, ce film finalement presque racoleur est-il, comme le prônent ses partisans, l'image cruelle de notre avenir ? Ou le cauchemar d'un réalisateur certes doué, mais ici piégé par son ambition, et qui a un peu perdu la maîtrise de sa souris ?
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Novaplanet.com
par Alex Masson
Une forme d'hara-kiri kamikaze qui ne rend pas le film d'Assayas moins discutable mais lui confère des airs de film maudit, de fascinant cas d'école.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Obejctif-Cinema.com
par Florence Pommery
Une tentative de réflexion pertinente, mais qui reste vaine : on ne retient du film qu'une esthétisation formelle portée par un visuel étonnant et déroutant.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Première
par Olivier De Bruyn
Hélas, Demonlover accuse une fâcheuse baisse de rythme dans son dernier tiers, et le cinéaste semble bien embarrassé par les multiples pistes qu'il a lui-même entrecroisées. Amertume ultime qui n'empêche pas le film de demeurer une expérience intensément singulière.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Tout cela n'est d'ailleurs peut-être qu'un rêve. Pour nous, un cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Un thriller ne fonctionne que lorsque s'y affrontent des héros et des monstres fascinants. Difficile de se passionner pour des zombies.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
(...) Olivier Assayas s'engouffre dans le monde virtuel. S'il a un réel talent pour décrire ce monde carnassier et filmer des mangas débridés, il se perd vite dans un scénario alambiqué. Son sujet comme son actrice principale battent alors de l'aile, tandis que Charles Berling signe une interprétation remarquée.
Le Monde
Au seuil de l'âge digital, Demonlover est un conte magnifique et prémonitoire.
MCinéma.com
Après le classicisme des DESTINEES SENTIMENTALES, Olivier Assayas revient avec DEMONLOVER, un film d'une grande maîtrise technique, intrigant et fascinant. Une plongée froide mais jamais désincarnée au coeur de la cyberculture à travers une structure narrative éclatée.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le scénario foisonnant avec ses retournements, ses bifurcations et ses coups fourrés en rafales porte la marque d'un amateur éclairé du cinéma de genre.
Chronic'art.com
Demonlover est un objet nourri du meilleur cinéma d'aujourd'hui.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Demonlover porte en lui à la fois une sévère critique et son alternative. Sous ses atours de cinéma de genre célébré par le commerce, voilà du cinéma que l'on voit en levant la tête. Le fait est suffisamment rare dans le tout-venant inflationniste du cinéma français pour le souligner.
Le Figaroscope
La forme est un peu glaciale, mais cohérente avec le propos.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Plutôt que de laisser de glace, Demonlover fait froid dans le dos.
Libération
Sans oublier la musique de Sonic Youth, absolument adaptée à ce monde où tout fuit. Tout y était ! Ou presque. On donnerait cher pour un logiciel qui puisse calmer la prise de vues, fixer le cadre, et permettre de s'immerger totalement dans Demonlover.
TéléCinéObs
A sa façon, Assayas signe un film militant en nous mettant en garde contre les belles chimères que nous ne cessons de caresser par écrans d'ordinateurs interposés.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Connie Nielsen et Charles Berling apportent à l'histoire la force que lui vole parfois son côté très esthétisant.
Les Echos
Brillant d'abord, puis pris dans une sorte de spirale vertigineuse où le scénario semble se... pixelliser, ce film finalement presque racoleur est-il, comme le prônent ses partisans, l'image cruelle de notre avenir ? Ou le cauchemar d'un réalisateur certes doué, mais ici piégé par son ambition, et qui a un peu perdu la maîtrise de sa souris ?
Novaplanet.com
Une forme d'hara-kiri kamikaze qui ne rend pas le film d'Assayas moins discutable mais lui confère des airs de film maudit, de fascinant cas d'école.
Obejctif-Cinema.com
Une tentative de réflexion pertinente, mais qui reste vaine : on ne retient du film qu'une esthétisation formelle portée par un visuel étonnant et déroutant.
Première
Hélas, Demonlover accuse une fâcheuse baisse de rythme dans son dernier tiers, et le cinéaste semble bien embarrassé par les multiples pistes qu'il a lui-même entrecroisées. Amertume ultime qui n'empêche pas le film de demeurer une expérience intensément singulière.
Aden
Tout cela n'est d'ailleurs peut-être qu'un rêve. Pour nous, un cauchemar.
Studio Magazine
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Télérama
Un thriller ne fonctionne que lorsque s'y affrontent des héros et des monstres fascinants. Difficile de se passionner pour des zombies.
Zurban
(...) Olivier Assayas s'engouffre dans le monde virtuel. S'il a un réel talent pour décrire ce monde carnassier et filmer des mangas débridés, il se perd vite dans un scénario alambiqué. Son sujet comme son actrice principale battent alors de l'aile, tandis que Charles Berling signe une interprétation remarquée.