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    L'Or de MacKenna
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    bobmorane63
    bobmorane63

    189 abonnés 1 964 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2010
    Un Western superbement filmé au milieu du grand Canyon par Jack Lee Thompson !!! La carrière du réalisateur est partagé en deux commençant par des chefs d'oeuvres et aprés des nanars, ce film est dans les meilleurs et meme, enfin je crois, Steven Spielberg s'en inspirera pour "Indiana Jones et la dernière croisade". Un shérif et un bandit sont en lutte pour découvrir un lieu contenant de l'or. Course poursuites, trahisons, cela fait tourner les tetes dans ce mélange Indiens et Américains. Du grand spectacle auquel on assiste, l'introduction musicale en VF de Johnny Halliday, des décors somptueux, des scènes d'actions époustouflantes, on prend son pied.Gregory Peck est impeccable face à Omar Sharif, grand acteur caméléon pouvant jouer toute nationalité et etre crédible. Des guest-stars comme Telly Savalas, Lee J. Cobb ou Eli Wallach completent le casting. Bon, la fin avec les rochers et le sol qui s'écroulent sont un peu énorme mais dans sa globalité, c'est un excellent Western.
    mistermyster
    mistermyster

    56 abonnés 1 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2013
    Western luxueux, magistralement interprété par ses protagonistes et aidé par une compagnie de stars sous exploité à mon avis. Il en reste pas moins d’un très beau western, au suspens et à la tension toujours au sommet. La légende de l’or des apaches qui attise la convoitise, la faiblesse des hommes et des femmes, l’ombre de la cupidité, les rêves les plus fous guidés par la richesse des uns et le tourment, la torture que s’infligent les autres. On peut tout de même regretter une fin si théâtrale, force d’effets spéciaux pas très bien au point en ce temps, l’idée était louable, mais comme les héros de ce film, le metteur en scène a voulu pêcher de vouloir trop…mais heureusement cela ne retire rien au film qui dès les premières images se placent dans un style de haute volée.
    Aboleth
    Aboleth

    13 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2010
    Pour moi, c'est un film culte. Cet or m'avait fasciné quand j'était petit et je me disais que plus tard j'irai creuser sous les tonnes de rochers éboulés pour le reprendre.
    J'aime beaucoup le personnage de Colorado, Omar le campe vraiment bien et j'aime bien ces vieux effets spéciaux en carton et sur-impression, à chaque fois, je retourne en enfance.
    Ca vaut bien 4 étoiles.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 janvier 2015
    De très grands acteurs notamment Gregory Peck très grand lui aussi. Ce western est agréable avec un belle musique de Quincy Jones bien interprétée dans la version française par Johnny Halliday.
    NeoLain
    NeoLain

    4 961 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 août 2010
    A la poursuite de l'or qui vous endors... Un sacré casting, dont la brève apparition à l'écran d'Elli Wallach, au bout du compte cette histoire d'or est longue, si longue pour un film de deux heures et dix minutes. On tourne en rond et en rond, jusqu'au moment de l'endroit ou apparemment se trouverait l'or. Un des seuls moments d'ailleurs qui est fort sympathique, il y à un coté mystique, cela donne un genre de western avec un zest ambiance Indiana Jones, puis bien avant, la scène ou la belle indienne nue tente de noyer par jalousie une femme. Musique de Quincy Jones et générique de début chanter par Johnny Hallyday. Les effets spéciaux du film on plus trop de charme non plus.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 706 abonnés 12 423 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2014
    il y a un millier d'annèes, dans le sud ouest de l'Amèrique du Nord, il existait une lègende qui parlait d'une vallèe ètroite gardèe par les Dieux Apaches et contenant une fabuleuse quantitè d'or! Tant que les Apaches garderait son emplacement secret et ne toucheraient pas à l'or, ils resteraient forts et puissants! Telle ètait la lègende de "Mackenna's Gold". Plus que jamais dans ce magnifique western de Jack Lee Thompson, la quête de l'or est l'obsession des aventuriers, qu'ils soient bons ou mauvais, fascinès par le mètal jaune! On a tant mèdit sur certains films de ce metteur en scène qu'il est bon de remettre à sa juste place cet excellent western au final particulièrement impressionnant où un groupe d'hommes se perd dans un canyon, à la recherche d'un trèsor! Jack Lee Thompson installe ses camèras Cinèmascope dans les paysages grandioses de l'Arizona et de l'Utah où tout semble possible pour Gregory Peck et Omar Sharif! En 123 minutes chrono, "Mackenna's Gold" nous projette au coeur même du mythe et de l'action, avec des paysages tellement beaux et fascinants, qu'on en a le souffle coupè! La tension monte lentement, jusqu'à ce moment inoubliable du canyon de Chelly où le soleil donne l'emplacement de l'or! Impossible pour ces aventuriers et ces hors-la-loi sans scrupule de ne pas provoquer au spectateur le frisson de la grande aventure! Voici peut-être l'un des plus beaux films de Jack Lee Thompson (à ranger à côtè de « Cape Fear ») et l'un des plus beaux westerns qui soient sur le plan visuel, avec la musique surprenante de Quincy Jones, thème musical repris stupidement par Johnny Hallyday dans sa version française (le seul point noir). Un grand western...
    AMCHI
    AMCHI

