Rome, hiver 1944. Un ingénieur communiste, Giorgio Manfredi, tente d'échapper aux Allemands qui occupent la ville. Il se réfugie chez un ami dont la fiancée, Pina, le met en contact avec le curé de la paroisse Don Pietro. Mais la maîtresse de Manfredi va tous les dénoncer aux Allemands.
Marcello Rubini, a quitté sa province italienne pour Rome dans le but de devenir écrivain. Mais celui-ci est devenu chroniqueur dans un journal à sensations. Il fait donc la tournée des lieux dans lesquels il est susceptible de décrocher quelques scoops afin d’alimenter sa chronique.
Anna, jeune mondaine romaine, n’est plus vraiment certaine d’aimer Sandro, son indélicat amant architecte. Pourtant, elle embarque avec lui pour une balade en yacht en compagnie de sa bande d’amis, parmi lesquels la fidèle Claudia. Au moment de repartir de l'île sur laquelle ils ont passé la journée, Anna manque à l'appel.
Chômeur depuis deux ans, Antonio trouve un emploi de colleur d'affiches, mais il se fait voler sa bicyclette, outil indispensable dans le cadre de son nouveau métier.
En 1866, la Vénétie est sous le joug de l'occupant autrichien. La comtesse Livia Serpieri est de ceux qui s'opposent avec vigueur à cette mainmise étrangère. Jusqu'au jour où elle s'éprend violemment d'un jeune lieutenant autrichien...
Toni, fils ainé d'une famille de pêcheurs fort pauvres revient au pays avec des idées nouvelles. Il est amoureux de Nedda mais les parents de la jeune fille, d'une classe plus aisée, refusent cet amour. Toni décide alors de monter lui-même sa propre entreprise.
Le spectateur va "vivre quelques instants de la vie de Naples", du jeune fils du concierge contraint à longueur de journée à rejouer la partie de cartes du vieux comte maniaque à la prostituée qui, mariée à un riche Napolitain, est tentée de retourner sur le trottoir tant sa nouvelle vie lui semble humiliante.
Lydia et Giovanni sont mariés, mais leur amour est à l'agonie. Après une nuit mouvementée, où chacun va aller de rencontres en séductions, ils se retrouveront pour une dernière étreinte...