Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Monde
par Thomas Sotinel
Hey, Happy ! est un collage hédoniste qui trouve par instants une grâce certaine - une magnifique séquence subaquatique vaudrait presque le déplacement à elle seule.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
Jusqu'à nouvel ordre il n'y a pas de contrôle anti-dopage sur les tournages ; il y a donc fort à parier que Hey, Happy ! ait été écrit et tourné à l'aide de quelques substances plus ou moins illicites.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
On ne sait pas ce qui rebute le plus : la théâtralité outrée des personnages, le style clip, ou l'ambiance de happening bricolo. Même si de tout cela se dégage une vague poésie, elle glisse sur nous comme l'eau sur les plumes d'un canard.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Gérard Lefort
Cette ratatouille transgenre est parfois dure à suivre mais tout le temps bonne à voir. Parce que Hey, Happy développe un art consommé de la réplique tuante (...) et, surtout, parce que son point de vue n'est pas négligeable et en effet, plutôt happy.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Un film pro-sexe qui d'après son réalisateur Noam Gonick illustre de manière optimiste l'apocalypse. Un trip ciné et musical (excellente BOF techno et très belle photographie) que l'on conseillera volontiers à tous ceux qui aiment être surpris, bousculés au cinéma.
Première
par Christophe Carrière
Certes psychédélique, hystérique et décousu, mais suffisamment intrigant pour s'y aventurer. A condition d'avoir un notion de l'histoire, sans quoi on est vite perdu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Stéphanie Brisset
Parfois irritant mais toujours intéressant, le film de Noam Gonick vaut son pesant de curiosité et signale, au passage, un cinéaste qu'on suivra avec attention.
Aden
par Philippe Piazzo
Déjà démodé avant même d'être à la mode, Hey, happy ! est un petit film canadien bricolé dans son coin par un jeune homme qui a envie de crier au monde : "Je suis gay, vive la techno et l'amour sauvera le monde."
TéléCinéObs
par François Forestier
Les amateurs de BD techno-gay-trash-déjantée trouveront peut-être ces images mollassonnes quelques satisfactions.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
(...) premier film, gay et techno, est tourné presque entièrement en plein air et dominé par la mélancolique figure d'un DJ nommé Sabu, genre sorcier priapique jetant son dévolu sur un benêt (Happy) qui entend des voix d'extraterrestres. Une vraie bizarrerie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Hey, Happy ! est un collage hédoniste qui trouve par instants une grâce certaine - une magnifique séquence subaquatique vaudrait presque le déplacement à elle seule.
Chronic'art.com
Jusqu'à nouvel ordre il n'y a pas de contrôle anti-dopage sur les tournages ; il y a donc fort à parier que Hey, Happy ! ait été écrit et tourné à l'aide de quelques substances plus ou moins illicites.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
On ne sait pas ce qui rebute le plus : la théâtralité outrée des personnages, le style clip, ou l'ambiance de happening bricolo. Même si de tout cela se dégage une vague poésie, elle glisse sur nous comme l'eau sur les plumes d'un canard.
Libération
Cette ratatouille transgenre est parfois dure à suivre mais tout le temps bonne à voir. Parce que Hey, Happy développe un art consommé de la réplique tuante (...) et, surtout, parce que son point de vue n'est pas négligeable et en effet, plutôt happy.
MCinéma.com
Un film pro-sexe qui d'après son réalisateur Noam Gonick illustre de manière optimiste l'apocalypse. Un trip ciné et musical (excellente BOF techno et très belle photographie) que l'on conseillera volontiers à tous ceux qui aiment être surpris, bousculés au cinéma.
Première
Certes psychédélique, hystérique et décousu, mais suffisamment intrigant pour s'y aventurer. A condition d'avoir un notion de l'histoire, sans quoi on est vite perdu.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Parfois irritant mais toujours intéressant, le film de Noam Gonick vaut son pesant de curiosité et signale, au passage, un cinéaste qu'on suivra avec attention.
Aden
Déjà démodé avant même d'être à la mode, Hey, happy ! est un petit film canadien bricolé dans son coin par un jeune homme qui a envie de crier au monde : "Je suis gay, vive la techno et l'amour sauvera le monde."
TéléCinéObs
Les amateurs de BD techno-gay-trash-déjantée trouveront peut-être ces images mollassonnes quelques satisfactions.
Télérama
(...) premier film, gay et techno, est tourné presque entièrement en plein air et dominé par la mélancolique figure d'un DJ nommé Sabu, genre sorcier priapique jetant son dévolu sur un benêt (Happy) qui entend des voix d'extraterrestres. Une vraie bizarrerie.