    5 801 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Beau casting pour un western pas tout à fait réussi. Grand spectacle et bonne histoire sont rendez-vous pourtant il manque à L'Or de McKenna un je-ne-sais-quoi pour être totalement prenant. Quincy Jones compose la BO assez plaisante et Johnny Hallyday chante la chanson du générique (pour la VF). La scène finale est pas mal et le sort réservé au méchant est inattendu car peu courant dans les westerns.
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 octobre 2012
    RTL9 semblant faire un concours de bêtise avec Arte, j'ai donc dû subir « L'Or de MacKenna » avec une chanson composée par Quincy Jones doublée de la plus abominable des façons en français, la chaîne câblée il est vrai peu aidée par une équipe de doubleurs fous ayant affublé Omar Sharif d'un insupportable accent mexicain : la très, très grande classe. Pour le reste, j'avoue avoir un petit problème avec Jack Lee Thompson. Si l'on excepte bien sûr « Les Canons de Navarone », voilà un réalisateur dont le talent me paraît bien limité, comme en témoignera également « Les Nerfs à vif », dont la réputation m'étonne toujours autant. Ici, le camarade Jack se surpasse même par moments : je ne me remets notamment pas de ce découpage ahurissant et même parfois surréaliste, comme si un énorme rocher était tombé sur la salle de montage du studio. De plus, dans ce genre de récits consacrés à une chasse au trésor, il vous faut un scénario très costaud : celui-ci est juste correct, avec toutefois quelques moments forts. Pour autant, tout n'est pas à jeter : l'interprétation, à défaut d'être grandiose, est potable, et le rythme plutôt soutenu, si bien que ces 120 minutes passent relativement vite. De plus, Lee Thompson a l'intelligence d'éviter le manichéisme total, à l'image de la relation parfois intrigante entre MacKenna et Colorado, ou encore de cet étrange personnage d'indienne, jouée par la somptueuse Julie Newmar. L'apparition durant un bon quart d'heure de diverses vedettes (probablement l'un des meilleurs moments du film) et un final légèrement fauché mais plutôt efficace finissent de rendre l'entreprise vaguement acceptable, sans pour autant effacer les insuffisances profondes d'un western par ailleurs peu mémorable... Une curiosité donc, parfois prenante, mais somme toute assez anecdotique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 novembre 2012
    Jack Lee Thomson est réputé pour avoir réalisé un certain nombre de films d'aventures et d'action plutôt réussis. "L'or de MacKenna" fait partie du lot. Pour ce faire, il a réuni une brochette d'acteurs qui ont eu leur heure de gloire dans le cinéma américain. Omar Sharif est particulièrement convaincant dans le rôle de Colorado, le chef de bande, tantôt méchant et sardonique, tantôt menteur et manipulateur. Gregory Peck est fidèle à ses nombreux rôles d'homme intègre et déterminé. Eli Wallach ne surprend personne dans son personnage de bandit rusé. On peut ajouter Anthony Quayle (Les Canons de Navarone, Opération Crossbow), en vieil anglais ou Telly Savalas (Sergent Tibbs), ou encore Raymond Massey dans un rôle de prédicateur dont il a l'habitude et tout à fait le profil, ou bien Lee J. Cobb en journaliste. Mais la surprise vient surtout de la présence du grand et inoubliable Edward G. Robinson (Guerre au crime, Le souffle de la violence…), dans le rôle très secondaire de l'aveugle. La scène de la traversée du canyon sur un pont de corde est assez impressionnante au début et offre un regard fascinant sur le paysage alentour. Celle du radeau dans les rapides est également incroyable. La scène finale du tremblement de terre est inédite dans un western et plutôt bien filmée dans le célèbre et impressionnant canyon de Chelly, à Spider Rock au parc national de l'Arizona. Le réalisateur nous livre un film intéressant sans qu'on puisse le qualifier de chef-d'œuvre mais tous les ingrédients sont réunis pour en faire un bon western : bandits, indiens, soldats et des décors naturels somptueux. A noter la superbe image du sarcoramphe roi (vautour pape) au tout début du film, un des plus beaux rapaces d'Amérique.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 546 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 juin 2021
    Gregory Peck est Mackenna un ancien joueur qui s'est installé comme marshall dans une petite ville du désert. La rumeur d'une vallée perdue des Apaches regorgeant d'or provoque une ruée vers l'or qui mobilise les meilleurs et les pires éléments de la ville. Son ennemi juré Omar Sharif est le chef de file responsable de l'enlèvement de la fille du juge local et de Mackenna après que ce dernier ait détruit l'unique carte de la vallée. Seul l'excellent Sharif est capable de faire quelque chose de vraiment mémorable ou intéressant avec son personnage et c'est un peu exagéré puisque le personnage lui-même est si typique. Peck est bien n'a rien du feu ou de la passion qui a alimenté sa meilleure performance dans d'autres western. La pauvre Julie Newmar est coincée dans le rôle d'une femme Apache maléfique muette et maquillée en brun. Un autre aspect étrange est la façon dont il évoque consciemment Lawrence d'Arabie de Lean un bien meilleur film. Les plans de paysages sont fantastiques mais les plans de Sharif chevauchant dans le désert ont un air de déjà vu. Et ce n'est pas une coïncidence si Anthony Quayle apparaît mais je m'attendais à ce que Peter O'toole ou Alec Guinness fasse une apparition vers la fin. L'histoire est plutôt terne et prévisible la réalisation est fade et impersonnelle. Il s'agit simplement d'un western fonctionnel du genre de ceux qui ont malheureusement tué ce genre...
    selenie
    selenie

