Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Markovic nous livre sur cette période son témoignage à la fois fort et d'une mélancolie amère. Mêlant interviews, images d'archives, extraits de ses propres films, Goran Markovic brosse à travers sa propre histoire le portrait d'un pays en décomposition. Et dresse l'état des lieux d'une humanité, elle aussi, en décomposition.
La critique complète est disponible sur le site Aden
(...) Goran Markovich enchevêtre tragédie collective et histoire intime, pour confesser à demi-mot qu'il a bien fallu continuer à vivre pendant la décennie passée, même au coeur du chaos.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ces images magnifiques ouvrent Serbie année zéro, allusion directe au célèbre Allemagne année zéro de Rossellini. La Serbie de Milosevic n'a pas été l'Allemagne de Hitler mais, dans un cas comme dans l'autre, un pays exsangue après une dictature et une guerre est confronté à l'horreur de ses crimes et aux interrogations sur le "comment cela a été possible".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sans doute Markovic pratique-t'il incidemment une forme d'autoanalyse. Mais il le fait en conjuguant une grande honnêteté, une absence de nombrilisme et une belle originalité artistique.
Quelles que soient les raisons de cet échec, Serbie année zéro (et le titre, dans sa folle ambition, n'arrange en rien les choses) restera comme un document utile mais insuffisant à la compréhension de la guerre en Yougoslavie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mélange d'anecdotes personnelles, de témoignages (notamment celui de notre incontournable Bernard-Henri Lévy), d'images de guerre et d'extraits de ses autres films, l'exercice est parfois confus, un brin narcissique, mais étonnamment sincère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Markovic nous livre sur cette période son témoignage à la fois fort et d'une mélancolie amère. Mêlant interviews, images d'archives, extraits de ses propres films, Goran Markovic brosse à travers sa propre histoire le portrait d'un pays en décomposition. Et dresse l'état des lieux d'une humanité, elle aussi, en décomposition.
L'Obs
(...) Goran Markovich enchevêtre tragédie collective et histoire intime, pour confesser à demi-mot qu'il a bien fallu continuer à vivre pendant la décennie passée, même au coeur du chaos.
Libération
Ces images magnifiques ouvrent Serbie année zéro, allusion directe au célèbre Allemagne année zéro de Rossellini. La Serbie de Milosevic n'a pas été l'Allemagne de Hitler mais, dans un cas comme dans l'autre, un pays exsangue après une dictature et une guerre est confronté à l'horreur de ses crimes et aux interrogations sur le "comment cela a été possible".
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Sans doute Markovic pratique-t'il incidemment une forme d'autoanalyse. Mais il le fait en conjuguant une grande honnêteté, une absence de nombrilisme et une belle originalité artistique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Quelles que soient les raisons de cet échec, Serbie année zéro (et le titre, dans sa folle ambition, n'arrange en rien les choses) restera comme un document utile mais insuffisant à la compréhension de la guerre en Yougoslavie.
Télérama
Mélange d'anecdotes personnelles, de témoignages (notamment celui de notre incontournable Bernard-Henri Lévy), d'images de guerre et d'extraits de ses autres films, l'exercice est parfois confus, un brin narcissique, mais étonnamment sincère.