    6 233 abonnés 6 183 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2012
    Un western mystique où la petite ruée vers l'or apache par plusieurs individus plus ou moins recommandable. Un casting 4 étoiles pour un western au scénario assez dense mais qui pêche par un classicisme étonnant pour un film de 69 ; année également des chefs d'oeuvre comme "Il était une fois dans l'ouest" ou "La horde sauvage"... L'histoire est bien foutue avec des rebondissements qui arrivent au bon moment. Cependant les décors en image de synthèse et fond d'écran en lieu et place de paysage naturel gâche clairement le plaisir des yeux. La fin "catastrophe" est un peu trop longue. Ce western reste moyen car on dirait un western des années 40 qui tente d'être en avance sur son temps ; malheureusement c'est un film de 1969. Sympa sans plus.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 mars 2014
    "Les canons de Navarone", du même réalisateur reste le meilleur film tourné sur les opérations commando, ce, en dépit de la séquence d'introduction : l’atterrissage d'un Lancaster en feu, complétement foirée par une équipe de "j'en foutre", chargée de la réalisation de ces effets spéciaux. Le reste du film était un chef-d’œuvre. C'est pour cette raison que je suis certain que Jack Lee Thomson n'a pu y travailler seul. "L'or de McKena" en est la preuve indéniable. Un casting de rêve, des moyens colossaux, des décors somptueux pour un western médiocre pratiquement insignifiant. La nullité des SFX est intolérable en 1969, le montage est psychédélique et des acteurs compétents semblent se chercher. Non franchement une masse de talent inestimable a été gâchée dans ce film au fort potentiel.
    labadens
    labadens

    12 abonnés 242 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 janvier 2024
    A l’origine du triomphe mondial des Canons de Navarone (Jack Lee Thompson, 1961), le producteur et scénariste Carl Foreman choisit d’adapter en 1968 le roman de Heck Allen (sous le pseudo Will Henry) L’or de MacKenna afin d’en faire une nouvelle superproduction destinée à casser la baraque au box-office. Afin de réitérer le miracle de Navarone, il embauche la même équipe artistique, avec aux commandes le yes man Jack Lee Thompson et devant la caméra la star Gregory Peck. Doté d’un budget astronomique de 7 millions de dollars, le film a dès le départ la vocation d’être un divertissement total voué à impressionner les foules du monde entier. A partir d’une simple histoire de chasse au trésor qui semble calquée sur celle du Trésor de la Sierra Madre de Huston, le scénariste a greffé des péripéties toujours plus folles, faisant intervenir tous les ingrédients traditionnels d’un bon western (des Indiens, des soldats, des brigands, des chevauchées, des duels) en les épiçant d’une scène d’érotisme soft et d’un final grandiose qui tire vers le film catastrophe (le but étant bien évidemment de rivaliser avec la scène de destruction finale de Navarone )
    Dans sa folie des grandeurs, Carl Foreman s’est laissé piéger et a accouché d’une œuvre monstrueuse de plus de trois heures qui a ensuite été charcutée dans la salle de montage pour revenir à une durée plus raisonnable de deux heures. Ce massacre a fini par avoir raison d’un script déjà passablement absurde, une voix off étant chargée de combler les vides. Monté à la truelle, cet ancêtre du blockbuster contemporain se retrouve sérieusement handicapé par des raccourcis narratifs douteux, ainsi que par un nombre conséquent de raccords foireux. Mais la plus grosse erreur de Foreman est d’avoir confié la réalisation de son bébé à Jack Lee Thompson. Visiblement content d’avoir les coudées franches avec un budget conséquent, le cinéaste semble pris d’une frénésie filmique qui confine à la folie furieuse. Au lieu de suggérer les états d’âme de ses personnages, Thompson montre absolument tout. Là où un plan furtif suffirait à créer une tension, il en fait des tonnes en agitant sa caméra dans tous les sens. Parfois, il parvient à nous estomaquer par ses prouesses, mais il n’évite malheureusement pas toujours le ridicule (les plans subjectifs lors des chevauchées au-dessus du vide). Il use et abuse d’effets spéciaux ratés (les plans accélérés très visibles, les transparences affreuses, les mannequins en mousse projetés dans le vide) au lieu de suggérer ce qu’il ne peut concrétiser de manière convaincante à l’écran.
    Une jeune femme Apache jalouse et mutique qui paraît aussi Apache que moi je suis Martien, un générique chanté par feu notre Johnny national ( " Rendez- vuuuuuuu " 😄 ) même pas crédité au générique , les maquettes de décors paysagers à éclater de rire , le rêve de Vie Parisienne d Omar Sharif, etç ... Je préfère m' interrompre là !
    Wagnar
    Wagnar

    80 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 janvier 2019
    Cette idée de scénario basé sur une chasse au trésor est bonne tout comme celle de réunir Omar Shariff et Gregory Peck dans le casting. Mais le film ne trouve jamais son rythme et ne décolle jamais. On s'ennuie sérieusement sans compter des effets de montage ratés.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2023
    J’avoue été d’entrée décontenancé par le générique du début, très bavard, qui se poursuit par un survol tremblotant de la Sierra en hélicoptère, pour terminer par la chanson du « busard dindon » interprété par Johnny Halliday dans la version VF. Et puis arrive Omar Sharif, et l’histoire se met à décoller. Une histoire classique de chasse au trésor avec une pléiade de stars embringuée dans l’équipée : Gregory Peck, Omar Sharif, Telly Savalas, Lee J. Cobb. Influencé par les westerns spaghetti, le réalisateur va user et abuser de l’accumulation de scènes d’action (avec des massacres à la clé) et des effets de caméra un peu inutiles. La fin est digne d’un film catastrophe avec des effets spéciaux un peu datés. Dommage que J. Lee Thompson n’est voulu faire un peu plus dans la sobriété en supprimant des historiettes connexes superflues comme la rivalité entre Camilla Sparv et et Julie Newmar. A trop vouloir charger la mule, elle se fatigue ! Pleins de défauts mais un bon western nerveux.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1).
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